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L’homme de l’aujourd’hui se déplace si souvent que ce phénomène de la mobilité est devenu une expérience presque quotidienne dans la vie et la culture. L’Eglise prend en général le phénomène de la migration pour événement qui s’inscrit en l’existence de l’homme cherchant toujours des meilleures conditions de la vie. Cependant l’Eglise considere le droit de l’homme à la migration comme l’un de ses droits naturels. Toutefois sourgissent des questions sous le sens de la migration et des tensions que celle-ci provoque, aussi sous la matière de limiter ce droit au nom du bien commun. Selon le Saint-Siège les migrants ne sont pas seulement le défi pour la société internationale, mais aussi ils deviennent un don car ils aident à travailler, inspirent au plus grand ouverture de l’esprit, de l’économie et de la politique et à la recherche des nouveaux modèles. Les Instructions, surtout Erga migrantes caritas Christi de l’année 2004, ont défini les lignes de la pastorale de la migration de missio cum cura animarum, la paroisse personnelle ethnique et linguistique ou rituelle vers la paroisse locale avec mission ethnique et linguistique ou rituelle et le service pastoral ethnique et linguistique au niveau d’une zone. De notre article résulte clairement qu’au cours de temps ont muri les solutions pastorales envers les imigrants du côté de la structure, des formes et des mèthodes. L’étude nous permet de constater que certains problèmes touchant à la migration des jeunes, des femmes et au commerce des femmes aussi que des questions oecuméniques restent toujours les problèmes difficiles et ouverts, et quelques –uns se lient à la violation du droit de l’homme.