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Ochrona Zabytków
|
2006
|
issue 1
109-113
EN
The presented publication contains 14 works associated with the activity of the Museum of the Cracow Salt Mines in Wieliczka pertaining to geology, archaeology, history, and the history of technology. The articles are accompanied by summaries in English. The authors of the first article: Katarzyna Cyran and Jerzy Przybyła, described the geological construction and hydrogeological conditions of one of the most interesting workings – “Pieskowa Skała” – in the Wieliczka salt mine. In the next article, Józef Charkot took into consideration the development of mining technology and outlined the development of the salt mine in Bochnia in 1772-1990. The technology of salt mining and safety in the Wieliczka mine are the topics of the article by Łukasz Walczy, who discussed the protection of the workings and underground excavation (1772-1918). In the fourth article, Barbara Konwerska and Małgorzata Międzyborska presented the financial profits gained by the administrators of the salt mine (royal property) from the end of the thirteenth century to 1772. Barbara Konwerska went on to write about the exploitation of the Wieliczka mine in the light of the benefits enjoyed by its employees in the years 1772-1914. The consecutive three articles (authors: Antoni Barciak, Roman Stelmach, and Maciej Zdanek) deal with the Cistercian order in Poland. The following articles consider the Polish settlers who from the eighteenth century to the beginning of the twentieth century appeared the locality of Kaczyca (Cacica, today: Bukovina in Rumania) in connection with the local salt mines (authors: Kazimierz Jurczak, Marcin Marynowski, Corneliu Zup, and Kazimierz Longher). The publication ends with two archaeological communiques about the Museum of the Cracow Salt Mines by Jarosław M. Fraś and Szymon Pawlikowski.
FR
La chaîne rocheuse des montagnes du Ju ra de Cracovie—Częstochowa constituait depuis un temps immémorial, une région de défense naturelle. y retro u v e des dispositifs de défense érigés depuis l ’âge de la p ie rre ju sq u ’à la derniere guerre mondiale. Les recherches scientifiques commencées au XIX-ème siècle, poursuivies sans continuité, ainsi que de récents tra v a u x plus complexes, ont révélé dans cette région l ’existence de plus de 100 postes de défense provenant de diverses époques. On peut les classer en trois groupes d’orientation: préhistorique, médiéval et moderne. Ces trois grands groupes accusent beaucoup d ’affinités et de continuité dans l’utilisation des formes de défense, p o u rtan t spécifiques. Dans le premier groupe se manifeste surtout le système défensif des murailles sans tours, la ligne de défense infléchie et concave et les débuts originaux de l ’enceinte flanquée de tours. Dans le groupe médiéval qui relève su rto u t des dispositifs de défense érigés au XIV s. en grande p a rt p a r le roi Casimir le Grand, on voit cinq types de château aux formes nettement différenciées. Les siècles suivants apportent le développement du système donjonné et le système des bastilles, le XVlI-ème s. la formation d ’une nouvelle ligne de défense avec des bastions. Etan t donné la grande valeur de ces reliques historiques et la ncn-rmoindre valeur d u paysage ainsi conçu, les trav a u x de conservation qui les concernent doivent être organisés d’une façon complexe, dirigés p a r un groupe de spécialistes, qui s ’occuperait en même temps de la rep a rtitio n des trav au x , des fouilles au point de vue des valeurs historiques e t des valeurs du paysage ayant pour but d’établir un catalogue et inventaire des monuments historiques soumis aux investigations. P a r suite, se b asant sur les renseignements complétés, de la sorte on pourra it établir un plan général e t la repa rtition des trav a u x pour chaque oeuvre d’a rt défensif. Tenant compte de l ’é ta t actuel des monuments historiques conservés, su rto u t de l ’état des ruines, ii semble que les conservateurs devraient su rto u t pro- • téger e t consolider la substance des monuments dans la mesure du possible, plutôt que les reconstruire et re stau re r. Il est aussi d’une importance capitale de garder la silhouette de l’oeuvre, ainsi que l’entourage du monument authentique. Les trav au x de conservation, entrepris dernièrement d ’une façon intempestive, n ’ont pas toujours suivi la voie requise. L ’adaptation de l’ensemble en question aux besoins de la vie contemporaine constitue un problème à part. En règle générale, l’adaptation doit s ’effectuer surtout pour des buts de récréation e t du tourisme, au bénéfice des régions voisines urbanisées, ou trop industrialisées. Il fau t aussi envisager la protection du te rra in contre une trop intense et nuisible exploitation superficielle (carrières de chaux et sablières), contre une industrialisation du te rra in trop poussée. Ce problème doit etre posé sur deux plans différents: — il fau t reconnaître un te rra in limité comme „reserve de paysage protégé” e t in stitu e r un réseau de communication (voie périphérique) et de services n é cessaires, — il fau t aussi ren d re accessibles les monuments historiques respectifs tenant pour règle de les garder en un é ta t aussi authentique que possible, ainsi que tout ce qui forme leur entourage, par consequent expulser les services et les voies d’accès su r l’av an t-terrain .
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