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Podlaska i Suwalska Brygada Kawalerii w walkach o wyjście z okrążenia niemieckiego we wrześniu 1939 r.

100%

Kozłowski W.

Acta Universitatis Lodziensis. Folia Historica

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1984

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issue 19

85-104

EN

The Independent Operational Group „Narew" was established when in March 19Э9 the military threat of Third Reich became тюте pronounced. Its task was to defend the Narew-Biebrza line in order to protect the eastern wing of the army „Moidlin" and the railway track Warszawa-Grodno. Defeat on the front line, and thus on the Narew river led to retreat of the group. Its 18th infantry division was defeated by the prevailing enemy forces, while the cavalry - despite big losses - broke through to the East and reached later General Franciszek Kleeberg's troops ending its combat operations on October 5, 1939 near Kock.

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Odrodzenie artylerii polskiej w 1914 roku

100%

Kozłowski W.

Acta Universitatis Lodziensis. Folia Historica

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1989

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issue 33

141-159

FR

Dans la deuxième moitié du XIXème siècle eut lieu le développement technique de l'artillerie. L'état polonais n'existait pas alors et depuis 1831 l’armée n'existait non plus. L'infanterie et la cavalerie renaissaient pendant les insurrections nationales, cependant il n'y avait pas d'artillerie dont le matériel était irreproductible. Seulement au debut du XXème siècle, en Galicie, naquirent les possibilités d'entreprendre les travaux ayant un caractère militaire et visant à l'indépendance. Quand la Première guerre mondiale avait éclaté, naquirent les Lésions Polonaises. Les troupes de chasseurs commandées par Joseph Piłsudski franchirent les premières la frontière du Royaume en se dirigeant vers Kielce. A Tumlin voisin, Joseph Piłsudski prit la décision de former l'artillerie. Il chargea de cette tâche le capitaine Ottokar Brzoza-Brzezina, patriote polonais d'origine tchèque. Le premier régiment d'artillerie, composé de cinq batteries, dont chacune avait quatre canons, fut formé à Cracovie dans la période entre le 18 août et 30 septembre 1914. Ainsi après 83 ans d'interruption renaquit l'artillerie polonaise. Bien que munie d’un matériel vieilli, elle partit au front. Plusieurs artilleristes passèrent par ses rangs, en obtenant les qualifications indispensables, quand les canons modernes complétèrent l'armement. Quand la Pologne devint libre, ils organisèrent l'armée et son artillerie.

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Zgierska 41 Samodzielna Kompania Czołgów Rozpoznawczych w 1939 roku

100%

Kozłowski W.

Acta Universitatis Lodziensis. Folia Historica

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1986

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issue 24

89-108

FR

Avant la IIème guerre mondiale, la Pologne ne disposait que des armes blindées impuissantes. Cet état de choses résultait de la faiblesse économique du pays, du bas degré de motorisation et du mangue de compréhension de la part des autorités. En 1935 lut créé le 10. Bataillon blindé stationnant à Łódź et à Zgierz. Il comptait 400 soldats et avait à sa disposition 33 petits chars d'assaut. Ils étaient faiblement blindés et une seule mitrailleuse constituait leur armement. Devant la menace directe du côté de l'Allemagne hitlérienne, on décréta la mobilisation secrète. Dans le cadre de celle-ci, le 10 Bataillon blindé mit sur pied deux compagniés, y compris la 41. Compagnie des chars d'assaut de reconnaissance. On l’affecta à la 30. Division d’infanterie de l’Armée „Łódź". La 41. Compagnie patricipait aux combats de l’avant-terrain de la rivière Warta, ensuite elle prenait part à la défense de la ligne principale de resistance sur la rivière Widawka. Malgré les modestes possibilités la compagnie accomplissait les devoirs qu’on lui avait imposés pendant la retraite de la division. Elle prit aussi part dans la bataille près de Żyrardów, en finissant le 13 septembre - faute de fuel - sa voie de guerre, dans le voisinage nord de cette ville. Les officiers, les sous-officiers et les soldats firent preuve d’une bonne formation et d’une disposition au plus grand dévouement.

