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2016 | 29 | 07-29

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L’aube des light novels en France

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FR
The purpose of this article is to determine the ins and outs of the first wave of translations of light novels in France. This Japanese category of fictional works has become an important part of contemporary Japanese popular culture, particularly in the early 2000s. However, up until now, French editors have not been successful in introducing this new genre. The study intends to discover the reasons why, through an examination of undertaken editorial choices as well as through the representative case of the translation of Suzumiya Haruhi no yūutsu. We will show the inherent difficulties involved in the import of light novels into a French cultural context – where literature remains institutionalized.

Year

Issue

29

Pages

07-29

Physical description

Dates

published
2016-12-01

Contributors

  • Université François-Rabelais Tours, France

References

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  • Ibid., p. 174–175.
  • Ibid., p. 185–186.
  • Rares sont les chercheurs français à s’être penchés sur le sujet. Parmi ceux les ayant mentionnés: Anne Bayard-Sakai et Maxime Rovere (dir.), ‘La littérature japonaise’, dossier spécial, Le Magazine Littéraire, n° 517, mars 2012, p. 57 ; Cécile Sakai, ‘Une page se tourne: la littérature japonaise aujourd’hui’ in NRF, ‘Du Japon’, Philippe Forest (dir.), Paris: Gallimard, n° 599–600, mars 2012, p. 238.
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  • Propos d’Anne Bayard-Sakai in Quentin (mod.), ‘Les coulisses de la traduction…’, pp. 204–205.
  • Ibidem ; Maxime Rovere, ‘Philippe Picquier, le chercheur d’or’, entretien avec Philippe Picquier, Le Magazine Littéraire, n°517, mars 2012, pp. 86–87.
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  • Ibid., pp. 11 et 140.
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  • Enomoto Aki, Raito noberusaikyō! Bukkugaido –shōnenkei, [Les meilleurs light novels ! Guide des séries shōnen], Tōkyō: NTT Shuppan, 2009.
  • Hamazaki Tatsuya et Katsura Masakazu, Love & Destroy, Paris: Ed. Tonkam, 2006 ; Ubukata Tō, Le chevalier d’Éon, Paris: Calmann-Lévy/Kaze, 2008.
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  • Ono Fuyumi, Les Douze Royaumes, Vols. 1–12, Toulouse: Ed. Milan, 2007–2010 ; Mizuno Ryō, Chroniques de la Guerre de Lodoss, Vols. 1–4, Paris: Calmann-Lévy/Kaze, 2006–2009 ; Arikawa Hiro, Library Wars, Vols. 1–4,: Glénat, 2010–2016.
  • Enomoto, Raitonoberubungakuron… [Essai sur les Light Novels], pp. 20–23.
  • Ōhashi Takayuki, Raito noberukaramitashōjō/ shōnenshōsetsushi: gendainihon no monogataribunka wo minaosu tame ni [The History of Entertainment for Young Adulthoods and the Consideration about Characters: Rethink about Modern Japanese Culture of Studies], Tōkyō: Kasama Shoin, 2014. La datation des origines des light novels prête à débat, et l’étude d’Ōhashi remet en question la théorie actuelle de premières traces dans les années 70.
  • Enomoto, Raitonoberubungakuron… [Essai sur les Light Novels], p. 14.
  • Ibid. pp. 20–21. Enomoto utilise l’expression raitonoberutekina mono, que nous traduisons ici par proto-light novels, afin de désigner les lights novels précédant l’apparition du terme générique dans les années 2000.
  • Ibid., pp. 18–20.
  • En 2007, il s’élevait à 91 milliards de yens et a vu la parution de 260 nouveaux volumes, au rythme de 21 par mois (ibid., p. 172).
  • Ibid., p. 185–186.
  • Bayard-Sakai et Rovere (dir.), ‘La littérature japonaise…’, p. 57.
  • Parmi les études dédiées aux caractéristiques des lights novels, nous pouvons mentionner celles d’Enomoto (Raitonoberu…) etd’Ōhashi, (Raitonoberukara) ; Maynard Senko K., Raitonoberuhyōgenron: kaiwa, sōzō, asobi no discourse no kōsatsu [Fluid Orality in the Discourse of Japanese Popular Culture ], Tōkyō: Meijishoin, 2012 ; Ichiyanagi Hirotaka et Kume Yoriko (éds), Raitonoberukenkyūjosetsu [Introduction à la Recherche sur les Light Novels], Tōkyō: Seikyūsha, 4ème édition, 2013 ; Ichiyanagi Hirotaka et Kume Yoriko (éds), Raitonoberustudies [Light Novels Studies], Tōkyō: Seikyūsha, 2013 ; Tōkyō: Kasama Shoin, 2014.
