Full-text resources of CEJSH and other databases are now available in the new Library of Science.
Visit https://bibliotekanauki.pl

Results found: 5

first rewind previous Page / 1 next fast forward last

Search results

help Sort By:

help Limit search:
first rewind previous Page / 1 next fast forward last
PL
W porównaniu z tym przeglądem dorobku polskiej bizantynologii, który opublikowałem w 1974 r., ostatnie dwudziestolecie charakteryzuje się poważnym wzrostem w Polsce zainteresowań studiami bizantynologicznymi. Nie wszystkie jednakże dziedziny tych badań rozwijają się równomiernie. Liczba filologów i historyków prawa, którzy na swoim koncie zanotowali poważne osiągnięcia, jest jednakowoż ograniczona do kilku osób. Na szeroką skalę rozwijają się natomiast badania nad bizantyńską historią, sztuką, architekturą, numizmatyką. Przyczyniają się do tego badania polskich archeologów prowadzone systematycznie na terenie Egiptu, Syrii, Bułgarii i Macedonii, czyli na tych ziemiach, które należały niegdyś do cesarstwa bizantyńskiego; nie tylko wzbogacają one naszą wiedzę o kulturze i cywilizacji bizantyńskiej, ale i dostarczają nowych źródeł umożliwiających rozszerzenie pola badawczego innym specjalistom. Ów wzrost zainteresowań i istnienia odpowiedniej kadry naukowej sprawił, że w Uniwersytecie Jagiellońskim powstały dwa zakłady: Zakład Historii Bizancjum (w 1985 r. pod kierunkiem M. Salamona) i Zakład Historii Sztuki Bizantyńskiej (w 1990 r. pod kierunkiem Anny Różyckiej-Bryzek) oraz w Uniwersytecie Łódzkim - Zakład Historii Bizancjum (w 1992 r. pod kierunkiem W. Cerana). Grupy bizantynistów istnieją także w Uniwersytecie Warszawskim, Uniwersytecie im. Adama Mickiewicza w Poznaniu, w Katolickim Uniwersytecie Lubelskim i innych wyższych uczelniach. Szybko rozwijają się również badania w takich dziedzinach, jak historia Kościoła, patrystyka, teologia, dogmatyka i liturgia. Wpływ na intensyfikację tych badań miało powołanie do życia w KUL Międzywydziałowego Zakładu Badań nad Antykiem Chrześcijańskim i jego organu „Vox Patrum” . Poważne osiągnięcia notują także historycy i filologowie zajmujący się badaniem kontaktów świata słowiańskiego z państwem bizantyńskim, jego religią i kulturą. Poważny wpływ na wzrost w Polsce zainteresowań bizantynologią mają liczne przekłady na język polski wybitnych dzieł autorów bizantyńskich. Nie bez znaczenia jest także łatwiejszy dostęp do publikacji zachodnich, nawiązanie bezpośrednich kontaktów i współpracy z zagranicznymi centrami badań bizantynologicznych.
FR
La symbiose entre l’Empire et l'Eglise commencée par Constantin le Grand exigeait l'élaboration de la théologie politique chrétiemne. Cette oeuvre a été due à Eusèbe de Césarée. Selon sa conception l’empereur était une image et régent de Dieu sur la terre auquel Dieu a confié le gouvernement de l'Empire. L'empire était ta copie du Royaume Céleste et l’empereur une loi vivante qui en tant qu’interpretateur de Dieu et souverain de l’Eglise mène les fidèles jusqu’au salut. Cette conception coincidait avec le désir de Constantin le Grand et désormais elle était officiellement propagée par l’Etat. Les écclesiastiques ariens respectaient les droits de l’empereur au contrôle de l’Eglise, à la prise des décisions concernant sa vie et ils étaient même prêts à accepter sa supériorité face au concile. Les orthodoxes cependant exigeaient l'autonomie de l'Eglise et cela élait particulièrement fort accentué par les évêques occidentaux. Jean Chrysostonie (354-407) évêque de Constantinople exprime différemment au sujet de l’empereur, d’ailleurs il ne ue réfère pas du tout à Eusébe. Selon Jean Chrysostome, l’Etat et le pouvoir ont été crées pur Dieu (conformément à la doctrine de Saint-Paul) mais l'empereur n’est pas image et régent de Dieu sur la terre mais son collaborateur et serviteur. La nature ne lui a pas donné les dons singuliers par rapport à d’autres gens: il est élu car les gens depuis longtemps se rendaient compte de ses