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Obrona środkowej Narwi i Biebrzy w 1939 roku

100%

Kozłowski W.

Acta Universitatis Lodziensis. Folia Historica

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1981

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issue 5

1-182

DE

Die Zunahme der politischen Spannung in Europa und die zunehmende Bedrohung seitens des III Reiches haben die polnische Regierung gezwungen, die Verteidigungsvorbereitungen vorzunehmen. Als am 21. III. 1939 die Deutschen ihre territorialen Ansprüche gegen unser Land wiederholt haben, wurden unsererseits endsprechende militärische Maßnahmen intensifiziert. Sie beruhten hauptsächlich auf der Vorbereitung des Kriegsplanes "Westen", auf der Ernennung des Generals Czesław Młot-Fijałkowski zur Armeeführung, und der selbstständigen Operationsgruppe "Narew" (Besetzung: 18 und 33 Infanteriedivision, Podlaska und Suwalska Kavalleriebrierbigaden) und auf der Aufnahme der Arbeiten bei der Grenzbefestigung. Die Aufgabe der Gruppe beruhte auf der Deckung des Ostflügels der "Modlin" Armme, und der Eisenbahnstrecke Warszawa-Białystok-Grodno. Die Hauptverteidicungslinien bildeten die Flüsse: Narew und Biebrza. Die Breite des Operationsraumes der Armee von G. Młot-Fijałkowski betrug fast 200 Km., was die Verteidigungsmöglichkeiten fünffach übersteigerte. Als die Hitlersoldaten am 1.IX.1939 Polen überfallen haben, zählte die Gruppe "Narew" 50 ООО Soldaten und fast 21 000 Pferde. Die Ausrüstung bildeten: 138 Feldgeschütze, 88 Panzerabwehrkanonen und 24 Flugzeuge; außberdem 26 Erkundungstanke und 18 Fliegerabwehrkanonen. Panzerwaffe und Luftwaffe waren veraltet.

5

Niedoszła akcja armii „Poznań" między Prosną a Wartą w 1939

100%

Kozłowski W.

Acta Universitatis Lodziensis. Folia Historica

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1981

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issue 3

117-137

DE

Als im September 1939 Polen vom Dritten Reich angegriffen wurde, erlitt die Armee „Łódź" einen äußerst harten Schlag. Der Aufmarsch der überwiegenden feindlichen Streitkräfte hätte allem Anschein nach aufgehalten werden können, wenn es der polnischen Seite gelungen wäre, mit dem Gros der Armee „Poznań" sowie der Armee „Prusy", die eine Reserve des Oberbefehlshabers bildete, eine Angriffswendung auszuführen. Die Idee einer solchen Aktion stammte vom General Tadeusz Kutrzeba, dem Befehlshaber der Streitkräfte von Wielkopolska. Es fehlte ihm aber an Ausdauer, um diese zeitgemäße Konzeption in die Tat umzusetzen. Hinzu kamen noch eine Reihe von anderen ungünstigen Faktoren, wie das Ausbleiben einer zweckgerechten Zusammenarbeit mit dem Kommando der Armee „Łódź", die ständig abbrechende Verbindung mit dem Oberbefehlshaber sowie das rasche Vordringen der feindlichen Heere, deren Luftstreitkräfte den Luftraum völlig beherrschten und ihnen die operative Bewegungsfreiheit erzwangen. Das Zusammenwirken einer Reihe von tragischen Ereignissen sow ie der Umstand, daß die ständigen Änderungen der Frontlage sich der Kontrolle der polnischen Heeresleitung, insbesondere der auf der obersten Stufe, entzogen, hatten zur Folge, daß die Durchsetzung der durchaus zweckgerechten Initiative unmöglich wurde. Die Armee „Łódź" erhielt keine Unterstützung vom Norden Polens und somit war sie gezwungen, die Hauptverteidigungslinie an der Warthe am 5. September zu verlassen und den Rückzug anzutreten. Daraus ergab sich die Notwendigkeit, die Gesamtheit der polnischen Streitkräfte auf das jenseits der Weichsel gelegene Gebiet zurückzuziehen, was nur teilweise realisiert wurde.

