La majorité (95,2%) du peuple grec est censée appartenir à l'Eglise Orthodoxe Orientale. Le régime constitutionnel des cultes en Grèce prévoit les régies suivantes: il existe une religion dominante et l'église qui la représente officiellement, c'est à dire l'Eglise Orthodoxe Orientale du Christ, juit d'un statut constitutionnel spécial, la constitution garantit la liberté religieuse à toutes les personnes physiques et morales, mais la liberté du culte est réservée seulement aux religions La constitution de la Grèce traite du statut juridique de I 'Eglise Orthodoxe, pendant que le statut d'autres cultes fait l'objet des lois ordinaires et des conventions internationales. Selon les dispositions constitutionnelles l'Eglise Orthodoxe de Grèce est indissolublement unie, spirituellement, au Patriarchat Oecumenique de Constantinople et à toute autre église orthodoxe. Elle est autocéphale et autoadministrée. Le cadre théorique du régime juridique des rapports entre l'Etat grec et Eglise Orthodoxe constitue une forme évoluée du césaro-papisme qui dans la littérature grecque moderne est appelé le système de „la prépondérance de l'Etat au moyen de la loi". Dans ce système l'Eglise Ortodoxe a la personalité morale de droit public, elle juit d'un traitement spécial (p.ex. financier) qui ne s'entend pas de plein droit aux autres confessions et religions, sans que cela soit contraire au principe constitutionnel de l'égalite. L'état a le droit de régler au moyen des lois toutes les matières administratives de l'Eglise, même celles qui sont de nature interne.
Le droit romain est le système crée par des hommes forts pour eux-mémes - dans le système comme celui-ci c’est le favor creditoris qui est naturel. Cela ce manifeste particulièrement dans la procédure d’exécution qui est normalement très sévère. Le favor debitoris vient des trois motifs généraux: les circonstances politiques (la possibilité de profiter de l’atmosphère de conciliation après la remise des dettes pour obtenir des abandons politiques de la part du peuple), le humanitarisme (la humanisation des relations sociales sous l’influence des doctrines philosophiques et religieuses - le stoicisme, la doctrine chrétienne), et enfin - l’égard j l’ordre social (les lois contre les usures et la remise effective des dettes comme la méthode d’éviter des troubles). L’Etat ne pratiquait pas la politique conséquente contre les usures et les usuriers. On rendait les lois restrictives, mais cela se faisait dans les circonstances sociales bien déterminées, pour obtenir les résultats politiques bien concrets.
The agentes in rebus corps (schola agentum in rebus) was mentioned for the first time in AD 319. Post services were the main duty of the functionaries. The services included mail delivery, public post supervision, and general police discretion that was equal to spying for emperors. Occasionally, the agents were obliged to provide special services, e.g. executions of death penalty on high rank officials. The functionaries were universally hated because of their greed, their corruption and the nature of their services. Additionally, schola agentum in rebus had become an asylum for various kinds of dregs and scummings. Although emperors decided to impose limits on the agents’ number and on the nature of services, in order to improve the situation, the activity they undertood did not cause the desired effects. The corps structure allowed an efficient information flow. Nevertheless, the fusion of courier and intelligence functions was regerded natural at that time.
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