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EN
One of the main areas of research in political science encompasses the essence of politics, the phenomenon of politicization and ideology. The author of this essay attempts to answer the question of whether video games, as a fully-fledged medium of mass culture, have been politicized in the same manner as older media. The starting point here is the story of the birth of video games in the context of technological determinism, and an attempt is made to identify the moment when the games industry began referring to politics. Citing specific video game titles, the author uses the output of the Frankfurt School and explores the correlations between seemingly purely entertainment-oriented games and the world of politics, understood as the incessant conflict of values, interests, ideas, or as the dispute over power.
EN
The main subject of the article is to present role in international relations of three inde-pendent republics of South Caucasus: Georgia, Armenia and Azerbaijan, existing in 1918-1921. Due to the geostrategic importance of the Southern Caucasus aroused great interest of superpowers: the United Kingdom, France, Italy and the United States. A special role in this region play Great Britain, whose troops were stationed in the republics of South Caucasus in 1919. Initially, the governments of the victorious powers did not recognize the inde-pendence of the South Caucasus states, because they considered this area as a part of Russia. This was due to support by Western governments Volunteer Army, operating in the North Caucasus and fought against the Bolsheviks. The command of this formation did not re-cognize the independence of the South Caucasus countries. Southern-Caucasus policy of the victorious powers was changed at the turn of 1919 and 1920, the Volunteer Army began to suffer defeats in battles with troops of Soviet Russia. The growing threat of dependence on Russia’s South Caucasus republics led Bolshevik, that the victorious powers in January 1920, recognized governments of Georgia, Armenia and Azerbaijan, and gave them military aid. However, Soviet Russia's military superiority meant that the actions of Western coun-tries did not have much practical significance, and finally to March 1921, the entire South-ern Caucasus was sovietized.
PL
Jest to kontynuacja artykułu: Sprawy zakaukaskie na forum Konferencji Pokojowej w Paryżu 1919-1920, cz. I: styczeń-lipiec 1919, „Acta Universitatis Lodziensis” 1998, Folia Historica 61. Wydano z pomocą finansową Ministerstwa Edukacji Narodowej.
FR
L’article présente les trames de Transcaucasie dans la politique des États-Unis, de la Grande Bretagne, de la France et de l’Italie, s’apparaissant en train de la Conférence de Paix à Paris et en train des rencontres de Grandes Puissances à San Remo, Londres, Spa en 1919 et en 1920. On présente entre autres le problème de la présence militaire des Allies à la Transcaucasie, la question de l’aide allimentaire pour l’Armenie; on a aussi discuté la relation des Alliés face au conflit entre l’Armee Volontaire et l’Azerbaidjan et la Géorgie. En plus on a marque les coulisses de l’admission de facto des républiques de Transcaucasie faite par l’Entente en janvier de 1920 et les discussions du sujet de l’aide militaire accordé par les Grandes Puissances et aussi du problème lié à la définition du statut de Batoum. L’article se fini par la présentation de la trame arménienne dans le traité de paix signé avec la Tourquie à Sevres. La politique d’Entente face à la Transcaucasie a été montrée sur un large fond des changements de la politique des Alliés face aux territoires de l’ancien Empire Osman et aux territoires de la Russie ancienne de Tsar. Dans sa conclusion embrassant aussi la première partie de l’article (traitant de la trame de Transcaucasie en train des débats de la conference parisienne du janvier jusqu’au juillet de 1919) l’auteur conclut que le problème de la définition de l’avenir des républiques de Transcaucasie jouait un rôle marginal pendant la conférence parisienne. Les trames de la Transcaucasie apparaissent le plus souvent comme l’un des elements et pas celui qui soit le plus important dans la discussion concernant la politique de l’Entente façe à l’ensemble des affaires russes ou face à la necessite d’exprimer l’attitude des Alliés quant à la situation changeant sur les territoires de l’ancien Empire d’Osman.
PL
Część druga artykułu przedstawiająca sprawy zakaukaskie na forum Konferencji Pokojowej w Paryżu w okresie od sierpnia 1919 do sierpnia 1920 r. ukaże się w AUL w 1998 r.Wydanie publikacji dofinansowane przez Ministerstwo Edukacji Narodowej.
