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FR
Le but de cet article est d’analyser les relations entre les Américains et les Français dans la période depuis la fondation du Comité Français de la Libération Nationale jusqu’à sa transformation au Gouvernement Provisoire de la République Française le 3 juin 1944. Dans la suite de l’opération TORCH, le gouvernement des Etats-Unis s’est engagé dans les affaires interieures de la France, pas seulement militairement mais aussi du point de vue de la politique. Le porte-paroles de ces intérêts était le président des Etats-Unis Franklin Delano Roosevelt qui dirigeait directement de la politique étrangère envers la France. Il était partisandes bonnes relations avec le gouvernement de Vichy; après novembre 1942 ce n’était plus possible, cherchait une direction alternative dans le gouvement français pour général Charles de Gaulle. Il a choisi le général Henri Giraud qui était promu à tout prix comme leader du pouvoir politique indépendant des gaullistes par l’administration américaine. La manifestation de cette ligne politique était ignorance de la fondation du Comité Français de la Libération Nationale et le refus du droit de se présenter comme le gouvernement provisoire qui existe à côté des alliés. Ces manipulations politiques résultaient pas seulement des calculs politiques du président mais aussi de sa profonde anthipatie personnelle pour le général de Gaulle qui determinait beaucoup sa politique. Roosevelt n’aimait pas de Gaulle en le considérant comme le fanatique français qui est pour le fascisme et dont les activités derangent les manipulations de la guerre. D’après le président, le temps de prendre les décisions politiques va arriver apres la victoire définitive et toutes les discussions antérieures sur ce sujet sont inutiles et nuisibles parce qu’elles dissipent l’effort de guerre des alliés. C’est à cause de cela il ne voulait pas discuter le rôle future de la France dans le monde d’après guerre. D’ailleurs il ne la voyait pas dans le rôle de la puissance, au contraire, il voulait la contrôler militairement. Dans ses conceptions de créer l’ordre mondial d’après guerre Paris n’avait pas d’importance. Roosevelt refusait longtemps son accord pour la colaboration politique avec de Gaulle, en l’isolant et le méprisant. Il n’était pas, non plus, incliné à l’accepter comme la tête du gouvernement provisoire français et même de l’organisation rassemblant les Français dans les efforts de guerre contre les pays d’Axe Berlin–Rome. Sa politique n’a pas mené à la conception cohérente de la politique envers la France mais elle a aussi approfondi les partages à l’interieur des structures des organisations françaises des émigrés. Elle a été basé sur la négation du rôle du général de Gaulle et de son organisation qui prétendait au rôle de la représentation des Français.
FR
Cet article est consacré à la politique étrangère de Napoléon III et à son image créé par les historiens polonais de la deuxième moitié du XIXe et du XXe siècles. En préparant cet article j’ai profité des travaux du XIXe siècle, de l’entre-deux-guerres et de ceux d’après la guerre. Les informations que l’on peut trouver dans des différents travaux sont fragmentaires et ne concernent pas directement la personne de l’empereur et sa politique étrangère. Il n’existe qu’une complète et assez actuelle biographie de l’empereur - le livre d’Alfred Liebfeld de 1979. L’image globale de la politique du Ile Empire que j’ai essayée de présenter dans ce texte, surgit à la base des descriptions incomplètes que l’on peut retrouver dans des ouvrages concernant l’histoire de France, d’Europe et d’histoire générale du XIXe siècle. Les sujets différents concernant la diplomatie de Napoléon III sont devenus des centres d’intérêt des historiens polonais. Cela dépandait des sujets traités par les historiens, des auteurs et de la période où l’histoirien donné avait écrit. Les points de la politique étrangère française pendant le règne de Napoléon III qui sont les mieux élaborés ce sont les guerres: de Crimée, italienne et franco-allemande. Il est évident aussi que la question polonaise du temps de l’insurrection de janvier a spécialement intéressé les historiens polonais. Cependant le sujet de la politique coloniale, semblant si marginal, a été aussi séparément élaboré dans l’historiographie polonaise. L’image de la politique de Napoléon qui surgit des descriptions des historiens du XIXe siècle et ceux d’après, n’est pas tout à fait objectif en raison du tait qu’en écrivant leurs ouvrages, les auteurs étaient sous l’influence de la légende napoléonnienne, toujours vivante dans la société polonaise. Les historiens du XXe siècle, ayant une grande distance aux événements décrits, sont beaucoup plus critiques et grâce à cela, plus objectifs au sujet de l’empereur et la politique extérieure menée par lui. On peut admettre comme complet l’image de la politique étrangère du Ile Empire, bien qu’elle surgisse des descriptions fragmentaires. Pendant presque 150 ans l’historiographie polonaise a crée une image des travaux de Napoléon sur l’arène intemationnale objective et critique.
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