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EN
Old castles are occupying quite an exceptional place among architectural monuments from the past times and it is mainly therefore that owing to emotional values linked with their history they belong to that group of historic buildings that are most readily visited by tourists. One of the factors that seems to be decisive for such interest is that the relics of an old fortification, quite irrespectively of the state of their preservation, usually exist in an exceptionally attractive and highly dynamic as to its character natural environment. These close and hardly breakable links between the objects of military architecture and their surroundings are ■with all certainty qualifying them to play the leading role in the development of modern museum displays. Bolesławiec, in our days quite a small settlement within the western area of Łódź voivodship is known from the written sources in which it was mentioned for the first time as early as in 1266. In the years 1268—-1297 a defensive stronghold has been erected here by the Prince Boleslaus the Pious and in the course of the fourteenth century the brick-built castle that was demolished in the 18th century. Up to the present day only one octagonal tower has survived. To reanimate the object and have it included into the flow of our current modern life the only possible in such cases method has been adopted, i.e. that of archaeological exploration. The field works conducted during the three consecutive years have brought a good deal of valuable findings with respect to arrangement of buildings surrounding the court, to plan of walls and the situation of entrance gate. The above findings will form a basis for preparation of design aimed at both safeguarding and displaing the castle. As an extremely important point in considerations concerning the futuro uses that could be planned for the above object is to be taken into account its surrounding landscape. Applying the method of J. Bogdanowski the author analysed the so-calle „landscape interior” at the same time taking into account the configuration of the site and its possible urbanization. In view of the high values of landscape the castle of Bolesławiec calls for special care as it possesses all the possible properties enabling its transformation into one of the most interesting in this country archaeological, architectural and natural reservation sites. In the future museum-reservation the main didactic emphasis will, no doubt, be laid upon the castle itself. All the remaining components as, for instance, the base-court and the mill have to play a subordinated role which is absolutely obvious in view of their functions in the past. Main access to the castle will lead across the bridge situated in the close vicinity of mill. Within the first step of viewing visitors will be made familiar with the history of the settlement and the castle presented in the form of special display. Here also each of them will be provided with a booklet containing the plan of the reservation site serving as guide in his further travel. The second step will consist of viewing the castle proper wrhile the exit wrill be through the base- court and the former valley of the Prosna River in direction of Bolesławiec. Visitors entering the valley should gain an impression that they have been transferred to ,,a quite another world”. According to the author’s view there are every co.idit ons making it possible to gain this impression; they only need to be properly utilized. All the required building as the roads or bridges should be desig led and executed in such wray that they could be easily integrated with the features of existing landscape. As another favourable feature is to be considered the nearly sited settlement of Bolesławiec that can overtake all burden of indispensable service for visitors. This will free the builders of museum-reservation from the need to erect the service buildings within the museum site. On completion of archaeological exploration of the site will be started the wTorks connected with safeguarding of relics revealed by archaeologists and Łódź voivodship will be provided with the extremely interesting historic site. Already now it can be expected that it will prove highly attractive for tourists as it is only a distance of 12 kms from Bolesławiec to the E-12 Route known under the name of „Slavonic Road” crossing t ’..e territory of Poland from the west to oast.
FR
Le problème de la protection des monuments de la culture populaire et, en particulier, de l’a rt populaire du bâtiment s’impose en Pologne d’une façon de plus en plus pressante. Nous sommes témoins d’une perte continuelle de ces vestiges du passé. Les musées en plein air, de plus en plus répandus dans le monde, ne permettent d’en sauver qu’un nombre restreint. Actuellement nous avons en Pologne 3 grands musées de ce type (Sanok, voïvodie de Rzeszów, Zubrzyca Górna, voïvodie de Cracovie, Olsztynek, voïvodie de Olsztyn) et 11 petits musées. Nous en avons 7 grands et 12 petits en voie d’organisation ainsi que 7 grands et 50 petits dont la mise sur pied est planifiée. La plupa rt de ces musées se trouve dans des bâtiments anciens „in situ”. Les musées existants ne possèdent, pour la plupart, ni aménagement convenable ni p rogramme d’activité déterminé. L’initiative de leur création (inventaire des bâtiments et leur achat, travaux de conservation, de re s ta u ra tion, équipement du terrain, etc.), en Pologne, est prise en charge par les musées ethnographiques et les sections ethnographiques des musées régionaux, les Conseils Nationaux des Voïvodies (conservateurs des monuments historiques de la voïvodie), les Conseils Nationaux des Districts, les Directions de la création e t de l’aménagement des parcs de