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FR
Le problème de la présence et de l’importance de la religion dans la vie sociale est une question extrêmement compliquée; ainsi qu’une solution satisfaisante tout le monde est difficile à trouver. Vu ce problème précis et très complexe qui celui des droits de l’homme, l’auteur tient à démontrer le rôle décisif du christianisme, la vision de l’homme qu’il implique. Toute cette démarche a pour l’objectif la prise de conscience de ces droits essentiels de la personne qui ont été proclamé dans la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme de l’ONU, le 10 décembre 1948. En prenant en compte cet événement et les circonstances qui l’accompagnent, l’auteur confirme „d’une manière indirecte” la conviction concernant la présence et importance de la religion (ici: du christianisme) pour la vie sociale.
FR
Ce qui intéresse l’auteur c’est la valeur de l’attitude éthique de l’homme envers son environnement. Ce problème est devenu extrêmement important surtout à la fin du XXe siècle. Selon l’auteur la manière d’aborder ce problème possede certains inconvénients. Le soin de la nature ne suit pas toujours la réflexion concernant le sens de la présence de l’homme dans son milieu en accord avec sa vocation humaine. Ce sont les raisons purement pragmatique qui motivent le plus souvent la protection de l’environnement. Une bonne solution des problèmes écologique selon l’auteur dépend du développement de l’éthique et l’écoéthique objectiv cultivées.
FR
C’est dans le fait de renoncer à poser des grandes questions importantes que se manifeste la crise de la philosophie. Une telle grande question posée par l’homme est celle concernant Dieu. Le problème de l’existence de Dieu constitue la question immanente de la métaphysique. C’est un certain effort religieux qui accompagnait, depuis toujours, presque parallèlement, la comprehension de la réalité atteignant son point culminant dans l’affirmation de Dieu – raison ultime de cette réalité. C’est justement cet effort de l’homme de se définir religieusement a souvent stimulé la comprehension de la réalité (fides quaerens intellectum). La métaphysique se formait et mûrissait dans le contexte de la réalité conçue comme sacrée. La crise de l’instinct religieux qu’on observe à la fin du XVe et au début du XVIe ss. a donné comme suite le mythe de „la mort de Dieu”. La philosophie moderne qui donnait la parole au rationalisme et au volonatrisme est devenue le facteur favorisant le développement de ce mythe. En perdant son caractère intellectuel, la philosophie qui réponadait de plus en plus aux besoins pragmatiques de l’homme, devenait l’idéologie. De cette manière elle a commencé de trahir ellemême. Les mythes et, entre autres, celui de „la mort de Dieu” témoignent de la autodéconstruction de la philosophie.
FR
Le Catéchisme de l’Église Catholique dont la publication est devenu l’événement important pour la vie des catholiques aussi bien que pour celle de toute l’humanité constitue, selon l’auteur, une puissante provocation. Vu l’expérience néede l’adhésion à Christ-Dieu Incarné, il faut faire le choix. Cette adhésion se réalise toujours dans le mystère de l’Église (Corps Mystique de Christ). Ce qui constitue une alternative à cette adhésion ce sont les tendances nocives visant même la conception du mariage et de la famille ainsi que certaines démarches pratiques que l’on veut légitimer. Vu un tel status quo le message du Catéchisme au sujet de la famille fait exciter des différents sentiments. Il dévient un point de repère important assurant l’epoir ce qui permet à l’homme de se définir.
EN
The author of this article tries to make aware his potential reader‟s, that in the womb of Christian Catholicism (Ch. Schönborn states this in the confines of Christology) matures in a evident means the need to reflect on the issue of religious experience. The amount and quality of publications, also those in the polish language, can convince one that the phase of mistrust in the Catholic Church as an institution in regards to religious experience, having it‟s historical justification, has been over come. Contemporarily we are even witnesses lurking for the right understanding of this experience. In the opinion of the author of this article, Martin Buber offers a good understanding of the religious experience. This understanding comes from Buber‟s statement that “here occurs something with the person”. Buber‟s suggestion was taken up and in some sense augmented in the anthropological work of Karol Wojtyla (The Acting Person). This allows to show the subjective nature of religious experience, fundamentally dissimilar to that of what usually comes to voice in postmodern philosophy. Buber‟s proposal permits us to speak of the presentative nature of this experience. This would be evidence of the set back of representationalism to the approach of presentationalism.
XX
Dans son article l’auteur présente les idées principales et la formation de „l’anthropologie papale”. Il appele cet anthropologie „la Bonne Nouvelle” pour l’homme. Une telle appelation accentue un caracter particulieur de l’enseignement de Jean-Paul II à propos de l’homme. Cet enseignement atteint son apogée dans l’humanisme christocentrique. D’après l’avis de l’auteur un tel humanisme constitue une proposition delivrant l’espérance pour le monde contemporain.
FR
Dans l’enseignement pastoral du pape adressé à tous les hommes de bonne volonté on aperçoit systématiquement l’intérêt porté au sujet de la dignité et du rôle de la femme dans la société humaine durant la période des transformations modernes. La première partie de l’article présente l’évolution de l’enseignement papal au sujet des femmes. L’auteur souligne conséquences avec laquelle Jean Paul II développe ce sujet et montre son caractère prophétique qui quelquefois prévoit les résultats des conférences contemporaines (Kaïre, Pekin). La deuxième partie analyse les derniers documents du pape: Message à l’occasion de la XXVIIIe journée de la paix ─ le 1 janvier 1995 ─ la femme-éducatrice de la vie en paix et la lettre aux femmes (du 29 juin 1995).
EN
A famous Rabbi of Kotzk surprised his guests with a question “Where is God’s dwell-ing?”. When their thoughts started to wander off towards too speculative and abstract formula of God’s “dwelling place”, the Rabbi surprised them for the second time, giving the answer himself, the answer which is generally well known to us: “God dwells where man lets Him in”. Avoiding the answer which would be situated in a spatial paradigm, the hero of Buber’s existential treaty about a dialogic nature of human existence in the world (The Way of Man According to the Teaching of Hasidim) skillfully shifted the focus on anthropological dimen-sion of the issue of God’s transcendence and immanence. Perhaps prima facie well practiced and subject-oriented metaphysical reflection is not our primary necessity, but that does not mean that it is totally redundant and that it is enough to pause on a certain surface of witty retorts. It is worth noting that metaphysical assumptions are hiding behind existentially compelling retorts. The author in his article, starting from the above mentioned controversy, wants to point out several issues: paradoxicalness of God’s presence in the world, possibility of ideologizing the category “transcendence – immanence” in relation to God and neo-anthropomorphism in statements about God.
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