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EN
As it can be observed in Church documents schola cantorum plays a key role in the concern for proper quality of the sacred music. The Magisterium recommends that choirs should be established in every parish. Proper activity of schola cantorum may de facto result in introducing Pope’s and Vaticanum Secundum regulations into the life of the Church. Great responsibility rests upon the leader of a choir, who should be concerned about the quality of the sacred music in a particular parish. In view of numerous errors and breaking of the church law church musicians indicate urgent need to rethink the participation of choir in divine services. Also nowadays schola cantorum plays a very important role and may help to introduce liturgical renewal in the life of the Church.
FR
La classification des émeutes respectives se base souvent sur des traces et des hypothèses. Même les théories justifiées inspirent les doutes, qui concernent, le plus souvent, les bagarres religieuses et celles provoquées par les factions du cirque. Dans ces cas on peut indique seulement les causes les plus probables. Malgré ces imperfections il est sur que les émeutes n’étaient jamais, au moins celles que nous connaissons, accidenteles. Leurs causes étaient variées, parfois elles avaient leur source dans la sphère des émotions humaines. D’autres sont ressorties de la situation politique, économique et religieuse de tout l’émpire, Syrie ou Antioche seulement. En 303, 354 et 387 les émeutes avaient le caractère inconstant. Il est vrai qu’au début elles sont ressorties des problèmes économique (les difficultés avec l’approvisionement de l’armée en 303, les prix croissants du blé en 354, l’additionnelle imposition en 387) mais elles se sont transformées en lutte politique. Les émeutes des années 354 et 387 sont certainement le mieux documentées mais cela ne signifie pas qu’elles avaient un élan et la portée les plus importants. L’représentation fragmentaire d’autres émeutes ne permet pas le constater. Par example, on peut dire très peu des événements de 324, de 431 et de ceux des années 30 du Vie. siècle. 11 est le plus probable que les causes de ces émeutes sont restées seulement dans les difficultés économiques - il y a eu une grande sécheresse ces années - là et les prix des aliments ont augmenté. On ne vois pas ici aucune trace des conflits politiques ou d’autres. Vers 313 la foui assemblée à l’hippodrome, a insulté du empereur parce qu’il n’a pas construit de nouveaux bâtiments publiques. Ainsi il a privé le peuple d’Antioche de la possibilité des gains additionnels. Ce n’était pas pourtant la révolte politique contre empereur. Il est étonnant que selon les sources le nombre des émeutes, excitées par les courses de chars ou par les apparitions des danseurs pantomimiques, soit bas (les années 488-490, 507, 529 ou 530). Les habitants d’Antioche se passionnaient pour tout ce qui se passait à l’hippodrome et on peut imaginer que ces émeutes étaient beacoup plus fréquentes. Dans la vie de toute la ville les émeutes religieuses n’étaient pas un problème. Elles ne se sont repetées que parmi les chretiens et quatre fois seulement (en 326, 475, 511/512 et vers 531) et c’est pourquoi elles n’étaient pas la preuve d’une crise de la communauté chrétienne. Le quatrième siecle était le temps de grandes querelles théologiques. Elles préoccupaient le peuple le peuple, mais en 326, après la déposition de J’évèque Eustacius, les luttes ont éclaté parce que le gens défendaient leur favori. Dans ce cas les questions théologiques ont eu la rôle secondaire. Il n’y avait pas les luttes parmi les chretiens et les païens. Ces derniers étaient trop indifférents à leurs cultes. Les luttes entre les chretiens et les Juifs étaient une rareté. Nous connaisson seulement trois situations, mais aucune ne prouve que la différence religieuse des Juifs était la cause de ces conflicts. Les chrétiens, les païens et les Juifs coexistaient à Antioche dans le calme.
EN
The surviving sources provide very little detail on the governors of Arabia in Late Antiquity (AD 284–641). The best documented period is the late 350s and early 360s, for which most information comes from several letters of Libanius of Antioch; a number of writings by that renowned rhetorician are at the core of all present-day lists and biographical notes on the governors of Arabia in that period. A closer look at Libanius’ letters, for all their ambiguity, does nevertheless invite a revision of the current state of knowledge, either through confirming earlier findings, or correcting and supplementing them.
PL
Celem artykułu jest addenda et corrigenda biogramów namiestników Arabii, z najlepiej oświetlonego źródłami okresu, tj. przełomu lat pięćdziesiątych i sześćdziesiątych IV stulecia n.e. Bazę źródłową stanowią przede wszystkim listy retora Libaniusza, adresowane do namiestników Arabii. Są to teksty niełatwe w interpretacji, choć poddane już gruntowanej analizie (głównie: O. Seeck, W. Ensslin, G. Sievers, P. Petit, M. Sartre), wciąż pozwalają na oryginalne wnioskowanie. W artykule podejmuję próbę skorygowania listy namiestników Arabii, ułożonej przez M. Sartre’a, a także poszerzenia lub skorygowania naszej dotychczasowej wiedzy w zakresie tytulatury i kompetencji, pochodzenia, wykształcenia, tożsamości religijnej oraz przebiegu karier.
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Preface

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