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PL
Wydanie publikacji dofinansowane przez Komitet Badań Naukowych
FR
Dans les années 1920-1921 la diplomatie de Tchécoslovaquie a mené vers l’entente entre Prague, Belgrade et Bucarest, ce qui a donné le début de la Petite Entente - du prem ier système de sécurité régionale - issu de l’ordre de Versaille. La volonté de contrarier le révisionnisme de Hongrie constituait l’essentiel de cette entente; pourtant le service étranger de Tchécoslovaquie désignait des objectifs beaucoup plus im portant à la Petite Entente. Elle devait surtout être un antidote contre la politique de grands puissants (surtout la France) contre le reconstitution économique et politique de l’Europe Orientale et Centrale. La diplomate de Tchécoslovaquie craignait que dans le, cas de succès des pays les plus importants, la Ieme République se retrouverait en marge de la politique internationale, et son terri - toire perdrait son intégrité. Le plan de créer une constellation diplomatique sur cette partie du continent provenait du désir d'affaiblir les aspirations de Pologne en tant que „hegemon” et le partenaire principal de grands et puissants pays. La création de la Petite Entente a permis de Trainer le développement des événements, défavorable du point de vue de Prague, elle aussi a fait de la Première République un facteur important créant les relations internationales dans la partie centrale de l’Europe.
FR
Le ministre des alTaires étrangères de la Tchécoslovaquie Eduard Beneś rendit la visite à Varsovie du 20 au 23 avril 1925. Durant cette visite on signa l’accord entre les pays concernant les relations réciproques: l’arbitrage, le commerce et ce qu’on appelle la liquidation. Les hommes politiques suggéraient le début d’une nouvelle étape dans les relations entre les voisins ce qui fut d’ailleurs très bien reçu par une grande partie de la population polonaise et tchèque. L’opinion publique internationale vit en cette visite de Beneś le début de l’approche durable entre les Polonais et les Tchèques dicté en plus par les intérêts commun face aux projets allemands du pacte régional de garantie. Pourtant à Berlin on la considéra comme la démonstration des deux pays vis à vis de l'Allemagne et contre l’Allemagne. En réalité les diplomaties des deux pays ne voulaient pas sortir en dehors de la formule définie d’une manière très stricte dans les accords conclus. Certes l’on s’attendait au renforcement de la position internationale de la Pologne et de la Tchécoslovaquie à la suite de cette rencontre. Il est fort probable que le bruit qui accompagnait la visite de Beneś perçue comme un changement de la politique non seulement face à soi- même mais aussi face aux autres pays (surtout l’Allemagne et l’Union Soviétique) en couragea l’homme politique tchèque à souligner que cet approche n’aurais pas du nuire à un éventuel accord avec la diplomatie allemande qui passa à l’offensive. Les dirigeants du Ministère des Affaires Etrangères ne surent pas et peut -être qu’ils n'avaient même pas l’intention d’insister auprès du voisin du sud afin de créer un front en commun.
PL
Wydanie publikacji dofinansowane przez Komitet Badań Naukowych
EN
The future of Czechoslovakia was strictly connected with the Versailles order and mainly with the League of Nations. E. Beneś, who had the greatest influence on the character and activity of the czechoslovakian diplomacy, was greatly attached to the principles of the League of Nations. He described this diplomacy as the vector of his own foreign policy. Apart of his propaganda declarations he demonstrated his activity in the works of the League of Nations. E. Beneś was mainly interested in the most important problems of the First Republic of Czechoslovakia. He took part in the works of realization the idea of common security: the Self-help Treaty and the Geneva Protocol. He wanted to eliminate the procedural precedents, to define the aim and character of the national minority defence. His activity was strictly connected with czechoslovakian foreign policy including the bilateral relations. The vision of the economic sanitation of Austria moved away the danger of Anschluss. And the Petite Entente was a kind of mixed czechoslovakian wants in the Middle Europe and her conceptions as the results of the League Treaty. Beneś was attacked for his free attitude to the obligations of Versailles system and mainly to the League of Nations. Meanwhile it was the League who helped him to become an european diplomat. His presence during many discourses concerning the main problems of Europe let him possess a great influence in the international policy. As a kind of a paradox, such a small country as it was Czechoslovakia had a great international influence. She gained many profits, but they were only temporal.
