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EN
This article presents different opinions of two American diplomatists - J. Monroe and J. Q. Adams about French events in years 1794-1797. J. Monroe was of opinion that rules of Dyrektoriat stabilized home situation in France in this period. In opinion of J. Monroe this government wanted to create republican system, in structure similar to American political system. However J. Q. Adams was of different opinion. In his reports from Prague to America he persuaded, that French system is far from home stabilization. The main aspiration of French republic was domination in Europe. He was also a witness of Holland downfall and birth of Batawska Republic in 1795. He noticed, that politics of Dyrektoriat was very insidious (doublcfaced). This government propagated noble aims (causes) of French revolution to destroy other European nations from the inside and to subordinate them to French politics. He was sure, that French imperialism would lead to the conflict with all Europe. In a measure these diferent reports from Paris and Prague influenced the government of G. Washington and led to the neutral position of this government in politics towards Europe.
EN
The military-fiscal problems played an important part in the political activity of opposition during the Seym of 1786. The unpopularity of the court’s military policy gave facilities to opposition for setting the Unity of the Court Party at variance. The passive behaviour of the king Stanisław August was conducive to that while the opposition was showing a great amount of activity. There was a sign of this situation - the carrying of rider to resolution approving the activity of the Standing Council’s War Departament. The tenor of this rider does not deserve such a severe criticism how it was suggested by previous historical opinions. The analogous success of opposition was connected with approval of the Polish Treasury Commitee’s activity. These facts show that the opposition’s programme did not limit to negation but it contained constructive elements. The criticism of unsuccessful regulations enacted by the War Departament played an important part in discussion about military subjects. The opposition attacked: - The way of formulation of these regulations. - The transgression of War Departament’s powers established by resolution from 1776. - The merits of military problem’s solution. For the opposition the criticism of War Departament was the part of action against the Standing Council. The particular streams of opposition set their hopes on that action. The above-mentioned discussion was the announcement of political changes which appeared at the beginning of the Great Seym-especially the resolution from November 3/4th, 1788 repealed the War Departament of Standing Council.
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FR
C’est dans la médicine que Jean Chrysostome (environ 354-407), l’un des plus féconds Pères de l’Église, avait bien souvent puisé ses exemples et ses comparaisons. Ces informations qui sont insérées dans ses oeuvres jéttent une certaine lumière sur l’attitude de la société envers la science médicale et les médecins. Il estimait beaucoup la science médicale parce que selon lui, grâce à elle, un homme pouvait entretenir son corps en bonne santé et, par là, l’âme pouvait atteindre le salut étemel. Il fit la connaissance de quelques théories scientifiques pendant ses études à l’école de Libanios. Il appréciait aussi hautement ceux des médicins qui se distinguaient par leur savoir, leur activité professionelle respectant les régies de l’art médical. Un tel médecin était entouré d’une grande dose de confiance et même dans des situations sans espoir les malades se fiaient à eux. Cela incitait les médecins à des recherches de moyens curatifs nouveaux. Jean Chrysostome ne condamne pas les médecins qui persuadés de l’inefficaoement de leur traitement le cessait. Dans les cabinets médicaux les médecins donnaient des consultations, auscultaient, faisaient des opérations, préparaient des médicaments et les vendaient. Jean Chrysostome mentionne surtout le travail des chirurgiens, ne parlant guéde du côte technique de l’opération, par contre, il redonne, d’une façon plastique, l’atmosphère dans laquelle elle se réroulail. Il assure qu’il connaît un bon nombre de maladies, mais le plus souvent, il cite celles qui découlaient de la gloutonnerie et de l’ivrognerie. En tant que moraliste fervent et ascète il combattait avec acharnement les défaut des couches sociales riches en y voyant un obstacle sur le chemin du salut éternel. Dans cette lutte il se servait des arguments qu’il les trouvait dans la science médicale et il fraisait appel à l’autorité des médecins. Parmi les méthodes de traitement, à côte de la chirurgie, il cite l’hydrothérapie, la cure de climat, la diète et l’application du principe de contradiction. Il attribue un rôle de premier plan aux médicaments préparés par les médecins. De la lecture de ses oeuvres on a l’impression que le traitement était très répendu bien qu’il soit lié à des frais importants. Il est évident que les médecins accommodaient le montant des honoraires aux possibilités matérielles des malades. Les médecins publiques traitaient Is pauvres gratuitement. Les voyageurs pauvres et les misérables profitaient de l’aide médicale dans les institutions appelées xenon, katagogion, nosokomeion, administrées par l’Église du IVe siècle. Jean Chrysostome était tellement convaincu dans les grandes possibilités de la science et de l’art médicale qu’il ne pouvait croire aux préjugés populaires. Ce n’est que dans une homélie qu’il parle de guérisons miraculeuses qui, parait-il, avaient eu lieu auprès des tombes des saints martyrs. Pourtant le fait, que Jean Chrysostome de nature rationaliste n’a pu résister à une conviction croissante de la force guérison surnaturel des saints, témoigne de rôle grandissant de cette tendance, dans laquelle, la théorie médicale et la foi coexistaient dans la conscience de générations des Byzantins.
