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EN
Exhibition of the question of the fundamental faith in the present philosophy is the aim of the article. The faith makes up one from the basic symptoms of the human life, but the reflection not is just the easy task because the faith makes up the object of the interest of the not only theology more and more often, but also both psychology, philosophy or sociology. The fundamental belief marks the well-founded confidence at last to someone and also exists beyond the religious sphere. He is, as the fundamental element of the human life, paradoxical example of such attitude of the belief „belief in God nonexistence”, because the thesis of existence or God non-existence is bases always on the attitude of the belief.
FR
Dans la Politéia et ensuite dans les Lois, Platon trace le modèle de la cité idéale. Il présente ses réflexions sur ce qu’il tient pour le meilleur Etat possible. La théorie politique contenue dans la Politéia pose que: La naissance de la chose politique ne provient pas d’un instinct poussant l’homme à la création d’un Etat mais de la faiblesse de l’individu. N’étant capable de réaliser à partir de soi-même que des actions limitées, il doit s’associer aux autres. Ainsi la communauté est fondée sur une division du travail. Une caractéristique essentielle de sa théorie de l’Etat est l’analogie constante qu’il établit avec l’individu, et plus précisément encore, entre les classes sociales et les fonctions de l’âme. Selon Platon, l’âme est divisée en 3 parties, l’Etat lui aussi est divisé en 3 ordres. L’injustice est la cause du malheur des hommes et des cités; au niveau de l’individu, elle est due à un dérèglement dans l’âme; au niveau de la Cité, elle est la conséquence d’une mauvaise constitution politique. La tâche que le philosophe s’assigne, c’est de trouver les germes de l’injustice, dans l’espoir d’indiquer aux hommes le moyen de l’extirper de leur âme. Mais voilà, si les effets de l’injustice en l’homme sont bien visibles, il est bien difficile de lire dans l’âme afin de voir quel désordre en est la cause. Au contraire, il est aisé de déterminer les causes du désordre social. Or, comme Platon établit une analogie entre l’homme et la Cité, et estime que celle-ci présente une sorte d’image agrandie de l’âme de celui-là, il conviendra, pour déceler les causes de l’injustice, de porter son regard sur la Cité. Les «philosophes-rois» se distinguent par des dons particuliers qui ont été perfectionnés par une formation de 50 ans dans tous les domaines. En eux doivent se trouver réunies la force et la sagesse. Mais l’éducation revêt une signification particulière pour Platon, en tant que fondement du corps politique tout entier. Dans la mesure où aucune limitation d’ordre législatif ne borne la puissance du souverain, le bien de I’Etat repose entièrement sur la connaissance qu’il aura acquise grâce à l’éducation. L’éducation prévoit: l’éducation élémentaire par la musique, la poésie, et la gymnastique, l’éducation scientifique en mathématique, astronomie, et science de l’harmonie, l’initiation à la dialectique (philosophie); l’action pratique dans l’Etat ; puis, après cela, le choix entre l’accès au pouvoir ou la vie contemplative.
FR
Paul Ricoeur pense le mai comme ce qui indispose, perturbe et met a mai la pensee. Le mai doit etre pense avec la plus extreme exigence dans la mesure ou il menace toujours la pensee. Le mai est aporetique au sens ou il suscite des impasses que la pensee doit mediter. L'article montre le caractere limite et relatif de la position du probleme dans la cadre argumentatif de la morale et de la theodicee enfin de relier le travail de la pensee suscite par l'enigme du mai aux reponses relevant de l'action, de la sagesse et du sentiment.
FR
La pensee de D. Dubarle se revele d'une exceptionnelle profondeur. II travaille sur le front de l'ontologie theologale qui essai de monter la relation de creation et ses implications ontologiques. D'apres lui la meprise onto-theo-logique peut seulement etre evitee, si la pensee reussit a distinguer suffisamment le probleme de la comprehension ontiąue de Dieu, organisation noetiąue (l'infinite de Dieu, l'impenetrabilite de avec son Dieu) et le probleme de la comprehension ontologique. La pensee de Dubarle refuse de s'enfermer dans l'alternative d'une metaphysique de l'exode qui voudrait identifier Dieu et l'etre, et d'un exode radical de cette metaphysique qui mettrait Dieu hors de portee de l'etre.
FR
Saint Thomas a le grand mérite de mettre au premier plan l’harmonie qui existe entre la raison et la foi. La lumière de la raison et celle de la foi viennent toutes deux de Dieu, c’est pourquoi elles ne peuvent se contredire. Thomas reconnaît que la nature, objet propre de la philosophie, peut contribuer à la compréhension de la révélation divine. La foi ne craint donc pas la raison, mais elle la recherche et elle s’y fie. La grâce suppose la nature et la porte à son accomplissement, ainsi la foi suppose et perfectionne la raison. Cette dernière, éclairée par la foi, est libérée des fragilités et des limites qui proviennent de la désobéissance du péché, et elle trouve la force nécessaire pour s’élever jusqu’à la connaissance du mystère de Dieu Un et Trine. C’est pour ce motif que saint Thomas a toujours été proposé à juste titre par l’Eglise comme un maître de pensée et le modèle d’une façon correcte de faire de la théologie. Parmi les grandes intuitions de saint Thomas, il y a également celle qui concerne le rôle joué par l’Esprit Saint pour faire mûrir la connaissance humaine en vraie sagesse. Dès les premières pages de sa Somme théologique, l’Aquinate voulut montrer le primat de la sagesse qui est don de l’Esprit Saint et qui introduit à la connaissance des réalités divines. Sa théologie permet de comprendre la particularité de la sagesse dans son lien étroit avec la foi et avec la connaissance divine.
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FR
L'article envisage un ensemble de questions relatives aux rapports de la science et de la religion. Comme fil conducteur des analyses on a choisi la pensee du pere D. Dubarle, un philosophe franęais. II propose quatre champs de la rencontre entra la science et la religion: les miracles, la creation et Pevolution, la notion du mystere et la spiritualite scientifique et religieuses. La solution proposee comme conclusion de l'article, c'est la necessite de decouvrir la notion de la sagesse qui unifie les connaissances a partir de la connaissance des principes supremes. II n'a pas de sagesse sans engagement total de la personne, qui est un engagement au service de la verite. Sans decouvrire cette dimension de la raison, il serait difficile de trouver un espace de dialogue entre la religion et la science.
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