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EN
The Team of Experts was formed on the rising tide of the changes that occurred in our country and in the system of monument protection after 1989. An independent office of the General Conservator of Monuments which, apart from the Centre for Documentation of Monuments, needed a team of experts and specialists who could advise on adjudicating cases of the second instance. In the autumn of 1992, a decision was made that the Team of Experts on Architecture, Urban Planning, and Cultural Landscape would be created from the 1st of January 1993 as a department of the Centre for Documentation of Monuments. I was entrusted with the task of creating it in September 1992. An action programme was created at the time, along with an interdisciplinary team made up of a former member of the Team of Experts of the Interdepartmental Committee and new employees connected with Warsaw’s universities. In November 1993, we managed to create a list of experts, a group of several hundred people the help of whom could be used by both the monument protection services and the Team. We cooperated closely with the Regional Centres that we asked to prepare opinions on the cases from their areas. The Team of Experts mainly received cases investigated by the General Conservator of Monuments. In accordance with the 1962 Act on the protection of cultural property, we tried to protect all the monuments whose owners applied for removing from the register. Applications for removal were the inspiration to look for new solutions to save the monuments: the faience factory in Włocławek (the reason for organising an international conference on the revitalisation of monuments of technology), factories in Żyrardów and Sosnowiec, and the “Guido” coal mine in Zabrze. The Team maintained numerous international relations, the employees took part in courses, conferences, trade shows, and study tours, and our experience was desirable in the East (Kamyanets-Podilsky 1994). Our report concerning the church in Tum near Łęczyca presented to the main conservation committee enabled the use of financial resources, saving the church. We also began working on a new standard of urban documentation. However, field works and works on the conservation guide were discontinued after some changes have been introduced in the ministry. By the decision of the Minister of Culture and Art, the Centre for the Protection of Public Art Collections was transformed into the Centre for the Protection and Conservation of Monuments, and the Team of Experts along with the specialists was moved to that centre. In the autumn of 1998, the CPCM returned to its previous name and scope of activity, and the Team of Experts returned to the CDM. Unfortunately, the entire structure of the monument protection services has already disintegrated. The reconstruction of the Team in its previous make-up was impossible, and expectations towards the Team were limited. In 2000, after a new group of experts has been appointed and introduced under the supervision of the General Conservator of Monuments, a return to a strong monument protection service was no longer possible. This is why in 2001, I left the Team and took up the post of the Warsaw Conservator of Monuments.
FR
De nombreux monuments historiques se trouvent sur le te rrito ire de la Hongrie contemporaine. Ils relèvent de diverses époques depuis ceux dans les anciennes provinces romaines, en Pannonie et Transleithamie, datant du I-e r au Vl-ème siècle de n. e. Le Moyen-Age, époque des Arpades laisse en héritage de nombreux châteaux et églises, tandis que les époques ultérieures se manifestent par d’autres monuments religieux e t civils, notamment par un rich e apport d ’architecture bourgeoise. Le patrimoine de la Hongrie a souffert de d estructions fréquentes et parfois totales. Les invasions ta rta re s du XIII-e siècle, l'occupation des Turcs aux XVI-e e t XVII-e siècles, en tra în en t la ruine des monuments d ’époques antérieures. L ’étendue de ces destructions fu t élargie par une action d ’Etât intenté e su r l’o rd re de l’empereur autrichien au début du XVIII-e siècle e t ayant pour but de démolir entièrement les vieux bâtiments tels que châteaux et fortifications. En résultat, les plus anciens vestiges de la culture hongroise ne présentèren t bientôt q u ’un amas de débris e t lamentables ruines. La protection des monuments fu t entreprise en Hongrie en 1866 par la Commission Centrale Hongroise pour la protection des biens nationaux. On procéda alors à l’élaboration d’un règlement de base et on créa des institutions chargées de son application. Dans la première période de cette activité, seuls les vestiges les plus anciens étaient pris en considération (env,. 