PL
Wydanie publikacji dofinansowane przez Ministerstwo Edukacji Narodowej
EN
The studies over the conception of security of Czechoslovakia was initiated during the First World War by Tomas Masaryk. They were recapitulated in the book The New Europe which was published in autumn 1918. According to the author, the close co-operation of Czechoslovakia, Yugoslavia and Poland, leading to the federation open for the rest of the states of that region should be the base of the political and economic stabilisation o f Central Europe. However that project was a kind of constructive solution of the problem, it abstracted from the political, economic and ethnic reality which minimised the chances of its realisation. In that period the activity of Eduard Beneś was concentrated on the attempts to get the strategic allied among the powers of Entent, who would be able to give Czechoslovakia the real guaranty of security. That role was taken up eventually by France, who declared her readiness for supporting the Czechoslovak territorial claims. The French military mission that had been sent to Prague took the control over the army of ĆSR. During the period of preparation to the Paris Peace Conference the government of Czechoslovakia did not show the great interest in the conception of the League of Nations. It attempted to reach the security of the state by assuring the strategic frontiers for it. It is worth stressing that in general it ignored the national point of problem in spite of the fact that whole territory along the demanded frontiers with Austria, Germany and Hungary was inhabited by the people of those three nations whose attitude towards the Czechoslovak statehood was negative. On the Paris Peace Conference the Czechoslovak diplomacy did not manage to obtain the powers approbation of her conception of security. Eventually they accepted „the historical frontiers”, nevertheless that was considered as a great success of the I Republic. Signing the peace treaties with Austria and Germany (among the other these treaties limited the possibility of Anschluss and the number of military forces of these both states and forbade them the possessing of some category of arms) Czechoslovakia obtained the new guaranty of security. As the primeval member of the League of Nations it also obtained the guaranty assured by the Pact. Still a state of the international relations in Central-East Europe was far from that one that was wanted from the Prague’s point of view. The military circles of ĆSR recognising the danger of the isolation of the state, appealed to the government for intensification of the military cooperation with France and for find the allies in the neighbourhood.
PL
Wydano z pomocą finansową Ministerstwa Edukacji Narodowej
FR
Les relations polono-tchécoslovaques dans les années 1918-1920 se caractérisaient d’un antagonism e réciproque, s’exprimant par une dispute de la nationalité de la Silesie de Cieszyn, de Spisz et d’Orawa Le conflit entre Prague et Varsovie n’etait pas dans son fond une contestation politique, mais il constituait une realisation d’un primat dans l’Europe Centrale d’Ouest existant sur les plans se mêlant reciprequement. La guerre entre la Pologne et la Russie Soviétique l’avait prouvée en plein le fait d’eprouver la réalisation d’une conception federative, commis par IIeme republique en avril de 1920 on l’avait pris au bord de Wełtawa pour une menace des intérêts de la Tchécoslovaquie. La diplom atie tchécoslovaque mennant à détourner une conjoncture défavorable ne hésitait pas à profiter d’une situation politique et militaire critiques, dans lesquelles la Pologne s’est retrouvée après la défaite de l’offensive de Kiev. La catasrophe eventuelle de la Pologne était considérée com me un facteur positif, car elle éliminait le concurrent le plus dangereux dans la lutte pour le primat dans ce partie du continent et elle créait des conditions favorables pour la réalisation de la conception d’une Petite Entente, travaillée par la diplom atie tchèque depuis quelques mois. Le traitement prioritaire par la Pologne des intérêts d’ouest menait à le handicap des activités sur les autres points et surtout au sud, ce qui a mené entre autres à la résolution défavorable pour Varsovie de la dispute de frontière tchécoslovaque.
PL
Wydanie publikacji dofinansowane przez Ministerstwo Edukacji Narodowej
FR
Le processus de la formation du service étranger tchécoslovaque a commencé pendant la première guerre mondiale. Les expériences du combat diplomatique de l’independance de la Tchécoslovaquie ont determine son caractère, ses méthodes, les moyens d’agir. C’etait aussi à cette époque-là qu’on a choisi les idées principales et qu’on a fixé les bases du fonctionnement de la diplomatie de la Iére République. Dès le debut elle était dirigée sans cesse pendant 17 ans par Eduard Beneś, dont la personnalité et les conceptions l’ont influencées durablement en décidant du caractère du service étranger tchécoslovaque. Beneś était pour la diplomatie pesonnelle; tout seul (en concordance avec le président T. G. Masaryk) il créait la ligne politique en l’introduisant dans la vie. On ne sait rien des cas où il l’ordonnait à l’un de ses collaborateurs. La spécificité du système de la Iére République lui garantissait l’execution illimitée de son programme. L’organisation des structures du Ministere des Affaires Etrangères commencée par Bedrich Stépânek en 1919 a été finie sept ans après par Vâclav Girsa. Il a fallu le même temps pour construire le reseau des postes diplomatiques et consulaires. Le manque de cadres qualifiées constituait le facteur dérangeant le fonctionnement du service étranger de la Iére République. Seulement certains employés du ressort des affaires étrangères possédaient de l’experience acquise dans la diplomatie d’Autriche-Hongrie. Il s’est constitue la nécessité d’appeler au travail les représentants du monde de science, de la palêtre, les membres du mouvement de l’indépendance, les officiers et les journalistes. On a mis en train le système de l’éducation accélérée des employés. À moitié des années vingt on a acquis la stabilisation des cadres, on a fixé une terminologie spéciale et la pragmatique d’emploi.
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