The topic of freedom in Descartes’ philosophy is usually being connected with human freedom. It is understood in the traditional perspective of distinguishing right from wrong and truth from false. This aspect is, in my opinion, sufficiently explained. The same applies to Descartes’ ethics, connections of which with Antiquity were often mentioned. In the paper I bring up quite different issue. It rests on the question what it means that God creates the truth and what consequences it has for human validity (and necessity) of recognizing and receiving it, what is its status and, finally, how it reconfigures the relation between God and the man.
In this article I analyze the similarities between St. Augustine's and Descartes' philosophy. In particular I consider their spiritual conceptions of mind, God, and cognition theory. The most important similarities between both thinkers concern the dualism of substances, cogito/dubito theory, and the conception of immortal human soul, like a thinking thing (res cogitans). Other similarities concern matter conceived as a theoretical construct of extension without thinking, cognition theory and mature knowledge, problems of falsehood and truth, theory of soul and senses perception, theory of mathematical eternal truths, the role of mathematics in nature description, their understanding the biological and spiritual points of view, the relation between human soul and body, limited human and unlimited intellect of God, intention and decision making, and also being and nothingness. The main feature presented in both theories is theocentrism and the role of God. Both conceptions belong to Christian Platonism, then have an anti-Aristotelian character, and can be considered as examples of the philosophy of mind.
René Descartes comme un philosophe s'est mis en question d'instituer le système comprenant la description complèté du monde des phénomènes physiques, y compris celui des organismes vivants. Au debut de la réalisation son dessein, cette description intitulée «Le Monde» devait se composer de six parties dont deux derniéres avaient pour but de toucher le probléme qui nous interesse particuliérement. Pourtant Descartes n'a pas réussi à réaliser son dessein dans un seul ouvrage. Il a laissé deux traités rédigés indépéndamment et intitulés «L'homme» et «La description du corps humain». Ses dissertations sont devenues une source inspiratice pour nos médiations. Mais ce qui nous prèoccupe particulièrement c'est la façon d'interpréter par Descartes des phénoménes de la vie, largement conçus dans la cadre de la philosophie mécanique. Cette philosophie réduit le monde des phénoménes extérieurs à une seule substance soumise aux lois du mouvement. On s'interroge egalement si l'analogie entre un mécanisme et un organisme pourtrait s'entretenir à la base de la mème pensée, réalisée par Descartes. Aussi, on réflechit à la question si l'on peut accorder au monde réduit aux lois du mouvement et à l'extension, un attribut de la vie, considéré comme le seul phénoméne de son genre.
Gerauld de Cordemoy, along with Arnold Geulinx, is a leading forerunner of occasional cause notion. The focal point of this article is the philosopher's views on occasionalism. The solution to this problem is included in his major philosophical work, titled "Le discernement du corps et de l'âme en six discours, pour servir à l'éclaircissement de la physique", 1666 ["Discrimination between body and soul…"]. According to him the capability to move cannot be attributed to body. The philosopher introduced inability to transfer movement from one body to another. Gerauld de Cordemoy considers God to be the fundamental purpose of movement. The article includes a philosopher's combination of Cartesian theory and atomism that he professed. He additionally proposed a definition of matter and body, alternative to the Cartesian one. The following written work elaborates on the role of a scholar in the clarification process of occasionalism, from Descrates to Malebranche.