PL
Artykuł był przedstawiony w języku francuskim na kolokwium polsko-francuskim w Instytucie Historii UL w mercu 1980 r.
FR
Le chômage était un phénomène constant pendant les vingt années d'entre deux guerres. Il embrassait un pourcentage considérable de prolétariat piotrkovien. Notamment hauts étaient les nombres des chômeurs dans les années de la grande crise économique; ils atteignaient 5000 personnes. Le P.C.P. s'intéressait au sort des chômeurs. Il menait une large campagne en faveur de la pleine liquidation du chômage au moyen de la reconstruction radicale de l'économie et du changement du régime politique. De telles aspirations étaient exposées dans son programme maximum. Cependant comme postulats courants, il suggérait l’appui financier et matériel à tous les chômeurs. Il organisait tous ceux qui étaient sans travail à la lutte pour toutes ces demandes et patronnait cette lutte sans en exclure les formes les plus aiguës, c.à d., les démonstrations dans les rues et les marches des affamés. De telles manilestations avaient lieu aussi à Piotrków: en lévrier 1927; en avril 1930, en mai 1935. Elles amélioraient provisoirement la situation des chômeurs, mais n’étaient pas en état de la changer radicalement. C’est pourquoi le P.C.P. liait de plus en plus fort la solution du problème de chômage aux autres décisions constitutionnelles essentielles. Il préparait le prolétariat aux changements qui devaient venir par toute son activité organisatrice, animatrice et politique.
FR
Pendant que tous les membres de la diète étaient considérés comme une élite de. la nation, ceux d'entre eux qui étaient les ptis actils et jouaient un rôle particulier dans la vie parlementaire créèrent un groupe restreint de dirigeants des débats. C'est à eux, la véritable élite parlementaire, que l’auteur consacre ses considérations. En rivalisant d'influences cette élite élabora, à l'époque du roi Stanislas, les formas nouvelles de la lutte. Dans l'action de diétines apparut la division do cellos- -ci, appliquée par le roi. La diminution du rôle do la protection dans le maintien de la compacité des partis était accompagnée d'un accroissement de la lutte de programme, qui devint décisive dans la période finale. C'est alors qu’apparurent de différentes conceptions se rapportant au développement ultérieur politique, social et culturel de la Pologne, élaborées par le roi, par ses adversaires et enfin par Hugo Kołłątaj. Le rôle et l'adresse de l'élite se manifestèrent pendant les débats. Cependant un phénomène intéressant se fit voir: la restriction progressive do l'activité parlementaire directe. Seul le début de la Diète de Quatre Ans fit une ex ception. La limitation des possibilités de se présenter devant la diète résultait de la transformation de la lutte parlementaire en bataille des partis, ce qui diminua l'importance du discours devant la diète, qui, d'ailleurs, ne pouvait aucunement influencer la façon et les résultats du vote. Le relâchement des liens de parti au début de la Diète de Quatre Ans causa l'animation nouvelle de la discussion. Neuve était aussi la tendance représentée par le parti royal d'achever promptement les débats, ou de s'en abstenir, pour terminer le vote dans les conditions de la prépondérance écrasante.
PL
Artykuł stanowi część pracy magisterskiej pisanej na Seminarium Historii Polski Średniowiecznej UŁ, pod kierunkiem prof. dr. Stefana Krakowskiego.
FR
L'un des plus proches collaborateurs de Władysław Łokietek, dans la dernière décennie du XIIIe siècle, était son chancelier , Pełka, Il naquit dans la famille d'un chevalier, probablement dans la région de Sandomierz (Petite-Pologne). Avant de commencer ses activités auprès du prince, il était préposé de la collégiale S. Florian à Kleparz, faubourg de Cracovie. C'était une personne instruite. Il obtint sa licence à l'une des universités fonctionnant contempjrairement en Europe. Quand Władysław Łokietek fut devenu maître des terres de Cracovie et de Sandomierz en 1289, il devint son chancelier en Cujavie, et, en 1294, après l'annexion de la principauté de Łęczyca sa translation au poste de chancelier dans cette région eut lieu. Depuis novembre 1296, il était chancelier de Sieradz, et jusqu'à 1299 chancelier unique du prince, qui régnait encore en Grande-Pologne et en Poméranie de Gdańsk. Devenant chancelier de Sieradz il obtint aussi la charge du curé à Pajęczno. Les revenue qu'il en tirait constituaient, avec ceux, provenant de quelques autres villages, les appointements de sa charge. A côté de ses activités dans la cure, où le travail consistait en rédaction des documents,il s'occupait de l'action politique en collaborateur de confiance du prince. En février 1297, il participait aux pourparlers avec eveque de Cracovie, Muskata, et en novembre de la aéae année, avec le roi tchèque, Vaclav II. Brx septembre 1298, il servait d'intermédiaire dans les pourparlers avec les citadins de Lübeck concernant l'aide financière à Łokietek, et en Juillet 1299, 11 prit part â la rencontre avec l'archevêque de Gniezno, Jakub Świnka. C'était sa dernière apparition dans les sources. Certes, il mourut sous peu.