  • Jaqueline Berndt, ‘Facing the Nuclear Issue in a “Mangaesque” Way. The Barefoot Gen Anime’, Cinergie, n° 2, 2012, pp. 158–159: http://www.cinergie.it/?p=1840 (accès 29.06.2016).
  • Enomoto, Raitonoberubungakuron… [Essai sur les Light Novels], p. 54.
  • Maxime Danesin, La Censure, de Fahrenheit 451 à Library Wars, Mémoire de Master II en Lettres Modernes, [unpublished], Tours: Université François-Rabelais, 2011.
  • Enomoto, Raitonoberubungakuron… [Essai sur les Light Novels], pp. 9–50 ; Bayard-Sakai et Rovere (dir.), ‘La littérature japonaise…’, p. 57.
  • Jean-Marie Bouissou, Manga, Histoire…, pp. 11 et 140 ; Marco Pellitteri, The Dragon and the Dazzle, Models, Strategies, and Identities of Japanese Imagination – A European Perspective, Latina: Tunué, 2010.
  • Yoshida Sunao, Trinity Blood, Vols 1–2 [Publication interrompue], Paris: Hachette, 2008.
  • Kawasaki Takuto et Iikura Yoshiyuki, ‘Raito noberu wa tajyūsakuhinsekai no yume wo miruka?’ [Les personnages de light novels rêvent-ils d’un monde d’ouvrages multiples?] in Raitonoberukenkyūjosetsu [Introduction à la Recherche sur les Light Novels], Ichiyanagi Hirotaka et Kume Yoriko (éds), Tōkyō: Seikyūsha, 2013, pp. 27–30.
  • L’existence d’une communauté francophone de fans est établie depuis au moins 2007, via lacréation du site internetwww.haruhi.fr, c’est-à-dire seulement un an après l’adaptation animé au Japon de Suzumiya Haruhi (2006), et avant l’acquisition française de la licence de la version animé par Kazé (2008) et des traductions du manga et du light novel (2009). Une association loi 1901, intitulé « Brigade SOS Francophone », était d’ailleurs créé quelques mois avant la sortie de ces deux derniers médias. Brigade SOS Francophone, ‘Historique’: http://www.brigade-sos.fr/qui-sommes-nous/historique/ (accès 31.08.2016).
  • Au contraire, sa traduction américaine, débutée en 2009 par Little, Brown Books for Young Readers – qui appartient au groupe Hachette – est allée jusqu’à son terme (2013).
  • Cécile Térouanne, Nautawi (Interviewer), ‘L’interview avec l’éditeur’: http://yuki.haruhi.fr/index.php/L%27interview_avec_l%27%C3%A9diteur (accès 29.06.2016). Le site en question, sous format wiki, est régi par le portail francophone sur SuzumiyaHaruhi (http://haruhi.fr).
  • Ibidem.
  • Azuma Hiroki, Génération Otaku, les enfants de la postmodernité, Paris: Hachette, 2008.
  • Ibid, p. 80.
  • Ibid, pp. 90–95.
  • Kawasaki Takuto et Iikura Yoshiyuki, ‘Raitonoberu…’, pp. 27–30.
  • Térouanne, ‘L’interview avec l’éditeur…’, n.p.
  • Ibidem.
  • Tanigawa Nagaru et Tsunago Gaku, La mélancolie de Haruhi Suzumiya, Vols. 1–15 [En cours], Boulogne: Pika édition, 2009–2015 ; Suzumiya Haruhi no yūutsu [La Mélancolie de Suzumiya Haruhi ], Vols. 1–20, Tōkyō: KadokawaShoten, 2006–2013. Il s’agit de la seconde adaptation en manga, la première datant de 2004 par MizunoMakoto.
  • Térouanne, ‘L’interview avec l’éditeur…’, n.p.
  • Ibidem.
  • Ibidem. L’édition américaine propose deux couvertures, la première réinterprétée, l’autre conforme à l’originale.
  • Ibidem ; Kabu (Champ de Navet), ‘Hachette suspend le roman HaruhiSuzumiya’, 2010: http://champdenavet.free.fr/index.php?post/2010/02/11/Hachette-suspend-le-roman-Haruhi-Suzumiya (accès 29.06.2016).
  • Kabu (Champ de Navet), ‘Hachette suspend…’, n.p.
  • Ibidem. L’auteur de l’article révèle un conflit interne entre les « fans » sur la situation.
  • Enomoto, Raitonoberubungakuron… [Essai sur les Light Novels], pp. 75–76.
  • Jean-Marie Bouissou, Manga, Histoire…, p. 12.
  • Pascal Lardellier, ‘Ce que nous disent les mangas’, Le Monde diplomatique, décembre 1996, p. 29.
  • Ibidem.
  • Sur les critiques et les polémiques lors de la réception des mangas et des animés en France, voir aussi: Marco Pellitteri, The Dragon and the Dazzle…, pp. 341–355.
  • Jean-Marie Bouissou, Manga, Histoire…, p. 11.