Le texte ci-dessus traite d'une question-clé pour le jeune philosophe Descartes. Cette dissertation aborde la problématique des fondements du savoir que le philosophe posait pour la première fois dans son traité «Le Monde» (1629-1632). C'est avec ce traite que naît, dans le système de Descartes, le besoin d'établir les bases métaphysiques des nouvelles sciences naturelles et de toute la nouvelle philosophie. En 1630, Descartez n'avait pas encore suffisamment façonné la question de dieu et de sa relation envers le monde, question qui existait tout de même dans son esprit et était novatrice par rapport à ce que l'on ensejgnait à ce sujet au point de susciter la controverse voire méme la réprobation. Cette problématique touchait aux questions physicues au sens large dans le projet de travail du philosophe et établissait la possibilité d'un fonde'ent métaphysique du discours sur l'existence. Cette question, Descartes l'a résolue en embrassant la notion de vérités universalles qu'il a subordonnées au concept du dieu-créateur de l'ordre rationnel du monde. Ces vérités universalles en tant que vérités mathématiques, sont, pour le philosophe non seulement la substance (l'essence) mathétique de l'objet de la connaissance, mais aussi la condition indispensable à la connaissance. Ceci lui a permis une concordance absolue de l'ordre du savoir avec l'ordre réel, que ce savoir décrivait. Ce travail est une reconstruction basée sur la correspondance du philosophe et n'existait pas, à l'époque, comme idée indépendante dans la philosophie de Descartes.
Louis de la Forge, né le 24 ou le 26 novembre 1632 à La Flèche. Médecin, était anatomiste et physiologiste, mais aussi philosophe cartésien. Un ami des Oratoriens et des Protestants à Samour (France). Il avait été l'auteur de deux oeuvres philosophiques parmis lesquelles nous pouvons trouver Les "Remarques" sur le "Traité de l`Homme" de René Descartes, avec des illustrations, ainsi qu'un ouvrage essentiellment philosophique et autonome Le "Traité de l'Esprit de l'Homme, De ses Facultez et Fonctions, Et de son union avec le Corps, Suivant les Principes de René Descartes" (1644). La matière de Remarques a été largement presentée et utilisée dans ce "Traité de l'Esprit", qui a été son ouvrage fondamental. Dans sa conception de l'âme, en tant qu'une chose qui pense, il a prouvé que les pensées de Descartes étaient entièrement conformes à la doctrine de Saint Augustin. Le corps n'était pour lui qu`une machine, et pour expliquer tout ce qui se passait dans un animal, il avait soutenu la thèse qu'il suffisait de présenter tous les divers mouvements auxquels nous sommes naturellement incités à l'occasion de l'action des objets extérieurs sur notre corps et nos sens. En somme: le phénomène qui peut nous servir pour expliquer la machine (le fonctionnement) du corps humain et animal, ce sont les lois de la Nature. Mais ce qui touche la nature de l'Âme, qui est immatérielle, qui pense, qui connaît, qui raisonne, demande d'après lui des profondes spéculations. Dans son livre ouvrage La Forge a depassé son Maitre en expliquant en détail beaucoup de choses qui contennaient le concept de l'âme, ses fonctions, ses actions intellectuelles, ses sentimens, et son union avec le corps. Il a rendu la connaissance de notre esprit beaucoup plus sensible que Descartes, qui nous a donné la sienne qui parle de de notre corps. Comme l'avait dit Descartes, l'âme est une substance pensante, tandis que le corps est une substance étendue. Toutefois, cette distinction réelle du corps et de l'âme ne s'oppose pas à leur union. Mais il n'a pas beaucoup parlé de cette union. La Forge au contraire, a expliqué ce que c`était l'esprit et le corps et quelles étaient les choses qui nous faisaient connaître leur union. De plus, il a préparé sa théorie de la relation de l’âme et du corps comme oeuvre de la volonté divine, laquelle nous appelons l'occasionalisme.
La philosophie aussi bien que la religion cont d'accord sur la posibilité d'atteindre par l'homme la vérité en tant que domaine obscurci primitivement par la conviction familiére (et par cela meme évidente), que la vérité est simple et visible partout. Les pensées des grands de ce monde indiquent souvent la valeur illusoire que nous attribuons à cette conviction commune et irréfléchie. Que l'on soit dans l'état de rêve ou sous l'emprise d'une illusion créée celui qui tente, ils s'y opposent en disant qu'il ne s'agit là que fausse foi hantée par un effort de surpasser les pensées les lus primitives et les plus simples. Tenté, l'homme engage un combat solitaire et dramatique. Il quite l'ancien univers sans atteindre le nouveau. De ce fait, il se situe dans une liberté dangereuse venant des privations – il doit tout quitter pour tout gagner.
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