FR
En faisant un essai de définir les étapes du développement de la conscience de la classe paysanne en Pologne annexée par les envahisseurs, l'auteur distingue deux courants de cette conscience: social et national et indique leurs mutuelles dépendances. C'était l'abolition du servage personnel en 1807 qui joua un rôle important dans le processus du développement de la conscience sociale. Celle-ci permit aux paysans de se rendre compte de la nécessité de lutter pour les sphères suivantes de la liberté, de se rendre libres de la corvée et de la supériorité foncière du propriétaire (au moyen de l'affranchissement). La conscience nationale des paysans polonais naissait sous l’influence du mouvement libérateur national; la politique antipolonaise de russification et de germanisation exerçait aussi une influence considérable sur l'approfondissement de ce processus. L’auteur montre les différences et les ressemblances dans l'avancement des paysans de terres annexées par trois envahisseurs vers la compréhension de la place de la classe paysanne dans la moderne nation polonaise. L'auteur parle aussi des initiatives sociales prises dans le domaine de l'économie et de l'instruction publique. Le fait que la plupart des paysans cessèrent de se faire illusions sur le rôle protecteur des monarques envahisseurs, ne défendant qu'apparemment la campagne contre les grands propriétaires, accéléra la naissance de ces initiatives. L'origine du mouvement populaire et la participation active da la campagne uns la révolution de 1905—1907 prouvent le mûrissement des opinions politiques de la classe paysanne,
FR
L'article présente les problèmes se rapportant à l'ouverture et l'activité du Cinématographe Didactique Municipal, inauguré en 1922 en réponse à l'appel de l'institut des Démonstrations Lumineuses à Varsovie. Ce poste était prévu comme une institution culturelle et didactique dont le but était d’instruire, d'enseigner et de fournir une distraction convenable à la jeunesse et aux adultes. Chaque jour, on y passait trois programmes suivant l’âge et la préparation des spectateurs. Pendant les heures matinales, avaient lieu les séances pour les élèves des écoles primaires (classes V—VII). Dans les après-midi, on passait les films récréatifs pour les jeunes; les soirées étaient destinées aux adultes. Comme supplément aux grands films, on projetait les films scientifiques et didactiques. La production des films des courts et des moyens métrages é tan t encore dans les langes, la pratique, surtout vers la fin des années vingt et au début des armées trente, s’écartait des principes de programme du cinéma didactique. Les difficultés financières obligèrent les autorités municipales à la fermeture du cinéma en 1933.
FR
Avant la IIème guerre mondiale, la Pologne ne disposait gue des armes blindées impuissantes. Cet état de choses résultait de la faiblesse économiguc du pays, du bas degré de motorisation et du mangue de compréhension de la part des autorités. En 1935 lut créé le 10. Bataillon blindé stationnant à Łódź et à Zgierz. Il comptait 400 soldats et avait à sa disposition 33 petits chars d'assaut. Ils étaient faiblement blindés et une seule mitrailleuse constituait leur armement. Devant la menace directe du côté de l'Allemagne hitlérienne, on décréta la mobilisation secrète. Dans le cadre de celle-ci, le 10 Bataillon blindé mit sur pied deux compagniés, y compris la 41. Compagnie des chars d'assaut de reconnaissance. On l’affecta à la 30. Division d’infanterie de l’Armée „Łódź". La 41. Compagnie patricipait aux combats de l’avant-terrain de la rivière Warta, ensuite elle prenait part à la défense de la ligne principale de resistance sur la rivière Widawka. Malgré les modestes possibilités la compagnie accomplissait les devoirs gu’on lui avait imposés pendant la retraite de la division. Elle prit aussi part dans la bataille près de Żyrardów, en finissant le 13 septembre — faute de fuel — sa voie de guerre, dans le voisinage nord de cette ville. Les officiers, les sous-officiers et les soldats firent preuve d’une bonne formation et d’une disposition au plus grand dévouement.
PL
Artykuł był przedstawiony w języku francuskim na kolokwium polsko-francuskim w Instytucie Historii UŁ w marcu 1980 r.