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Pułkownik Józef Pecka - żołnierz i dowódca. Dopełnienie „nieznanego” losu (1939-1940)

100%

Kozłowski W.

Acta Universitatis Lodziensis. Folia Historica

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1998

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issue 61

189-210

FR

L’article constitue le supplément de la biographie du colonel Józef Pecka publiée en 1981. Il concernait le soldat des Légions Polonaises, l’officier de l’Armée Polonaise en IIéme Republique de Pologne, qui en septembre 1939 était le remplaçant du commendant de la 38Lmc Division d’infanterie de l’Armée „Karpaty” . Apres avoir terminé des activités de guerre près de Lvov, Józef Pecka est rentré chez lui. Il habitait le village Równe Wołyńskie, où avant la guerre il était le commendant du Régiment du Corps de la Sauvegarde de la Zone Frontière - „Zdołbunów", étant une unité de combat élue. Là-bas il a été arrêté par les Russes. Les matériaux d’archives découverts dernièrement permettent de reconnaître la suite de la vie du colonel. Donc, s’est trouve-t-il au camp de Starobielsk d’où au printemps de 1940 on l'a déporté à Charków. NKW D de là-bas a assassiné quelques milles captifs polonais. C’étaient les officiers du Service militaire et des resrves de l’Armée Polonaise. Józef Pecka un brave soldat a aussi réussi un coup de pistolet à la tête.

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Powstanie artylerii I Korpusu Polskiego. Sierpień 1917 - luty 1918 rok

100%

Kozłowski W.

Acta Universitatis Lodziensis. Folia Historica

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1990

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vol. 38

23-55

FR

Après la révolution de février en Russie, on procéda à la création des formations militaires polonaises. Au milieu de l'an 1917, en Biélorussie, prit naissance le Premier Corps Polonais, faisant partie de l’armée russe. La lutte contre les Allemands c'etait son objectif. Le Corps devait se composer de trois divisions d'infanterie, de l'artillerie et d'autres troupes militaires. En septembre 1917 on procède à l'organisation de l'artillerie se formant aux environs de Witebsk. La batterie de réserve vit le jour la première, ensuite on forma la Ière et la IIère brigades d’artilerie, la division de mortiers et celle de l'artillerie lourde. Quoiqu'il eût des difficultés du matériel, les meetings des soldats durassent et le maintien de la discipline donnât des 'ennuis aux commandants, vers la fin de 1917, les dé tachements de l’artillerie, qui comptaient 2,5 mille soldats de ligne, étaient partiellement armés. Le manque de soldats était bien ressenti, puisque ceux-ci voulaient rentrer chez eux au plus vile possible et à contre coeur s’adonnaient à la discipline sévère du Ier Corps. Le commandant du Corps déclarait la neutralité par rapport aux affaires intérieures de la Rusie. En réalité, il agissait plusieurs fois contre le pouvoir soviétique, qui visait à la démobilisation de toute l'armée, donc du Corps aussi. En janvier 1918, les troupes dispercées du Ier Corps Polonais entamèrent les marches vers la région de Bobrujsk. L'artillerie se concentra aux environs de la localité de Krynki, située au sud-est de Witebsk. Là, elle fut entourée et désarmée; résultat, quelques groupes seulement parvinrent à Bobrujsk, où on procéda bientôt à la récréation des troupes.

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Artyleria II Korpusu Polskiego (listopad 1917- maj 1918)

100%

Kozłowski W.

