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FR
Le pape Benoît XVI dans ses lettres encycliques sur l’amour - Deus Caritas est (25 XII 2005) et sur l’espérance - Spe salvi (30 XI 2007) a présenté l’importance de ces vertus pour la vie chrétienne. Déjà auparavant, en tant que le Préfet de la Congrégation pour la doctrine de la foi il s’ occupait de trois vertus théologales en soulignant les liens réciproques entre la foi dans laquelle s’enracine l’espérance et l’amour qui en constitue le couronnement. La foi - „réponse rationnelle à la révélation divine”, offre une profonde explication du sens de la vie humaine à la lumière de la résurrection et dans la communion avec Dieu. Grâce à la foi, mpme dans les moments le plus sombres apparaissent des étincelles du bien qui n’a pu gtre anéanti. De la foi vivante naît l’optimisme, le courage d’exister et l’équilibre intérieur. La foi mobilise le croyant à servir aux valeurs universelles et absolues. Elle le rend capable de témoigner de ces valeurs, surtout quand on s’identifie avec elles. L’espérance chrétienne permet de transgresser des limites du temps. Elle fortifie les fondements de l’existence, ouvre la perspective eschatologique de cette vie. Elle devient une source de joie, de patience, de persévérance, de fidélité aux principes qui aident à continuer le chemin entrepris. L’espérence organise et assure un milieu vital, ouvre la porte du temps vers l’étemité. Elle permet de savourer la beauté d’une vie consacrée à Dieu et aux prochains. Dieu seul constitue la vraie espérance de l’homme. Dieu nous forme à vivre notre espérance dans l’école de la prière, surtout quand nous apprenons à accepter la souffrance en tant que participation à la croix, signe d’amour de Dieu et annonce de la venue glorieuse du Christ pour juger le monde. Le dernier mot apportant l’espérance appartient à Dieu. L’amour (la charité) constitue une source et un sommet de la vie humaine, car nous provenons de Dieu qui est l’Amour. Il est l’auteur et le garant de notre existence, de notre justification et de notre destin pour toute éternité. Incorporés au Christ par le baptême, nous devenons héritiers des vertus théologales qui nous aident sur le chemin menant à la sainteté. L’amour s’enracine dans la foi et dans l’espérance et constitue le lien de la perfection (cf. Col 2,14). L’amour nous ouvre vers l’infini et résume toute notre existence dans le double précepte concernant Dieu et chaque homme. L’amour du Fils de Dieu devenu Fils de l’homme, crucifié et ressuscité, nous sauve et nous purifie à travers les sacrements et renouvelle en nous l’image de Dieu. Surtout dans la célébration de l’Eucharistie, source et sommet de la vie chrétienne, nous devenons le Corps du Christ qui est notre nourriture, nous rendant capables de vivre dans la perspective du don. L’amour authentique exige et suppose une foi radicale qui tâche d’aimer comme Dieu aime, comme son Fils nous a aimés - jusqu’à la fin (Jn 15,13). L’homme vit de l’amour quand il est capable de donner soi-mgme avec les biens qu’ il offre aux autres. Ainsi l’homme collabore à créer une civilisation de l’amour, enracinée dans l’amour de Dieu et des frères. Benoît XVI enseigne que l’espérance chrétienne répond aux plus profondes attentes de l’homme, qu’elle lui permet de regarder au-delà du temps présent. Edifié sur le fondement de la foi, porté sur les ailes de l’espérance et enflammé par le vrai amour, le chrétien accomplit la volonté de Dieu qui est sa nourriture et en même temps devient un homme nouveau - à l’image de son Créateur.
Vox Patrum
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2009
|
vol. 53
579-589
EN
Pélage († 420) dans son Commentaire à l’Épître de saint Paul aux Éphésiens montre qu’il existe une liaison organique entre foi et sagesse. L’auteur traite la foi (fides) comme une sorte de don de départ et à la fois un début de la vie chrétienne. Par contre la sagesse (sapientia) – comme la conséquence de la construction de la vie sur le fondament de la foi. C’est pourquoi on peut dire, que la foi est une sagesse de chrétien et la sagesse toujours se lie avec l’acte de foi, autrement dit croire à Dieu. La réflexion de Pélage sur la foi et la sagesse enseigne surtout comment en­trer au fond des mystères de la révélation qui se trouvent dans l’Ècriture Sainte. L’appréciation de la foi et aussi si bien que la foi mûre est la sagesse et décision pour aller en foi aussi décide la sagesse – témoigne un peu de stoicisme de Pélage. Pélage qui prend la foi dans la catégorie de la sagesse, a voulu arriver à convaincre dans l’enseignement contemporain Romain. La sagesse pour eux a été toujours une des plus grandes valeurs. L’étude de son Commentaire, oblige à une rèflexion profonde sur l’appréciation dans l’enseignement contemporain, de la problèmati­que de la foi et de la sagesse.