FR
D'abord on a présenté le territoire étant objet des considérations, limité dans le Midi par la Porte de Moravie, ensuite par une large ceinture le long des Sudètes jusgu'à la Porte de Lusace et des sources de la Neisse de Lusace vers le Nord de l'Oder. Dans la suite on a abordé le problème du choix de l'itinéraire de marche de l'armée. En se basant sur l'analyse des guerres, on a démontré que l'envahissement pouvait Être attendu des directions qui menaient par les terrains facilement accessibles, permettant d'éviter les régions humides, embrouillées, couvertes de broussailles. Dans la dernière partie de l'article on a postulé la continuation de recherches qui devraient se concentrer sur la reconstruction du milieu géographique. Ces recherches liées à la disposition des pointe de résistance nstables, tels que: castel, rempart ou perche, contribueraient à l'établissement des itinéraires de la marche des troupes armées.
FR
Il faut étudier la conscience historique polonaise du XVIIIe siècle dans le contex te du siècle de lumières européen. Ses éléments originaux, polonais étaient: le rapport critique envers l'histoire, qu'on a commencé â considérer du point de vue de son apport dans le développement de la civilisation, l'appel à l'affermissement du pouvoir central, la laicisation et la rationalisation de la „conscience historique". La synthèse indigène de l'histoire nationale, initiée par A. Naruszewicz, était continuée par T. Czacki, J. S. Bandtkie, L. Gołębiowski. Les idées et les courants nouveaux atteignaient de vastes cercles des destinataires par l'intermédiaire des élites intellectuelles. Cependant, il est impossible, vu les lacunes dans les recherches, de constater en sûreté, pendant l'examen des symptômes de la conscience historique dans les cercles les plus étendus de la société, quels genres des informations y parvenaient et en quelle mesure celles-ci étaient absorbées.
FR
Il y eut deux tournants dans la culture politique de la seconde moitié du XVIIIe siècle. Le premier lut initié au début de cette période par ainsi nommée La Famille (les Czartoryski et Stanislas Auguste Poniatowski). Les élites éclairées (le monarque et les magnats éclairés) se rendaient compte que la possibilité d'exercer le pouvoir constructif en Pologne et de développer le pays dans tous les domaines dépendait de la collaboration authentique, "en partenaire" du pouvoir central avec la noblesse moyenne, de la cour royale avec la diète, et plus précisément, avec la Chambre, de députés, à la base de la réalisation du programme dirigé contre les magnats. Las élites éclairées ne réalisaient que partiellement l'intérêt de la noblesse moyenne au détriment de celui des magnats. En majeure partie la souveraineté du pouvoir était en main du roi ou dos magnats éclairés. Les élites écla irées tondaient, en dehors du dévoloppment de la République, à assurer aux magnats se modernisant l’initiation politique, économique et culturelle dans le pays. Ce qui caractérisait l'idéologie des élites éclairées, c'étaient la compréhension universelle, à l'exemple de l'Occident, du progrès et la tendance de transplanter les modèles étrangers dans notre pays. Le système de la protection étrangère décida de l'épuisement des possibilités réformatrices du premier tournant. Dans cette situation un aute tournant surgit. Celui-ci portait les traits du siècle de lumières, mais il était aussi républicain. Ses idéologues principaux étaient: Stanisław Staszic et Hugo Kołłątaj. Ils avaient formulé la doctrine de la culture républicaine moderne, la doctrine qui domina le deuxième tournant. Portant le caractère de projection par rapport à la noblesse moyenne et dirigé contre les magnats, elle formulait l'idée du rapprochement de la noblesse et de la bourgeoisie et accentuait le problème de la souveraineté de la Réqublique. Ce tournant commença à jouer un role décisif dans la vie de la nation et du pays pendant la Grande diète.
FR
On peut discerner trois phases dans la formation des instances locales de l'Union des Patriotes Polonais en U.R.S.S. La première renfermait la période d'une année (l'été 1943 — l'été 1944) et embrassait les plus grands groupements polonais gui, en 1943, se trouvaient en arrière du front de l’Est. La deuxième se liait avec de déplacement de la population polonaise en 1944 sur les terrains nouvellement libérés de la République Ukrainienne et de la République fédérative de Russie. La troisième embrassait la formation de l'Union des Patriotes Polonais sur les terres anciennement polonaises: l'Ukraine de l'Ouest et la région de Wilno. Les administrateurs locaux de l'Union des Patriotes Polonais étaient nommés par les autorités supérieures. C’étaient avant tout les travailleurs de l'appareil central de l'Union dos Patriotes Polonais qui s'en occupaient ou bien les personnes do confiance autorisées par eux, issues des collectivités particullières polonaises. C'est la presse polonaise en U.R.S.S. qui joua un rôle inspirateur considérable dans le développement du réseau de l'Union des Patriotes Polonais. On ne réussit pas à former les postes de l'Union sur le's terrains de la Biélorussie de l'Ouest et dans les troupes polonaises.
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