avantages face à la société. Une grande portée de son pouvoir exige de l’empereur les qualités spéciales, le savoir de maîtriser soi-même. Il doit aider l’Eglise mais également respecter ses lois tout en sachant que le pouvoir civil est inférieur à celui écclesiastique. Jean Chrysostome avec ses idées se sentait capable de critiquer la cour impériale et cela était une des causes de son bannissement. Le pouvoir fort centralisé à Byzance cherchait alors à se soumettre l’Eglise, à la transformer en institution étathique et ne tolérait pas les idées propagées par l’évêque tel comme Jean Chrysostome.
5
100%
FR
C’est dans la médicine que Jean Chrysostome (environ 354-407), l’un des plus féconds Pères de l’Église, avait bien souvent puisé ses exemples et ses comparaisons. Ces informations qui sont insérées dans ses oeuvres jéttent une certaine lumière sur l’attitude de la société envers la science médicale et les médecins. Il estimait beaucoup la science médicale parce que selon lui, grâce à elle, un homme pouvait entretenir son corps en bonne santé et, par là, l’âme pouvait atteindre le salut étemel. Il fit la connaissance de quelques théories scientifiques pendant ses études à l’école de Libanios. Il appréciait aussi hautement ceux des médicins qui se distinguaient par leur savoir, leur activité professionelle respectant les régies de l’art médical. Un tel médecin était entouré d’une grande dose de confiance et même dans des situations sans espoir les malades se fiaient à eux. Cela incitait les médecins à des recherches de moyens curatifs nouveaux. Jean Chrysostome ne condamne pas les médecins qui persuadés de l’inefficaoement de leur traitement le cessait. Dans les cabinets médicaux les médecins donnaient des consultations, auscultaient, faisaient des opérations, préparaient des médicaments et les vendaient. Jean Chrysostome mentionne surtout le travail des chirurgiens, ne parlant guéde du côte technique de l’opération, par contre, il redonne, d’une façon plastique, l’atmosphère dans laquelle elle se réroulail. Il assure qu’il connaît un bon nombre de maladies, mais le plus souvent, il cite celles qui découlaient de la gloutonnerie et de l’ivrognerie. En tant que moraliste fervent et ascète il combattait avec acharnement les défaut des couches sociales riches en y voyant un obstacle sur le chemin du salut éternel. Dans cette lutte il se servait des arguments qu’il les trouvait dans la science médicale et il fraisait appel à l’autorité des médecins. Parmi les méthodes de traitement, à côte de la chirurgie, il cite l’hydrothérapie, la cure de climat, la diète et l’application du principe de contradiction. Il attribue un rôle de premier plan aux médicaments préparés par les médecins. De la lecture de ses oeuvres on a l’impression que le traitement était très répendu bien qu’il soit lié à des frais importants. Il est évident que les médecins accommodaient le montant des honoraires aux possibilités matérielles des malades. Les médecins publiques traitaient Is pauvres gratuitement. Les voyageurs pauvres et les misérables profitaient de l’aide médicale dans les institutions appelées xenon, katagogion, nosokomeion, administrées par l’Église du IVe siècle. Jean Chrysostome était tellement convaincu dans les grandes possibilités de la science et de l’art médicale qu’il ne pouvait croire aux préjugés populaires. Ce n’est que dans une homélie qu’il parle de guérisons miraculeuses qui, parait-il, avaient eu lieu auprès des tombes des saints martyrs. Pourtant le fait, que Jean Chrysostome de nature rationaliste n’a pu résister à une conviction croissante de la force guérison surnaturel des saints, témoigne de rôle grandissant de cette tendance, dans laquelle, la théorie médicale et la foi coexistaient dans la conscience de générations des Byzantins.
first rewind previous Page / 1 next fast forward last
JavaScript is turned off in your web browser. Turn it on to take full advantage of this site, then refresh the page.