Artykuł dotyczy debaty nad ważnością chrztu, jaka toczyła się w 2. poł. III w. pomiędzy biskupem Rzymu Stefanem a Cyprianem z Kartaginy i Firmilianem z Cezarei. Stefan przyjmował obiektywną skuteczność sakramentów (ex opere operato) i prezentował pogląd, że chrzest udzielany w sektach jest ważny. Wymienieni biskupi temu przeczyli. Według biskupa Rzymu w rycie sakramentalnym działa sam Chrystus. Według Cypriana i Firmiliana chrzest stanowi wprowadzenie do Kościoła. Heretyk nie może nikogo wprowadzić do Kościoła, skoro sam do niego nie należy. Obradowano nad tym zagadnieniem z Rzymie, w Kartaginie oraz w Ikonium. Pomimo rozbieżności opinii nie doszło do formalnego rozłamu w Kościele. Później zwyciężyła w chrześcijaństwie tradycja rzymska, według której chrzest udzielany poza Kościołem jest ważny.
Une bonne partie de la correspondance de saint Cyprien concerne Rome, soit qu'elle s'adresse a son eveque, soit qu'elle en parle. D'autre part, Fecclesiologie de saint Cyprien accorde a Pierre, en qui elle voit l'origine de Funicite du pouvoir episcopal, une anteriorite chronologique sur le college apostolique qui jouit du meme pouvoir mais ie reęoit apres. Il faut bien preciser qu'en tout etat de cause, Cyprien ne reconnait pas a Romę un „primat" au sens actuel du terme. Tout eveque est fonde sur Pierre et possede le meme pouvoir que celui de Rome. Il ne concede a aucun eveque un „superepiscopat". Il n'y a pas „d'eveque des eveques" (Ep. 66, 3). Le Primatus de Pierre n'est pas, pour Cyprien, une primaute de commandement; il est pourtant un droit d'anciennete qu'il ne nie pas. L'glise de Rome est principalis, parce que le Christ a fait de Pierre Forigine de Funite et le signe de cette origine. La comparison les deux versions du chapitre IV De unitate porte a quelques conclusions: 1. Les deux textes ont fundamentalement le meme sens, mais il parait manifeste qu'elles s'adressent a deux auditoires differents. 2. Pierre et tous les apótres sont egaux dans l’épiscopat. 3. Pierre est, par son droit d'ainesse, l'origine de la monarchie episcopale en chaque eglise. 4. Le pouvoir que reęoit chacun des apótres a une structure determinee: il est monarchique (car chacun succede en son lieu a Pierre), et il est collegial (car tous ensemble heritent d'un pouvoir indivis). L'unite de l'Eglise repose sur la communion dans la charite de tous les eveque regroupes autour de l’égilse principale, non sur les liens juridiques, hormis le principe de ['episcopat monarchique.
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