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PL
Wydanie publikacji dofinansowane przez Ministerstwo Edukacji Narodowej
EN
The reasons of the Spring of Prague - those dramatic events in Czechoslovakia in the years 1968-1969 - were gradually cumulating during whole twenty years, from February 1948, when Communist Party of Czechoslovakia had taken an undivided control over the country. Three main areas of quarrels between the communist government and the society were crystallised at the end of 1966. There were the problems connected with the model of economic development of the country, the questions of the civil liberties (especially the freedom of speech), and of the relations between the Czech and the Slovak people. The intelligentsia was a spiritus movens of the changes in Czechoslovakia. The opposition aimed at a creation of a better model of the socialistic state by introducing some economic reforms, démocratisation of the political system and the civil liberties as well as the participation of the citizens in the governing of the country. They assumed, that such a model of socialism would be able to regain the support of the society and awake the activity of the people.
PL
Część I patrz: „Acta Universitatis Lodziensis” 1998, Folia Historica 61. Wydano z pomocą finansową Ministerstwa Edukacji Narodowej.
FR
L’article ci-dessous concerne du débat social ayant lieu dans ce pays au temps ”du processus de la restauration” en 1968. La préface concerne l’état des relations tchéco-slovaques durant des siècles. On a y présenté le processus de la rennaissance nationale des Slovaques en X IX s. et l’approchement tchéco-slovaque fini par la création en 1918 un nouveau état commun. Les différences dans la sphère de mentalité, de langue, d ’histoire, de culture et d’économie, de structure sociale, bref politique, toutes elles menaient à la croissance des antagonismes. Ils se sont agravés à la cause d’un "paternalisme" tchèque, de la prise à la legère du partenaire plus faible et de la théorie de "Tchécoslovaque” doutant de l’existence du peuple slovaque. De l’autre côté, comme une réaction, il devenait fort le nationalisme slovaque, étant l’expression du complexe d’infériorité. En effet ces phénom ènes ont mené à la division du pays en 1939. Après 1945 la Tchécoslovaquie rennaissante a attribué aux Slovaques une certaine autonomie qui prenait de plus en plus un caractère formel en s’opposant à leurs ambitions croissantes. La partie essentielle de l’article présente la diseussion et les problèmes avant lesquels se sont trouvés les auteurs du règlement fédératif en 1968. Le debut y constituaient les positions politiques, et ensuite créés par les experts à leur base des actes législatifs. Il faut aussi souligner le projet concurrent né à la Moravie, parlant d’une fédération de triple, où on opposerait à la Tchécoslovaquie deux republiques tchèques. En égard de ne pas respecter d’aspirations des Slovaques quant à l’égalité en droits et ne pas préserver contre la domination tchèque ce projet a été rejette unanimement.
PL
Wydanie publikacji dofinansowane przez Ministerstwo Edukacji Narodowej
FR
L’article ci-dessous constitue la première partie de l’étude consacrée au debat social de la forme de la fédération tchécoslovaque qui se déroulait durant la période de rénaissance en 1968. Dans la préface on a présenté l’état des relations tchèque-slovaque à travers de l’histoire, dans lequel on a énoncé le processus de la rénaissance nationale des Slovaques en XIXs. et l’approchement tchèque-slovaque fini par la création de l’état commun en 1918. La Tchécoslovaquie renaissante après 1945 a attribué aux Slovaques un petit fragment de l’autonomie qui devenait de plus en plus formelle, s’opposant à leurs aspirations grandissantes. La partie essentielle de l’article présente le déroulement de la discussion et les problèmes qui se posaient devant les créateurs du règlement de fédération durant le processus des reformes du „Printemps de Prague”. La position formée par le Conseil National Slovaque, par Le Comité Central de KPCz et aussi par crée en août, Le Conseil National Tchèque constituait le point de départ (et ensuite les projets des actes juridiques concrets, élaborés à leur base). Les conceptions d’une fédération composée (selon un critère national) tchécoslovaque suggérant la réalisation du principe de l’égalité des nations avaient la plus grande importance. Le problème de la sphère des compétences des organes fédéraux provoquait des discussions mouvementées. Le projet concurrent d’une triple fédération (traitait en marge par la littérature polonaise) est né en Moravie. La forme finale du règlement de fédération était l’effet du compromis, l’effet des débats menés jusqu’au dernier moment parmi des experts slovaques et tchèques d ont on parle dans la deuxième partie de l’article.
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