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Prawo Kanoniczne
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1993
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vol. 36
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issue 1-2
161-214
PL
L ’article est une tentative de complément des études qui se rapportent à un certain nombre d’institutions de droit canonique en Pologne, telles que les synodes, chapitres, archidiaconats, officialités, consistoires. Il concerne le Consistoire Général de l’Archidiocèse de Varsovie dans les années 1818-1863, les circonstances dans lesquelles il fut créé, ses compétences, compte tenu de la législation nationale, ainsi que son personnel de service. La période considérée se situe entre la date à laquelle fut institué l’Archidiocèse de Varsovie en 1818 et l’an 1863, date à laquelle, en conséquence des représailles exercées après l’Insurrection de 1863, la situation de l’Eglise continua à empiret d’une manière de plus en plus violente. Le Consistoire soutenait l’évêque dans l’ensemble de ses travaux diocésains, aussi bien administratifs que judiciaires. Etant donné la situation sociale et politique de l’époque, le Consistoire de l’Archidiocèse de Varsovie jouait un rôle tout à fait particulier. Au cours de la période en question l’Archidiocèse fut privé pendant 27 ans de son Archevêque, ce qui veut dire que sa direction était incomplète. Le Consistoire était à ce moment une institution statutaire et son fonctionnement ne fut pas interrompu. Le Consistoire tansmettait au clergé la juridiction instituée par l’évêque et veillait à sa mise en pratique en publiant des normes exécutives. Les travaux du Consistoire étaient dirigés par l’official, c’est-à-dire le vicaire général ainsi que les juges subrogatits. L ’article souligne le fait que les activités du Consistoire étaient dans beaucoup de cas délimitées par les lois de la juridiction nationale, conformément à l’esprit de l’époque dans laquelle une autorité absolue tendait à se soumettre chaque organisme de la vie sociale.
Prawo Kanoniczne
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1988
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vol. 31
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issue 3-4
223-270
PL
L’article montre l’apport de l’Eglise Catholique dans l’activité sociale développée parmi les ouvriers sur le territoire de la Pologne. Pour présenter ce problème on s’est servi de l’exemple de „DŹWIGNIA” („LEVIER”) qui fut l’un des syndicats qui groupaient les ouvriès. Ce syndicat, inspiré par l’esprit chrétien, fut fondé le 24.05.1906 â Varsovie et il avait pour initiatrices les soeurs de la Congrégation du Nom de Jésus, guidées par deux prêtres largement connus pour leurs oeuvres sociales, le père M. GODLEWSKI et le père J. MATULEWICZ. La création de ce syndicat fut en réalité une mise en pratique des enseignements sociaux contenus dans l’encyclique „Rerum novarum” publiée en 1891 par le pape Léon XIII. Le Syndicat Chrétien „DŹWIGNIA” fonctionnait à base d’une autorisation ratifiée légalement par les Autonités de l’Etat de l’époque. Les statuts de 1906 et 1922 en étaient l’acte instrumentaire. Conformément à ces statuts le syndicat avait pour but de développer une activité instructive, sociale et économique parmi les ouvrières syndiquées. Le syndicat „DZWIGNIA”, qui fut l’un des nombreux syndicats dont l’activité se déroulait à cette période, défendait avec succès les syndiquées contre la menace de l’extrême misère, assurait la possibilité d’obtenir du travail, s’efforçait de leur permettre de bénéficier des biens culturels et veillait au développement de la formation professionnelle. L’activité de ce syndicat se situe entre les années 1906-1939.
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