Acta Universitatis Lodziensis. Folia Historica

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1991

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vol. 43

23-56

FR

Après la révolution de février en Russie l'on a commencé à organiser les formations militaires polonaises. En Biélorussie on a crée le Ier Corps Polonais. Cependant après la révolution d'octobre a été crée le II-ème Corps Polonais formé à partir des soldats polonais dans l'Armée Russe (fronts: roumain et en partie du Sud-Ouest). Malgré le retard le corps comptait: 4-ème et 5-ème (Division des Tireurs, brigade d’artillerie, division d'artillerie lourde, 5-ème et 6-ème régiment des ulans et d'autres petites unités. Face aux croissantes difficultés de mobilisation dues à la décomposition de l’armée russe, le II-ème Corps Polonais a été renforcé par la II-ème Brigade des Légions Polonaises laquelle a forcé le front de Barańcza en quittant les états du centre. Pour échapper aux Allemands le Corps a dû quitter le Bessarabie et a commencé à marcher vers la direction nord-est. L'artillerie se composait du personnel fort instruit. Les deux brigades disposaient des canons suffisants mais il manquait d'artilleurs. Faute de temps la réorganisation n'a pas pu être finie. On envisageait la création du division de l'artillerie montée. Malgré les difficultés d'approvisionnement les soldats gardaient le moral. Cependant les Allemands ont fermé le chemin près de Kaniówlieu du passage par Dniestr. Le II-ème Corps attaqué par les Allemands le 11 mai 1918 leur a opposé la résistance. L'artillerie I légere et montée renforçait les efforts de l'infanterie et des cavaliers. Malheureusement on ne s'est pas dûment servi de l'artillerie lourde. Après avoir perdu toute la munition d'artillerie, le Corps a dû capituler.

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Wojskowe znaczenie ziemi łódzkiej w 1939 r.

100%

Kozłowski W.

Acta Universitatis Lodziensis. Folia Historica

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1981

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issue 8

93-108

RU

Территория Лодзи играла важную операционную, мобилизационную и экономическую роль. Она представляла собой натуральное прикрытие польской столицы, тах как именно здесь проходил главный путь немецкого наступления от Слёнска на Варшаву. Поэтому на лодзинской земле находилась значительная часть линии основной обороны, проходящей вдоль Варты и Видавки. Защищать её должна была армия „Лодзь", действующая в поясе шириной около 100 км. Задание этого операционного союза заключалось u прикрытии направления ведущего в Лодзь и Пётркув Трибунальски, в защите прилегающих к этим городам районов, в п оддерж ке связи с левым соседом, в контролировании направления Радомско-Скаржнско Камениa и в готовности нанести удар из под Серадза на север. На рассматриваемой в статье территории стояло много военных частей. В Лодзи, например, находилось командование 10-й дивизии пехоты и два полка (пехоты и артиллерии), 4-й полк тяжёлой артиллерии и ряд других меньших отрядов. Остальные два полка пехоты этой дивизии стояли в Серадзе и Варшаве. Командование же 26-й дивизии пехоты, а также полк пехоты и артиллерии находилось в Скерневицах, так как остальные силы были сосредоточены в Ловиче и Кутне. Кроме того, в гарнизоне Пётркова Трибунальского стоял 25-й полк пехоты принадлежащий к 7-ой дивизии пехоты в Ченстохове. Территория Лодзи служила важным центром пополнения войск. Лодзь вместе с прилегающими к ней окрестностями представляла собой огромный, густо населений промышленный центр. Около 2/3 общей численности мужчин - это резервисты и призывники. В связи с огромным преимуществом Вермахта, результат войны в Польше был предрешен. На Варте и Видавке оказалась слабая армия „Лодзь". На севере её соседом была армия „Познань", на юге - армия „Краков". В тылу левого крыла армии „Лодзь" должна была сконцентрировать свои силы армия „Прусы", стратегические резервные части польского главнокомандующего. В сентябре 1939 г. на Лодзинской Земле происходили самые ожесточённые и частые бон. Здесь немцы разбили четыре из семи армии. Польский солдат, отступая, наносил врагу значительные потери. С Запада не поступила обещанная помощь, которая являлась основой польского плана обороны. Несмотря на это III Германская Империя была втянута в войну с коалицией, которой она не могла выиграть. Таким был смысл сопротивления Польши в сентябре 1939 г.

