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L ’article relationne les méthodes de renforcement des murs et voûtes crevassées, employées p ar raport aux monuments historiques des voï'evodies de Opole et Katowice. On y p a rle des causes de la formation des fissures e t l’on présente des méthodes de construction ayant pour but le renforcement des murs et voûtes. On indique également des formules pratiques pour le mesurage des étriers qui renforcent les murs portants des monuments historiques contre le mouvement horisoratal du sol.
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Au cours des trav a u x de construction dans l’a n cienne église St. Nicolas à Brzeg, dept. Opole, on a employé un échafaudage spécial, une tour mobile. Cette to u r a les dimensions suivantes: environ 28 m de h au teu r et une coupe horizontale rec tan g u laire 8,0X4,0 m. Elle est faite en bois, de poutres et de planches spéciales, unies p a r des chevilles et des clous.A l’aide des blocs maniés à la main la tour peut fa cilement glisser sur les rails le long de la nef. Pour tran sp o rte r le matériel de construction en h au t on a employé un appareil de levage à un m â t attaché à la tour. D’au tre p a rt le montage de la construction en acier soutenant le toit fu t fait à l’aide d’une légère chèvre placée sur une plateforme de travail. La tour mobile employée dans ce cas nous a fa cilité énormément les trav au x de construction et elle nous a permis de faire des économies en bois.
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L’article décrit la manière de renforcer un pilier fendu en briques. Ce moyen fut employé avec un très bon résultat à l ’église St. Nicolas à Brzeg, voïevodie d ’Opole. Le pilier avait de nombreuses fentes sur la surface le long de quelques briques jusqu’à plus de dix. Ces fenites ont été causées par l’acroissement de la charge due au fait que le pilier avoisinant fut démonté. Il fallait donc renforcer le pilier en question immédiatement. Ce pilier étant déjà (très affaibli il fallait faire le renforcement de telle manière que les incisions des fentes soient aussi petites que -possible. On a discuté plusieurs systèmes différents dont on a choisi le plus simple et le moins coûteux, à savoir on l’a renforcé à l’aide d’une ancre en béton armé pilonnée sur un réseau de fils de fer. A l ’épaisseur des pilastres le réseau en fils de fer a été remplacé par des étriers placés dans des ouvertures faites dans le mur à l’aide d’un perçoir en forme de tube. Il en suit qu’en employant une quantité comparativement petite du fer pour armer, nous pouvons facilement, d’une manière bien simple, augmenter la force portative des piliers fendus et surchargés sans augmenter visiblement leur épaisseur. Ce moyen est à recommander surtout lorsque pour des raisons architectoniques nous ne pouvons pas accroître le diamètre des piliers, ce qui est toujours le cas pour les bâtiments historiques. En plus on peut renforcer ainsi des piliers de différents diamètres sans percer de grandes ouvertures ce qui est essentiel lorsque les murs sont très affaiblis. Les pilastres saillants ne présentent aucune difficulté dans ce cas, car les étriers peuvent être enfoncés dans le mur par de petites ouvertures faites en toute sûreté à l’aide d’un perçoir en forme de tube.
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L ’article relate le procédé de la sauvegarde de l’ancien Palais Episcopal de Nysa. Au cours de la guerre, notamment en 1945, ce bâtiment a subi de graves endommagements par suite d’un incendie. Sur les murs, à l’extérieur et à l’inté rieur du b âtiment, sur les voûtes — de nombreuses fissures apparurent. D’autre part, les fondements du bâtiment reposent sur un sol non homogène composé d’un mélange de limon, de sable silteux et argileux et de gravier. La façon dont sont disposées les fissures ainsi que leur orientation indiquent que l’incendie eit les intempéries en étaient les principales causes. Quelques-unes de ces craquelures, su rto u t celles qui courent en biais ont pu être provoquées aussi par le tassement inégal de la construction. En intervenant pour la sauvegarde du bâtiment l’on a raidi sa construction par l’application des tirants en acier au niveau des voûtes. Ce procédé est analogique à celui qui est de mise dans les réparations des bâtiments endommagés du fa it de l’exploitation minière.
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