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PL
Wydanie publikacji dofinansowane przez Komitet Badań Naukowych
EN
Pennsylvania founded in 1681 was the private colony. It belonged to William Penn and after his death to his heirs. It was one of the most populous and rich colony dominated by Quakers. Both they and many other people according to the charter of privileges had their political and religious rights and liberties. But yet in 1703 W. Penn wanted to sold his colony to the Crown. Some other attemptions were made next years. The Penn family who lived in England were attacked and criticized both in England and also in their colony. So the idea of the change of government was stronger and stronger. After the Seven Years War the Pennsylvania Assembly and mainly Joseph Galloway and Bejnamin Franklin were the persons, who once again proposed the idea of royal colony. In their opinion the Pennsylvania charter of privileges would not be changed, but the Penn family would loose their rights as the proprietors. They would be only the landlords. On the other side John Dickinson and the Proprietary Party wanted to show the disadvantages of such change. Their most important argument was that the rights and privileges of the inhabitants would be changed. Under the strong influence of B. Franklin and J. Galloway the Pennsylvania Assembly voted the petition for a change of government (may 1764). It was to be sent to the king and B. Franklin was appointed an agent to support the petition in London. The Board of Trade rejected this petition in 1765. Pennsylvania remained the private colony till the end of colonial days.
FR
L'article présente le premier voyage du jeune Benjamin Franklin en Angleterre dans les années 1724—172G. Il est basé principalement sur l'Autobiographie de Franklin et sa brochure A Dissertation on Liberty and Necessity, Pleasure et Pain, écrite pendant le séjour de l'auteur en Angleterre en 1725. La base de source se rapportant à cette période dans la vie de Franklin étant trop modeste, on a exploité, dans l'article, les plus importants travaux des philosophes et historiens américains présentant le développement de l'idée américaine. C'était indispensable pour la construction des conclusions régulières et la confrontation des idées propres. Cela a permis do ne pas subir l'influence du style littéraire très suggestif de Franklin. Les fragments de l’Autobiographie se rapportant au séjour de Franklin à Londres ont été soumis à la critique très perspicace. Par suite l'article omet cels questions de l'Autobiographie qui servent non seulement à la présentation des faits de la vie du jeune Franklin, mais aussi à la formation du modèle d'un bon, honnête et heureux Américain. 11 faut remarquer que plusieurs biographes c'e Franklin (non seulement américains) lient trop fortement ces deux questions distinctes. Ils s'en tiennent aux mots propres de Fxanklin et par conséquent présentent son image conformément aux désirs de son créateur (c'était une manoeuvre de Benjamin Franklin destinée à la lairge société américaine, non pas aux historiens vivant au XXème siècle). Le temps passé par Franklin en Angleterre est énormément important dans la contexte de sa future activité. C'est alors qu'il fit la connaissance de sa patrie (Mother Country) et du régime, de la science, de la culture et de l'atmosphère Intellectuelle de celle-ci. C'est alors que sa vision du monde subit un profond changement et sa façon de penser devint mûre. En séjournant en Angleterre Franklin vivait les problèmes principaux du pays. Le voyage lui permit d'acquérir de l'expérience; en participant à la vie scientifique et culturelle, de la Bretagne il transmettait ses idées et ses opinions. La brochure citée en peut être un exemple. Il y prit la position d'un déiste extrême. Il croyait que de telles notions, que la liberté ou le libre arbitre, n'existent pas, que le plaisir et la douleur s'équilibrent et que la poursuite du plaisir est la force motrice de la vie humaine. Il croyait aussi qu'il n'existe que la vie terrestre, dans laquelle tout s'accomplit. L'intérét qu'évoqua la publication de Franklin lui permit de faire la connaissance de célèbres savants, et parmi eux des physiciens, des médecins, des philosophes et des représentants des sciences naturelles. Dans leur immense majorité c'étaient les membres de la Royal Society. Franklin établit des contacts scientifiques avec William Lyons, Bernard Mandeville, Henry Pemberton, Hans Sloane. Peter Collinson. Il se transforma d'un apprenti d'imprimerie, inconnu en Angleterre, en intellectualiste naissant. La brochure inaugura le cycle des recherches des questions et des meilleures solutions des problèmes religieux et de ceux de la vision du monde qui le tourmentaient. Le principe le plus important accepté par Franklin était celui de faire du bien à autrui et de suivre dans la vie la (vérité, la sincérité, la probité. Le voyage et le séjour â Londres étaient une étape du développement de la personnalité de Franklin et du ramassement des expériences de tous les domaines de la vie. Ils devinrent aussi le prologue des séjours suivants en Angleterre et des contacts directs avec le continent européen.
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