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1965 | 2 | 23-34

Article title

Wpływ stylu epoki i względy estetyczne w konserwacji malowideł

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FR
LA RESTAURATION DES PEINTURES AU POINT DE VUE DES EXIGEANCES ARTISTIQUES ET DES COURANTS ESTHETIQUES DE L’ÉPOQUE
DE
ZEITSTILEINFLUSS UND ÄSTHETISCHE ASPEKTE IN DER GEMÄLDERESTAURIERUNG

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Abstracts

FR
A côté des problèmes d’ordre technique e t biologique, il semble nécessaire pour la restauration des peintures de préciser les données théorétiques à base desquelles uniquement peuvent être fixés le genre de tra item e n t et le moyen de procéder à la conservation. Le problème de la restauration des peintures ne peut être résolu autrement qu’à la condition d ’une perception lucide des données sus-mentionnées. Il en résulte la conscience du fait que le conservateur travaille sur une o e u v r e d’a r t. Le procédé technique du métier ne consiste donc pas à manier une matière quelconque, mais à s’occuper d’une matière toute spéciale. Le re stau ra teu r ne peut donc trav a ille r sans faire en courir, à la structure, à l’authenticité esthétique et historique de l’oeuvre, le risque d ’une modification trop poussée. Ce danger existe dans chaque e n tre prise de restauration. Autant le nettoyage que le nouveau verni peuvent changer le b rillan t de la surface, l ’impression de la profondeur, la couleur de fond caractéristique pour l’oeuvre dont il s’agit. Le rentoilage d ’une peinture risque d’entra iner un changement de la couche originale. En plus de ces traitements effectués à la surface ou au revers de la peinture, d ’autre s trav au x de conservation, même s’il ne sont appliqués qu’à un fragment de l’oeuvre, peuvent changer son aspect de to u t en tout. Chaque époque apporte de nouvelles solutions des problèmes de la restauration en connexion avec les idées e t les voies artistiques qui lui sont propres. On p o u rra it donc parler des styles de re s ta u ration. Leurs tra its caractéristiques se manifestent le plus clairement dans la façon vont on suppléa aux déficiences des peintures au cours des siècles passés, où la peinture ancienne est tra ité e sans aucun égard, et repeinte suivant le sens artistique des temps nouveaux. Mais ce n ’est pas seulement de cette façon que l’époque de la restauration apporte des changements à l’original de l’oeuvre restaurée. Les modifications rigoureuses que le baroque apporte aux dimensions expriment aussi bien le goût de cette époque que la retenue dans les complêtements si tipique pour la conscience archéologique et scientifique du classicisme. Il faut comprendre de la même façon les „embélissements” des peintures ita liennes de la Renaissance, effectués par les re s ta u ra teurs — Nazaréens et les tendances de l'anti-maniérisme dans les oeuvres repeintes au cours de la seconde moitié du XIXe siècle. Et c’est ainsi que la manie intransigeante de transposer s’allie dès la fin du XVIIIe siècle et surtout au XIX-ème, à l’insensibilité d ’une époque peignant d’une manière „lisse” pour les valeurs de la tex tu re picturale. Dans la même mesure e t pour une grande p art chez nos restaurateurs, leurs affinités avec les n o tions impressionistes sur les couleurs et leur incapacité d ’apprécier les valeurs, donne suite à une tendance d’enlever le verni et à un nettoyage des peintures trop poussé. Une grande p a rt des traitements appliqués depend sans aucun doute de l’é ta t dans lequel se trouve la peinture avant la restauration, de sa valeur pour l’histoire de l’a rt, ou encore de sa valeur en ta n t qu’objet d’un culte. Parfois ce sont les conditions du climat local qui decident de telle ou au tre méthode à employer. Il est toutefois incontestable que la solution théorétique ou le point de vue historique joue le rôle prépondérant dans tous les trav au x de restauration. Les opinions locales sur la valeur de l’oeuvre doivent être également prises en consideration. Sur l’exemple des peintures retouchées on voit manifestement avec quelle force les ébats théoretiques s’imposent aux traitements de restauration et combien le goût et le style de l’époque au cours de laquelle ils sont effectués décident du genre des traitements appliqués.