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God’s Holy Ordinance

71%
FR
Dans cet article, on soutient que l’Église doit ériger la théologie du mariage de manière ordonnée, car la culture n’a plus de fondement dans la pensée chrétienne. L’essence de l’argumentation repose sur la distinction provenant de la tradition luthérienne des « deux voies du royaume de Dieu ». Selon cette distinction, nous partageons avec d’autres personnes des « lieux de responsabilité », mais avec les vertus chrétiennes de foi, d’espérance et d’amour, nous les transformons en lieux du rayonnement du christianisme. Ensuite, je plaide fermement pour le rejet permanent du mariage homosexuel chez les chrétiens orthodoxes. En conclusion, j’inclus ce que j’espère être une approche pastorale compatissante – une tolérance gracieuse – envers les chrétiens homosexuels.
IT
In questo articolo si sostiene che la Chiesa deve stabilire la teologia del matrimonio in modo ordinato, perché la cultura non ha più un fondamento nel pensiero cristiano. L’essenza dell’argomentazione si basa sulla distinzione che deriva dalla tradizione luterana delle «due vie del regno di Dio», secondo cui condividiamo con altre persone «luoghi di responsabilità», però li trasformiamo in luoghi di radiosa cristianità con le virtù cristiane di fede, speranza e amore. Si sostiene anche il rifiuto permanente del matrimonio omosessuale tra cristiani ortodossi. In conclusione, si include quello che spero sia un approccio pastorale compassionevole – la graziosa tolleranza – verso i cristiani omosessuali.
EN
In this article, I argue that the church must build up its theology of marriage in a more disciplined manner because the culture no longer sustains the Christian notion. In making a substantive argument I rely on the Lutheran “two ways that God reigns” approach in which we share “places of responsibility” with all humans, but in which the Christian virtues of faith, love, and hope transform those places into genuine Christian callings. I then contend strongly for the continued rejection of same-sex marriage among orthodox Christians. I conclude with what I hope is a compassionate pastoral approach-gracious tolerance-toward homosexual Christians.
4
61%
Ecumeny and Law
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2021
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vol. 9
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issue 1
7-23
IT
I tre concetti: migrazione, ecumenismo e integrazione sono ricchi di significato. Il loro ordine e la gerarchia sono importanti. La migrazione è più o meno la libera circolazione delle persone, dei singoli o di interi gruppi. L’ecumenismo, a sua volta, è un appello e un’azione. La sua missione/compito è la necessità di riconoscere persone che rappresentano un’altra religione e di fare tentativi/sforzi per integrarle in un insieme con persone che credono in modo un po’ diverso, ma nello stesso Dio. L’integrazione è ripristinare o costruire un insieme integrale con persone che vivono in un dato territorio. La piena integrazione si chiama identità - individuale o collettiva. Poiché la migrazione disturba - in misura maggiore o minore - l’identità individuale o collettiva sia del Paese che accoglie gli emigrati che quella degli stessi immigrati, l’integrazione mira quindi a ricostruirla, ma non nelle strutture mentali esistenti, ma arricchita di nuovi impulsi che sono contributo degli immigrati. Il fondamento/la base - nel nostro contesto, si tratta della fede nel Dio di Gesù Cristo - rimane invariato, mentre cambia la sovrastruttura.
FR
Les trois concepts de migration, d’oecuménisme et d’intégration sont riches de sens. Leur ordre et leur hiérarchie sont importants. La migration est plus ou moins le déplacement plus ou moins libre de personnes, d’individus ou de groupes entiers. L’oecuménisme, quant à lui, est un appel et une action. Sa mission/tâche est la nécessité de représenter une minorité religieuse par rapport aux communautés existantes et de faire des tentatives/efforts pour les incorporer dans un même ensemble avec les personnes qui croient un peu différemment, mais au même Dieu. L’intégration consiste à restaurer ou à construire un tout intégral à partir des personnes vivant sur un territoire donné. L’intégration complète est appelée identité - individuelle ou collective. Puisque la migration perturbe plus ou moins l’identité individuelle ou collective du pays d’accueil et des immigrés eux-mêmes, l’intégration vise donc à la reconstruire, non pas dans les structures mentales existantes, mais dans une structure enrichie de nouvelles impulsions qui sont les contributions des immigrés. La base/le fondement - dans notre contexte, il s’agit de la foi dans le Dieu de Jésus-Christ - reste inchangée, tandis que la superstructure connaît un certain changement.
EN
The three concepts of migration - ecumenism - integration are rich in meaning. What is important is their order, the hierarchy of their occurrence. Migration is more or less any movement of people, individuals or whole groups. Ecumenism is in turn an appeal and an action. Its mission/task is to recognize in a certain group of people a religious difference and to make an effort to place it in an integral whole with other people who believe a little differently, but in the same God. Integration has the task of restoring or building an integral whole from people living in a particular territory. Full integration is called individual or collective identity. Since migration violates - to a greater or lesser extent - the individual or collective identity of both the country that receives immigrants and the immigrants themselves, integration aims to rebuild it, but no longer within the same mental structures, but rather ones enriched with new impulses that are the contribution of immigrants. The foundation - in our context, it is about faith in the God of Jesus Christ - remains unchanged, yet the superstructure undergoes some changes.
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