FR
La première parti de l’article présente des élémentes des discours de la Transcaucasie dans la politique du Grand Bretagne, de la France, des États Unis et de l’Italie touchés pendant la Conférence de la Paix à Paris (depuis 12 janvier jusqu’à la fin du juillet 1919 ans). Le sujet de l’analyse concerne tout d’abord des enregistrements des sessions des différents organes de la conférence parisienne qui se trouvent dans une collection des documents diplomatiques: Papers Relating to Foreign Relations of the United States. The Paris Peace Coference, 1919, Washington 1943-1947, vol. 1-13. Dans l’article on aborde le problème de la protection d’un mandat et d’une presence militaire des pays d’Entente en Georgie, Armenie et Azerbaïdjan. En plus, on parle du problème des contacts les republiques de la Transcaucasie avec L’Armée Volontaire du général Anton Denikin; le problème d’une reconnaissance de l’indépendence des pays de cette région par La Conférence de la Paix. En discutant ces questions, l’auteur esseyait de les présenter dans un contexte du changement de la politique des Alliées en face de la vieille Russie et Ottoman Orient. Dans la deuxième parti de cet article l’auteur présentera des elementes des discours de la Transcaucasie touchés pendant la Conférence parisienne depuis le debut d’auôt 1919 jusqu’à 10 auôt 1920 ans et essaiera de tirer des conclusions.
PL
Wydanie publikacji dofinansowane przez Ministerstwo Edukacji Narodowej
EN
The article presents the French plans of deliveries of arms for independent Georgia, Armenia and Azerbaijan. The very beginning of them are connected with the appeals of the representatives of those states to the French government for acceptance of the purchase of arms in France. During the period of the defeats of Denikin’s army, at the beginning of 1920 and after the soviétisation of Azerbaijan in the end of April of that year, French and the other allies were considering the possibility of sending to Armenia and Georgia the arms that was former intended for the Denikin’s „volunteers” and the armament delivered to them by defeated Bulgaria. Eventually in autumn 1920 Georgia and Armenia were supplied with some arms, that were not from the French stock and only partially satisfied the needs of their troops. France once more considered the question of deliveries of armament for Georgia after the soviétisation of Armenia at the beginning of December 1920. But also those plans were not realised. On March 1921 the question ceased to exist because of the conquest of Georgia by Bolsheviks. On of the main causes of the failure of these projects was their second importance for the policy and military activity of France, which was concentrated on a military aid for Poland and Czechoslovakia.
PL
Wydanie publikacji dofinansowane przez Komitet Badań Naukowych
FR
Le but de cet article c’est l’essais de présenter la politique des pays victorieux: des États-Unis, de la G rande Bretagne, de la France et de l’Italie, face aux Républiques: Géorgie, Arménie, Azerbaïdjan, dans les années 1918-1921. Les alliés devaient définir leur attitude vers Caucase à cause de l’im portant placement géopolitique ainsi qu’ à cause de l’im portance de matière - première de ces régions-là. D ans l’article on analyse l’attitude des pays d’Entente face à Caucase de l’éclat de la première guerre mondiale par la période de protéctorat de l’Allemagne et de la Turquie sur ces terrains en 1918. Ensuite on décrit la position des Alliés par rapport au Caucase pendant la Conférence de Paix à Paris, puis dans la période de collaboration avec L’Armée Volontaire du général A nton Denikin et aussi en rapport avec la situation très compliquée au Proche O rient, provoquée par le développement du mouvem ent de Kemal en T urquie. En plus nous essayons de présenter les coulisses d’approbation de facto des démocraties de Caucase en janvier 1920. L’auteur analyse la situation de Caucase dans la politique des démocraties d’Ouest - dans la période de recherches de l’entente avec Russie Soviétique (des le début du 1920). Ensuite il essaye d’expliquer les causes du rejet des candidatures de Georgie et d ’Armenie à la Société des N ations à la fin du 1920, ainsi les coulisses d’approbation de iure du gouvernement de menchevik en janvier 1921. À la conclusion l’auteur a constaté que la politique de Caucase des Alliés avait le caractère secondaire. Elle était traitée comme dérivante des activités des pays les plus puissants - par rapport aux affaires russes, à la situation à l’époque, ainsi qu’au futur des terres de l’ancien Empire d’Osman.
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