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EN
Conservation conducted in the collegiate church in Kruszwica in the course of the last two centuries was the outcome of two different artistic conceptions. The 1856— 1859 restoration, performed according to the principle of unity (purity) of style, was applied only in reference to the outer solid of the church (the outfitting of the interior remained Baroque). In the political situation of the period, the scientific milieu and society considered the enhancement of the collegiate church with numerous brick detail, foreign to Romanesque architecture from the first half of the twelfth century, as a tendentious attempt at endowing the church with features of a “Prussian” neo-Gothic. Postwar work, performed in 1954-1956, aimed at an intentional archaisation of the interior, which corresponded to the conception of modernist aesthetics, launched at the time. The designed Romanesque interior, displaying the texture of the walls, does not reflect the atmosphere of a Romanesque church, which offered the faithful of the Early Middle Ages a whole gamut of bright hues and opulent detail.
XX
L’article est un compte-rendu des travaux de reconstruction effectués su r le p o rtail de l’église des Dominicains à Poznań en 1961. Fondée par Przemysł 1er, prince de la 'Grande Pologne, l’église fut érigée en tre 1244 et 1253. Le corps principal en b riques présentait à l'origine u n très beau décor a r chitectural, ta illé dans la pierre e t détruit p ar suite d ’une reconstruction d e l'in té rieu r après l’incendie de l’année 1803. Les resites du décor précite ont été découverts dans les fondements du portique accolé à la façade occidentale posté rieure à l’incendie et démontée dans les années 1957/1958. Le p o rtail dont la construction remonte aux o rigines de l ’église elle-même (1244—1253) ap p a rtien t p a r son ca ractère à l’époque dite transitoire pour l'architecture historique, soit dit au X lIIe siècle. Il possède une s tru c tu re d e forme développée, malgré q u’il soit presque entièrement en briques (sauf les bases e t les chapiteaux des colonnettes en pierre). De grandes briques appareillées et profilées constituent le matériau d e sa construction. Le p o rtail en saillie sur la façade ouest, s ’in se rra it dans le cadre du portique jusqu’au moment de son démontage. Il fu t découvert en 1922 et l’année suivante on procéda à s a reconstruction, to u t en le plaçant à un niveau un demimètre plus élevé qu’à l’origine compte tenu de l’excroissance du te rra in . La reconstruction toutefois se limitait à la façade ne concernant n i les murs latéraux, ni les décorations du mur en saillie qui se trouva englobé dans le m u r nouveau longeant la façade à l'in té rieu r du portique. Ce n ’est qu ’au cours des tra v a u x de démontage du portail (1957— 1958) que la saillie du m u r fu t dégagée des constructions postérieures. Les murs endommagés, n ’e n tra n t plus dans la composition du p o rta il surélevé exigeaient une re sta u ra tio n fondamentale comme d ’ailleurs le portail dépourvu du pignon qui le couronnait précédemment. Après la cuite de nouvelles briques on en trep rit les travaux de construction en automne 1961. Le te rrain de la place où se trouvait le porche fu t nivelé et abaissé env. d'un demi-mètre, compte-tenu de la penite donnée à l ’accès de l ’église. On décida toutefois de laisser le p o rtail au niveau qui lui fu t donné en 1923 pour éviter un démontage de plus compte-tenu de la faible résistance du m a té rie l 'en brique, d’ailleurs en grande p a rtie substitué déjà pendant la première reconstruction. Il a fallu donc assortir au portail surélevé les murs la térau x du portique abandonnées au niveau original. I l était toutefois impossible de démonter les murs, on e n tre p rit donc d e compléter les manques et d’échanger les éléments endommagés. E tan t donné l’écartement des deux niveaux qui é ta it équivalent à 3,5 assises de briques de grandes d imensions, on a dû tout d’afoord niveler l’é c a rt d e la moitié d ’une assise. Vu que les angles des murs étaient endommagés p a r le bas, lors de la reconstruction, on nive la l’écart par des lits de mortier. La corniche de la baie au-dessus du portail, cons tru ite avec d e larges dalles en céramiques fu t pro longée ju sq u ’aux murs latéraux du portique, les su rp assan t de h au teu r de 3,5 assises. Sous la corniche e t au-dessus d’elle, fu re n t placés les dalles reconstruites avec les angles profilés. Au-dessus de la corniche, dans la p a rtie de l’archivolte l’assortiment des couches de briques n e présentait plus aucun problème. Dès lors on pouvait, dans la partie frontale reconstruite, au-dessus de l’archivolte, se ré fé re r à l’angle nord en grande p artie conservé de la construction. D'après cet angle nord on a pu également re stitu e r l’aspect original de la saillie du mur n o tam ment en comptant l’écart des 3,5 assises, et même plutôt, des 4 assises par le profil d’en h au t e t p ar une dalle unie. La reconstruction de ces murs la téraux confirme atte s te que le portail avec l’archivolte extérieure et la bande disposée en frise courant le long de l’archiivolte, susdite, s’in se rra it dans un bloc en saillie dont les proportions rappe laient le carré. Le couronnement du portique demandait une solution des plus difficiles, car les indices vestiges manquaient. Aucune trac e de ce couronnement su r la façade vu que le p o rta il construit en briques plus grandes é ta it accolé à la façade sans former un seul corps avec elle. La h au teu r des murs la téraux ne p e rm e tta it pas de composer le pignon d u couronnement car ce pignon s e ra it tro p grand pour n ’avoir aucune décoration. D’ailleurs, il n e fa lla it pas amoin d rir la v aleu r d ’authenticité de certains éléments en introduisant une reconstruction douteuse. C'est pourquoi on adopta la solution de la to itu re à trois pans dégradés e t recouverte de larges dalles. Cette forme en dégradation a été employée pour raccourcir l’a rê te horizontale superposée de ,1a toiture to u t en se rap p o rtan t dans une certaine mesure à la forme origin ale de la construction en saillie que forma it l'ancien portique.
FR
be présent ouvrage a pour but d ’analyser l’état auquel s ’est conservé le portail roman de l ’égliise Ma rie-Madeleine à Wiroclaiw et d ’éclaircir les causes des détériorations sur la base des recherches effectuées jusqu’à présent sur l ’initiative du Conservateur Municipal de Wrocław. Comme le révèlent les recherches, les éléments authentiques provenant du portail d’Olbin sont e x é cutés dans des grès arcosiques qui dénotent actuellement une désalcalisation considérable du matériel liant et la dégradation de la structure. Il a été établi que la cause principale d’usure réside dans l'emplacement défavorable du portail du côté sud, sur la paroi revêtue de brique hollandaise de l ’église ainsi que dans le traitement de conservation inconvenable effectué dans les années 1912—1934 et consistant en un emploi de moyens de protection uniquement superficielle. L’ouvrage présente des propositions en oe qui concerne la protection et la conservation du portail par voie d ’une modification de conditions dans lesquelles il se trouve et de complément du matériel liant désalcalisé en vue d’en renforcer la structure.
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