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in the keywords:  poezja antyczna
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FR
Le monde souterrain des Grecs anciens, royaume de Perséphone et de Hadès, apparaît dans la littérature grecque comme un locum tenebrum, un lieu d’obscurité permanente où descend tout homme post mortem. Notre réflexion dans le présent article vise en premier lieu à montrer le rôle et l’importance dans la culture grecque des deux notions de Mnémosyne et de Léthé. Ces deux puissances divines, perçues comme des daimones / numina et aussi comme deux éléments opposés, étaient emblématisées dans l’imaginaire comme les « eaux de la vie et de la mort » qui coulaient quelque part dans le monde souterrain à la bifurcation de deux chemins. Nous considérons aussi, dans un second temps, les tablettes ou lamelles d’or orphiques (lamellae aureae Orphicae) retrouvées par l’archéologie. Nommées souvent des « feuilles de mémoire » ou encore des « dons de mémoire », elles étaient en or et accompagnaient les mystes morts dans leurs tombes. Grâce à la formule religieuse incrustée en hexamètres, elles constituaient une sorte de référence qui aidait à guider les morts vers le chemin de la vie éternelle. Nous terminons par une analyse des eaux « de Mémoire et d’Oubli » coulant près des lieux sacrés où se trouvait l’oracle des morts, appelé nekromanteion / plutonium. Construits dans toute sorte de grottes et de crevasses, ces lieux de culte passaient dans la mentalité des anciens pour être le passage qui formait la transition entre deux mondes, celui des vivants et celui des morts.
Nurt SVD
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2013
|
issue 2
255-272
PL
Artykuł prezentuje wizję Rzymu w ujęciu Sydoniusza Apolinarego (430-486), który zainspirował się twórczością poetów: Enniusza, Wergiliusza i Auzoniusza. Wpatrzony w potęgę Rzymu Sydoniusz pisał panegiryki na cześć cesarzy: Avitusa, Majoriana i Antemiusza. Będąc prefektem Wiecznego Miasta widział również polityczną nieudolność rządzących, która doprowadziła do upadku Imperium. Przywiązany do kultury grecko-łacińskiej żywił przekonanie, iż kultury antyczna i rzymska przetrwają znacznie dłużej, niż samo Imperium. Historia osądziła podobnie. W średniowieczu podjęto studia nad dziełami klasyków chrześcijańskich i pogańskich; badania kultury antycznej osiągnęły apogeum w renesansie. Idea stworzenia w Europie międzynarodowego organizmu politycznego na wzór dawnego Imperium Rzymskiego zaświtała już w umysłach Karola Wielkiego, Ottona I, Ottona III i Napoleona. Czy Unia Europejska jest echem odwiecznych ambicji Imperium Rzymskiego? Jan Paweł II zachęcał wszystkie państwa członkowskie do budowania porządku kontynentalnego na fundamencie chrześcijańskim.
EN
The present article tackles the problem of a vision of Rome as presented in the works by Sidonius Apollinaris (430-486), who was inspired on the other hand by the works of poets: Quintus Ennius, Virgil and Ausonius. Enchanted by the power of Rome Sidonius wrote panegyrics to honour the emperors: Avitus, Majorian and Anthemius. As the Prefect of the Eternal City, he also observed the ruling political incompetence that led to the decline of the Empire. Attached to the Greco-Latin culture, Sidonius was convinced that the ancient and Roman culture would survive much longer than the Empire itself. History judged similarly. In the Middle Ages, the studies of the works of Christian and pagan classics were conducted; the research of ancient culture reached its apogee during the Renaissance. The idea to create in Europe an international political entity which would base on the model of the old Roman Empire already dawned in the minds of Charlemagne, Otto I, Otto III and Napoleon. Is the European Union an echo of the eternal ambition of the Roman Empire? John Paul II urged all the Member States to build the continental order on the foundation of Christianity.
FR
L’article présente la vision que Sidoine Apollinaire avait de Rome, inspiré par les poètes comme Ennius, Virgile, Ausone. Fasciné par la puissance de Rome, il a exprimé sa vision de l’Empire dans les panégyriques qu’il a prononcés en l’honneur des empereurs : Avitus, Majorien et Anthemius. En tant que préfet de Rome, il a connu la faiblesse politique de l’Empire et plus tard a vécu sa faillite. Mais il est resté toujours attaché à l’héritage culturel grec et latin – patrimoine plus durable que l’Empire. En effet, les études des oeuvres antiques, païennes et chrétiennes, ont été reprises au Moyen Age et cultivées à l’époque de la Renaissance. L’idée de former en Europe un organisme politique à l’image de l’ancien Empire romain a été lancée par Charlemagne, Otto Ier, Otto III et Napoléon. Dans la Communauté Européenne qui s’est formée à notre époque, on sent comme un écho de l’Empire romain. Le Pape Jean-Paul II a toujours encouragé les nations du Vieux Continent à s’intégrer sur la base des valeurs chrétiennes.
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