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Twórcy podstaw wojskowości i policji w Łodzi 1918-1919

100%

Kozłowski W.

Acta Universitatis Lodziensis. Folia Historica

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2001

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issue 71

5-16

EN

The restitution of the Polish state after the 123 years of national slavery urgently demanded the creation of military forces and police. Łódź was a seat of the VIII Military District (commander - Col. Albin Marian Jasiński from former Russian army), which comprised three administrative districts (powiaty): łódzki, brzeziński and łaski. The Łódź General District came into being on November 17th 1918. It was the basic element of the military division of the territory of the stale. General Jan Romer (from former Austro-Hungarian army) had been appointed the first commander of the District but unfortunately being the British prisoner of war he did not managed to returned to Poland on time. Therefore it was general Aleksander Osiński (from former Russian army) who in fact became the first commander of the Łódź General District in those circumstances. Colonel A. M. Jasiński was an organiser of the Łódź territorial infantry regiment which constituted the base for the future 28th Infantry Regiment of Children of Łódź. General A. Osiński who stay in Łódź till August 1919, organised the territorial structure of the command on the District's level, supervised the creation and developing of the structure of the recruiting boards for men and horses, controlled the formation of the military units and their dispatching to the front as well as the reinforcements for them. In the same time general Stanisław Suryn (from former Russian army) contributed very much to the process of the creation of Municipal Militia in Łódź and to disarmament of German troops in the town in November 1918. All three officers (A. M. Jasiński, S. Suryn i A. Osiński) rendered great services to the foundation of the cornerstone of the Polish statehood first in Łódź, and then with their activity as the commanders in the ranks of the army of the Second Republic of Poland.

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Pułkownik Józef Pecka - żołnierz i dowódca. Zarys biografii

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Kozłowski W.

Acta Universitatis Lodziensis. Folia Historica

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1981

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issue 7

185-206

RU

Польская резервная 38 дивизия пехоты формировалась в период всеобщей мобилизации н первые дни сентября 1939 г. Большинство её подотделов снарядил Корпус Охраны Пограничной полосы. Дивизия оказалась в районе Пшемышля, где и начала свой боевой путь. Тогда-то и проявил особые достоинства полковник Юзеф Пецка, заместитель командира дивизии. Не сломило его трагическое положение на фронте, вызванное решительным, численным преимуществом немцев и современным оборудованием врага. Именно полковник Юзеф Пецка - с помощью других офицеров - был главным координатором отступательного марша дивизии, которая пробивалась через очередные немецкие преграды. Под градом авиабомб, под артиллерийским огнём противника,, полковник вёл свои колонны пехоты, которые не поддались панике благодаря примеру этого офицера. Его знание военного ремесла, понимание нужд простых солдат и мужество - это факторы влияющие на ход отступления. Благодаря им, после упорных боёв, остатки дивизии дошли до Львова (19-20 IX 1939 г.).

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11 Acta Universitatis Lodziensis. Folia Historica

11 Kozłowski W.

1 2001

1 1998

1 1991

1 1990

1 1989

1 1986

1 1984

4 1981

Podlaska i Suwalska Brygada Kawalerii w walkach o wyjście z okrążenia niemieckiego we wrześniu 1939 r.

Odrodzenie artylerii polskiej w 1914 roku

Zgierska 41 Samodzielna Kompania Czołgów Rozpoznawczych w 1939 roku

Obrona środkowej Narwi i Biebrzy w 1939 roku

Niedoszła akcja armii „Poznań" między Prosną a Wartą w 1939

Pułkownik Józef Pecka - żołnierz i dowódca. Dopełnienie „nieznanego” losu (1939-1940)

Powstanie artylerii I Korpusu Polskiego. Sierpień 1917 - luty 1918 rok

Artyleria II Korpusu Polskiego (listopad 1917- maj 1918)

Wojskowe znaczenie ziemi łódzkiej w 1939 r.

Twórcy podstaw wojskowości i policji w Łodzi 1918-1919

Pułkownik Józef Pecka - żołnierz i dowódca. Zarys biografii