50 monuments) en laissant de côté, comme c’é tait d’usage d’ailleurs à cette époque, les monuments historiques d’époques plus récentes notamment du baroque e t du classicisme. Des modifications importantes fu ren t apportées à la législation relative à la sauvegarde des monuments, après l’année 1945, compte tenu de l’étendue des destructions subies p a r le patrimoine historique .au cours de la dernière guerre mondiale. En 1949 fu t votée la nouvelle loi concernant la protection •des monuments. Un In stitu t National fu t constitué .auprès du Ministère du Bâtiment pour la protection des monuments. L ’In stitu t sus-mentionné est compétent pour les projets, la direction et la ré a lisation des trav a u x de conservation. Les recherches scientifiques, notamment les fouilles archéologiques, la popularisation des idées sur la nécessité de la protection des biens culturels, le contrôle sur l’opportunité des adaptations des monuments aux b e soins de la vie contemporaine, fu ren t confiés au Ministère de l’Education. Il nous faut souligner a cette occasion la haute valeur des trav au x de r e cherches effectués par les archéologues, qui ont p a rticipé de cette façon à la protection des monuments. Le relevé des oeuvres d’architecture protegees par la loi compte env. 12.000 monuments, dont en viron 2.000 possèdent une valeur spéciale au point de vue historique, artistique e t architectural, 9.000 (env.) constituent des vestiges de l’histoire e t env. 1000 un élément de valeur dans l’apperçu général d ’une ville ou d ’un village. Parmi les critères de valorisation sont prises en considération les conditions matérielles, historiques (y compris la valeur spéciale des objets du culte) et esthétiques. Les formes et les règles de la conservation ne fu ren t arrêtées définitivement qu’a p rès des recherches complexes et variées auxquelles sont soumis les ensembles résidentiels et les centres urbains. En fin de compte, les monuments historiques furent inscrits dans le plan des aménagements spaciaux avec toutes les conséquences favorables qui en résultent. La protection des monuments et la réalisation des trav a u x de conservation, est mise en pratique, en premier lieu par l ’In s titu t de la Protection des Monuments. Son activité concerne d’abord les monuments les plus anciens, exigeant un programme de conservation compliqué. Des groupes de spécialistes sont constitués pour la réalisation de ces tr a vaux, à base d ’un devis de réalisation, donc ne jouant pas le rôle d ’un bureau d ’entreprises. Car on a pris pour règle générale que la protection des monuments fa it partie d ’activité culturelle et ne peut être conçue comme une entreprise de construction profitable. Le programme des trav au x de conservation se divise généralement en trois étapes: fouilles archéologiques et recherches historiques concernant l’oeuvre architecturale, protection des parties dévoilées du monument, avec projet et devis, trav a u x de conservation et de construction. Le traitem en t de conservation doit tenir compte des règles suivantes: 1. Conservation des vestiges „in situ ”. 2. Reconstruction des parties manquantes du monument pour des fins didactiques. 3. Adaptation du monument aux besoins de la vie contemporaine. Ces règles concernent surtout les châteaux en ruines, les palais etc. Toutefois un principe général s’impose: le devoir de conserver au monument au ta n t d’authenticité que possible, tout en adm ettant une modernisation rationnelle en vue des besoins de la vie contemporaine. Les réalisations suivantes, effectuées au cours des années récentes peuvent être considérées comme exemplaires: — église romane du XlI-e siècle à Ecserpuszta où la ru in e est conservée avec de très légères reconstructions; une partie de la ruine destinée au „lapida rium” recouverte par des toits de protection de construction légère. L’ensemble fut adapté à des fins touristiques, vu que le monument se trouve sur l’itinéraire du littoral du Balaton. — Château de Vârgesztes en ruine, érigé de pierre (XV-e—XVI-e siècle) où, après un tra item e n t de conservation, fu t aménagé un refuge touristique. Ces trav au x de conservation sont effectués avec une adaptation minime aux exigeamces modernes. Le caractère original des fortifications médiévales est mis en valeur en ne nuisant pas, pour autant, à son caractère de ruine romantique. — Château élevé en pierre à Nagyvâzsony (XlV-e— XVI-e siècle). Après avoir enlevé une couche épaisse de débris, on procéda à la conservation des fra g ments des murs du rez-de-chaussée. La chapelle fu t reconstruite en partie ainsi que la barbacane en employant un style n eu tre pour les parties rajoutées.. La tour qui constitue l’élément le plus ancien de cet édifice, fu t reconstruite e t aménagée en musée.
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