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in the keywords:  adaptacja ruin
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EN
The English method o f the preservation o f ruins is discussed by the author against the background o f the work on conservation o f the remnants o f Ogrodzieniec Castle. In the case discussed, one had resigned from the picturesqueness o f the ruins, i.e. from the covering o f vegetation which they once had and removed it, the former Castle having been cleared o f rubble down to its original level. What was applied in conservation o f the coping of the walls was not, however, the old limestone used in England but rock-stone more resistant to Polish weather conditions. Moreover, no lawns were laid out in the original open level, the whole area concerned having been covered with concrete slabs with stones. Unlike in the English method, much attention was paid in the proceedings involved to exposition o f the ruins and their adjustment to tourist traffic. At the same time integrated archaeological, historical and architectonic research was initiated. Another essential aspect o f the conservation proceedings discussed was the tendency to make the ruins more ’’legible” by way o f separation o f the old material from the new in consonance with the principle that the old farms and material denote the historical parts and the new ones — new facilities intended for tourists. The castle sightseeing route has been provided with special surface, gangways, stairs, etc. It is also worth stressing that, in agreement with the Charter o f Venice, no reconstructed parts have been incorporated in the ruins discussed.
FR
La chaîne rocheuse des montagnes du Ju ra de Cracovie—Częstochowa constituait depuis un temps immémorial, une région de défense naturelle. y retro u v e des dispositifs de défense érigés depuis l ’âge de la p ie rre ju sq u ’à la derniere guerre mondiale. Les recherches scientifiques commencées au XIX-ème siècle, poursuivies sans continuité, ainsi que de récents tra v a u x plus complexes, ont révélé dans cette région l ’existence de plus de 100 postes de défense provenant de diverses époques. On peut les classer en trois groupes d’orientation: préhistorique, médiéval et moderne. Ces trois grands groupes accusent beaucoup d ’affinités et de continuité dans l’utilisation des formes de défense, p o u rtan t spécifiques. Dans le premier groupe se manifeste surtout le système défensif des murailles sans tours, la ligne de défense infléchie et concave et les débuts originaux de l ’enceinte flanquée de tours. Dans le groupe médiéval qui relève su rto u t des dispositifs de défense érigés au XIV s. en grande p a rt p a r le roi Casimir le Grand, on voit cinq types de château aux formes nettement différenciées. Les siècles suivants apportent le développement du système donjonné et le système des bastilles, le XVlI-ème s. la formation d ’une nouvelle ligne de défense avec des bastions. Etan t donné la grande valeur de ces reliques historiques et la ncn-rmoindre valeur d u paysage ainsi conçu, les trav a u x de conservation qui les concernent doivent être organisés d’une façon complexe, dirigés p a r un groupe de spécialistes, qui s ’occuperait en même temps de la rep a rtitio n des trav au x , des fouilles au point de vue des valeurs historiques e t des valeurs du paysage ayant pour but d’établir un catalogue et inventaire des monuments historiques soumis aux investigations. P a r suite, se b asant sur les renseignements complétés, de la sorte on pourra it établir un plan général e t la repa rtition des trav a u x pour chaque oeuvre d’a rt défensif. Tenant compte de l ’é ta t actuel des monuments historiques conservés, su rto u t de l ’état des ruines, ii semble que les conservateurs devraient su rto u t pro- • téger e t consolider la substance des monuments dans la mesure du possible, plutôt que les reconstruire et re stau re r. Il est aussi d’une importance capitale de garder la silhouette de l’oeuvre, ainsi que l’entourage du monument authentique. Les trav au x de conservation, entrepris dernièrement d ’une façon intempestive, n ’ont pas toujours suivi la voie requise. L ’adaptation de l’ensemble en question aux besoins de la vie contemporaine constitue un problème à part. En règle générale, l’adaptation doit s ’effectuer surtout pour des buts de récréation e t du tourisme, au bénéfice des régions voisines urbanisées, ou trop industrialisées. Il fau t aussi envisager la protection du te rra in contre une trop intense et nuisible exploitation superficielle (carrières de chaux et sablières), contre une industrialisation du te rra in trop poussée. Ce problème doit etre posé sur deux plans différents: — il fau t reconnaître un te rra in limité comme „reserve de paysage protégé” e t in stitu e r un réseau de communication (voie périphérique) et de services n é cessaires, — il fau t aussi ren d re accessibles les monuments historiques respectifs tenant pour règle de les garder en un é ta t aussi authentique que possible, ainsi que tout ce qui forme leur entourage, par consequent expulser les services et les voies d’accès su r l’av an t-terrain .
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