DE
Neben d e r E rörterung von technischen und n aturwissenschaftlichen Problemen in der Restaurieru n g erscheint die Klärung der theoretischen S ituation wesentlich, aus der die Art und das Maß jeder Restaurierung allein bestimmt werden können. Die gestellte Aufgabe kann n u r dann gut gelöst werden, wenn K larheit über diese Fragen besteht. Dazu gehört zunächst einmal die Erkenntnis, daß der Restaurator ein Kunstwerk behandelt. Die handwerklich- technische Tätigkeit ist also nicht die Beschäftigung mit irgendeiner Materie, sondern mit einer sehr speziellen. Der Restaurator kann diese Materie nicht behandeln, ohne nicht gleichzeitig die Gesamts tru k tu r des Bildes, seine Erscheinung als ä sth etische Realität und historische Urkunde zumindest der Gefahr einer allgemeinen Veränderung auszu besteht bei jeder re s ta u ra to ri eine Reinigung wie ein neuer erflächenglanz, Tiefenräumlichkeit r des Bildes verändern, eine Ubern neuen Bildträger kann die Oberverwandeln usw. Zwischen diesen der obersten Oberfläche des Bildes 'ckseite gibt es zahlreiche weitere Eineichermaßen, auch wenn sie nur einzelen betreffen, das ganze Gemälde veränn. Jede Zeit löst die aufgetragenen re stau - Aufgaben im Sinne der eigenen Kunst stanschauung. Man kann von R e stau rie rrechen. Am offensichtlichsten wird das bei lerischen Ergänzungen frü h e re r J a h rh u n d e rohne weiteres das alte Bild im Sinne der en Zeit in te rp re tie rt wird. Aber nicht n u r durch Arbeit m it dem Pinsel d eu tet die restau rieren d e che das Original um. Die rigorosen F o rm a tv e rderungen des Barock sind gleichermaßen eine ussage des uniformierenden Zeitgeschmacks, wie die urückhaltung in der Ergänzungsfrage bezeichnend ist für das archäologisch-wissenschaftliche Bewußtsein des Klassizismus. So sind auch „die Schönungen” italienischer Renaissancebilder durch NazarenerRestaura toren zu verstehen und die antimanieristischen Tendenzen in den Übermalungen d e r 2. Hälfte des 19. Jahrhunde rts, und so verbindet sich die rücksichtslose Ubertragungsmanie seit dem Ende des 18. Jah rh u n d e rts und besonders seit dem 19. J a h r h undert mit der Empfindungslosigkeit einer „glatt” malenden Epoche gegenüber Werten der Oberflächenstruktur. Gleichermaßen ist für einen großen Bereich unserer Restaurierung heute, für die Tendenz der Firnisabnahme bzw. der Reinigung, die Nähe zu impressionistischen Farbvorstellungen maßgebend und Unvermögen, Valeurs zu erkennen. Gewiß sind die meisten Eingriffe abhängig vom Zustand des Bildes, seinem Wert fü r die Kunstgeschichte oder innerhalb des Kunsthandels und seiner Bedeutung fü r den Kult, oder die k limatischen Verhältnisse des Ortes bedingen diese oder jene Methode. Aber es steht außer Frage, daß theoretischen Erwägungen und historische Standpunkt die bedeutsamste Rolle bei jeder Restaurierung spielen. Diese Einstellungen richten sich nach den Anschauungen, die man vom Kunstwerk am jeweiligen Ort hat. ‘ Am Beispiel der Gemälderetusche wird verdeutlicht, wie stark theoretische Erwägungen re s ta u ra torische Maßnahmen beeinflussen und wie Geschmack und Stil der restaurierenden Zeit den Eingriff bestimmen.

Year

Issue

2

Pages

23-34

Physical description

Dates

published
1965

Contributors

  • dr, Kunstmuseum Düsseldorf

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Document Type

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Identifiers

YADDA identifier

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