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EN
The purpose of this article is interpretation of the notion of munus in the Constitution Lumen gentium and enclosed with this document the Preliminary Note of Explanation. The Latin noun munus is an ambiguous word. In the teaching of the Second Vatican Council this word is present up 255 times, whereof 55 times in the Constitution Lumen gentium. The Council Fathers used this term in the meaning of: “office”, “function”, “mission”, “service”, “task”, “obligation”, “ministry”. In many places the translations of constitution from Latin language into Polish language in 1968 and 2002 are different. This can cause not only problems of interpretation, but also doctrinal problems.
PL
Celem artykułu jest interpretacja pojęcia munus w Konstytucji Lumen gentium i dołączonej do tego dokumentu wstępnej Nocie wyjaśniającej. Łaciński rzeczownik munus jest wyrazem wieloznacznym. W nauczaniu Soboru Watykańskiego II słowo to występuje aż 255 razy, z czego 55 razy w Konstytucji Lumen gentium. Ojcowie soborowi używali tego terminu w znaczeniu „urzędu”, „funkcji”, „misji”, „służby”, „zadania”, „obowiązku”, „posługi”. W wielu miejscach tłumaczenia Konstytucji z języka łacińskiego na język polski w 1968 r. i 2002 r. są różne. Może to powodować nie tylko problemy interpretacyjne, ale także doktrynalne.
FR
L’objectif de cet article est de présenter l’interprétation de la notion munus dans la Constitution dogmatique sur l’Église Lumen gentium et dans la Note introductive explicative qui y est jointe. Le substantif latin munus est un mot polysémique. Dans l’enseignement du Concile Vatican II, il apparaît 255 fois, dont 55 fois dans la constitution. Les pères du Concile ont employé ce terme au sens ‘office’ (pol. ‘urząd’), ‘fonction’ (pol. ‘funkcja’), ‘mission’ (pol. ‘misja’), ‘ministère’ (pol. ‘służba’), ‘tâche’ (pol. ‘zadanie’), devoir’ (pol. ‘obowiązek’), ‘service’ (pol. ‘posługa’). Dans plusieurs endroits, les traductions de la constitution du latin en polonais datant de 1968 et de 2002 sont différentes. Ces différences peuvent causer non seulement des problèmes d’interprétation mais aussi des problèmes doctrinaux.
FR
L'article est consacré à une pensée eschatologique originale de Pierre Teilhard de Chardin. L'auteur du texte commence par montrer l'importance de la question sur la forme dernière de toute la réalité créée avec la réalité de l'existence humaine en premier. Les réponses proposées à cette question, au sein de la chrétienté même, semblent être, jusqu'à présent, insuffisantes car soit on se concentrait trop sur les choses dernières – sans liens à une dimension terrestre, historique de l'existence du monde et de l'homme (théologie ortodoxe), soit tout au contraire, on ne percevait que l'histoire, sans l'eschatologie (théologie catholique de l'Ouest), ou même on plaçait arbitrairement le mystère de l'homme et du monde dans la réalité eschatologique sans lien important avec la forme immanente de l'existence de l'être créé (hyperschatologie protestante). Teilhard de Chardin, à travers sa création théologique, choisit une autre possibilité (voie) de l'interprétation de la réalité dans l'aspect de son accomplissement eschatologique. En partant de l'analyse d'une réalité du monde qui change de façon évolutive, il souligne le besoin de sa réalisation dans la personne de Christ-Plérome. C'est une spécifique eschatologie évolutionniste. Teilhard comprend la réalité de Plérome de façon analogue à la théologie de Saint Paul comme un état permanent de bonheur avec Dieu, mais aussi comme un processus d'arriver à cet état – processus de pleromisation. Le Christ Réssuscité, se montrant comme Maître de l'Histoire, devient son Accomplissement Dernier – un Eschatos de toute-chose. Une aspiration omniprésente de l'humanité à un développement maximal au sens spirituel et matériel – à une vie dans sa plénitude – retrouve sa réalisation en Christ-Plérome qui, d'un côté se donne plainement à l'homme à travers son śuvre salutaire (situé particulièrement en Eglise de Christ), et d'un autre, lui seul est une Plénitude totale pour toute l'espèce humaine et pour toute la réalité dans sa dimension cosmique et dans son chemin vers l'accomplissement. Le processus de pleromisation du monde retrouve sa prolongation (sur-)naturelle dans le processus de son eschatologisation. Christ-Eschatos, présent dès le début de toute existence et transfigurant tout le cosmos, y entrera de nouveau au moment de la rencontre de la plenitude naturelle du développement du monde avec la Plénitude surnaturelle de Dieu – au moment de la Parusion.
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