  • Ibidem. Il est important de noter que l’adaptation du sens de lecture n’est, toutefois, pas spécifique au marché français, relevant plutôt d’une attitude occidentale de domestication.
  • Ibidem.
  • Uehashi Nahoko, Les Gardiens de l’esprit sacré, Toulouse: Éd. Milan, 2011.
  • Nous faisons référence ici au concept tel qu’il est défini dans le Dictionnaire Culturel en langue française, Alain Rey (dir.), Paris: Dictionnaires Le Robert, 2005.
  • Marc Angenot, Les dehors de la littérature: du roman populaire à la science-fiction, Paris: H. Champion, Coll. Unichamp-essentiel, 2013, pp. 7–8.
  • William Marx, L’Adieu à la littérature. Histoire d’une dévalorisation, XVIIe–XXe siècle, Paris: Éditions de Minuit, Coll. Paradoxe, 2005, pp. 14–16.
  • Azuma, Génération Otaku…, p. 94.
  • Cécile Sakai, Histoire de la littérature populaire japonaise: faits et perspectives (1900-1980), Paris: l’Harmattan, 1987, pp. 14–15.
  • Dominique Viart et Bruno Vercier, La littérature française au présent. Héritage, modernité, mutations, avec la collaboration de Franck Evrard, [2ème édition augmentée], Paris: Bordas, 2008, p. 12.
  • Créé en 1953 et décerné annuellement lors de la World Science Fiction Convention aux États-Unis, le prix Hugo est considéré comme le plus prestigieux pour les œuvres anglophones. Quant au prix Seiun, celui-ciest attribué depuis 1970 aux auteurs de science-fiction lors de la Convention Japonaise de Science-fiction (Nihon SF Takai). Sa particularité est que, contrairement à son homologue américain, le SeiunAward possède aussi deux catégories étrangères (roman et histoire courte).
  • Hasekura Isuna, Spice & Wolf, Vols. 1–17. Tōkyō: ASCII MEDIA WORKS Inc., Dengeki Bunko, 2006–2011.
  • Enomoto, Raitonoberubungakuron… [Essai sur les Light Novels], pp. 166–168.
  • Sakai, ‘Une page se tourne…’ pp. 237–238.
  • Hélène Maurel-Indart, Du plagiat, Paris: Gallimard, Coll. « Folio Essais », pp. 377–379.
  • Azuma, Génération Otaku…, pp. 100–101.
  • Ibid., p. 82.
  • Ibid., p. 95.
  • Dominique Viart, ‘Les menaces de Cassandre et le présent de la littérature: arguments et enjeux des discours de la fin’ in Fins de la littérature. Tome I: Esthétiques et discours de la fin, Dominique Viart et Laurent Demanze (dir.), Paris: Armand Colin, Coll. Recherches, 2012, pp. 9–33.
  • Marc Gontard, Écrire la crise…, pp. 9 et 18–19
  • Propos d’Ernst Robert Curtius, cités in William Marx, La Haine de la littérature, Paris: Éditions de Minuit, 2015, pp. 160–161.
  • Jacques Dubois, L’institution de la littérature…, p. 129.
  • Quentin (Mod.), ‘Les coulisses de la traduction…’, p. 208.
  • Ibid, p. 220.
  • Oura Yasusuke, ‘Midaranakokuhaku – Nichifutsuhonyakujijō no ichidanmen’ [La Confession impudique – Un échantillon de la situation des traductions franco-japonaises ], in Nichifutsukōkan no kindai: bungaku, bijutsu, ongaku = Modernité des empathies franco-japonaises: littérature, art, musique, Usami Hitoshi (éd.), Kyōto: Kyōto Daigaku Gakujutsu Shuppankai, 2006, pp. 97–100.
  • Ibid., p. 99.
  • Quentin (Mod.), ‘Les coulisses de la traduction…’, p. 204.
  • Oura Yasusuke, ‘Midarana kokuhaku …’ [La Confession impudique…], p. 100.
  • Ibidem.
  • Hasekura Isuna, Spice & Wolf, Vol. 1, illust. Ayakura Jū, Chennevières-sur-Marne: Ofelbe, 2015 ; Kawahara Reki, Sword Art Online, Vol. I, illust. Abec, Chennevières-sur-Marne: Ofelbe, 2015.
  • Il est notable que la traduction américaine de Spice& Wolf chez Yen Press avait proposé un premier volume avec une couverture représentant une version réaliste du personnage principal. Face aux complaintes de la communauté de fans, l’éditeur a finalement opté pour deux versions, une altérée et une originale, comme pour le cas de SuzumiyaHaruhi.
  • Tōno Mamare, Log Horizon, Vol. I, illust. HaraKazuhiro, Chennevières-sur-Marne: Ofelbe, 2015.
  • Louis-Baptiste Huchez, Direct Matin (Interv.), ‘Les light novels japonais à la conquête de la France’, Direct Matin, 23 mars 2016: http://www.directmatin.fr/livres/2016-03-23/les-light-novels-japonais-la-conquete-de-la-france-725708 (accès: 29.06.2016).

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