la culture, les Comités de la Culture Physique et du Tourisme, à l’échelon des voïvodies, ainsi que les Associations Culturelles et Sociales. L’article présent a pour but de postuler un agrandissement considérable des tâches précédentes et des programmes d’activité des musées de campagne qui seront aménagés selon les plans conçus, dans des b â timents historiques laissés „in situ”. Il s’agit notamment de créer en Pologne tout un réseau de musées dotés de mobiliers, d’objets et d’outillages authentiques, dirigés par des ethnographes. Ils auraient pour mission de poursuivre des études détaillées sur le milieu villageois en question et sur la micro-région, d’élaborer leur monographies et d’organiser dans le courant de l’année le service d’éducation pour les villages afférents. Au cours de la saison touristique, ces musées aura ient pour mission de propager, parmi les visiteurs venant du pays et de l’étranger, les connaissances de la culture régionale, de l’a rtisan a t et de l’a rt du folklore parlé, de la musique et de la danse populaire. Le projet d’aménagement spatial du village donné doit prendre en considération la nécessité d’un poste muséologique de ce caractère, ré se rv an t dans l’enclos d’une maison paysanne une place destinée spécialement aux représentations folkloriques, à l’exposition des oeuvres de sculpteurs, de potiers, de brodeuses etc. relatives aux caractéristiques de la région. Ce projet doit prévoir le montage d’un kiosque de vente des objets de l’a rt populaire ainsi que des publications en langue polonaise et étrangère, des photographies et des albums illustrant la vie du village donné et réserver une place pour des expositions temporaires et un lieu destiné au repos. Il serait désirable qu’il y ait dans le village des locaux d’hébergement ainsi que des auberges ou des maisons paysannes où Ton pourrait se faire servir des plats régionaux et de simples repas. Les musées en question seraient d’un caractère très varié. Ils pourraient par exemple être aménagés dans la maison d’un apiculteur, d’un pêcheur ou d’un ménétrier, il s’agirait toutefois d’y faire revivre la vision du temps passé en se servant du site historique présent, des réserves naturelles qu’il possède et qui devraient jouer un rôle important, en se ré fé ran t aux personnes liées aux traditions de la région. Il serait désirable aussi que le village, tel qu’il est à l’heure actuelle, soit engagé, dans une certaine mesure, dans les travaux d’organisation et du fonctionnement de ce genre de poste muséologique retentissant d’une vie pleine d’activité. Les musées de ce type, bien organisés, pourront remplir une mission éducative des plus éminentes et deviendront des lieux attrayants, pour les to u ristes du pays et ceux de l’étranger. Compte tenu des dissertations précitées, les besoins suivants se posent en tan t qu’urgente nécessité: 1. mettre à jour par les institutions compétentes en ce domaine l’inventaire des monuments de la construction populaire en Pologne, 2. protéger les monuments choisis contre les dévastations et les démolissements, les restaurer systématiquement et établir un contrôle permanent de leur état, 3. prête r assistance aux skansens organisés pour leur garantir un personnel et les installations nécessaires en rapport avec le développement de l’activité to u ristique, 4. dresser un plan, pour les années les plus proches, concernant la réalisation successive des skansens projetés en Pologne et l’introduire dans le programme du budget te rritoria l et du budget central, prenant en considération la possibilité de coopérer dans ce domaine avec le GKKFiT (Comité directeur de la culture phisique et du tourisme) et les WKKFiT — Comités directeurs à l’échelon des voïvodies.
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Typy parków etnograficznych

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FR
Au début de son article, l’aulteur cherche à différencier 'les notions telles que: monument historique, réserve, musée en plein air. Le monument historique constitue une notion générale, tandis que l’on peut dénommer „réserve” un objectif, soit laissé dans ses fonctions premières ou qui en a été privé (comme par ex. la ruine d’un château-fort) qui, par un aménagement et une surveillance convenables, ainsi que par l’arrangement de son entourage et de ses voies d’accès, a été rendu accessible aux visiteurs de façon permanente. On qualifie de musée, par contre, ce genre d’objectifs ou de leurs ensembles, qui est soumis non seulement à une surveillance, mais qui est basé sur une organisation institutionnelle convenable, possède un programme didactique de présentation et une exposition réalisée selon les règles de ce programme. L'expérience nous dit que les objectifs dépourvus d’une base institutionnelle — malgré des conditions d ’emplacement théoriquement favorables — succombent en peu de temps à une destruction totale. Après une description concise des musées en plein air les plus Importants de l’Europe et des Etats-Unis, l’auteur cherche à établir las types principaux de ce genre d ’institution. Il oppose l ’aménagement du Musée „Skansen” de ,Stockholm à celui du Musée Sorgenfri près de Copenhague où chaque ensemble des enclos paysans est séparé des autres par une bande de verdure et forme ainsi un objet d’exposition à part, tandis que dans le Skansen sus-mentionné, la disposition, en principe „géographique”, a été oblitérée du fait d’une certaine étroitesse des lieux, de la proximité parfois même directe de bâtiments et par l’introduction d’objectifs de la culture populaire. L’aménagement du Musée hollandais de Arnhem se base opportunément sur le principe d’une présentation régionale tandis que celui de Bokrijk en Belgique, soit encore plus celui de Cloppenburg en ft.F.A. constituent pour ainsi dire des „villages artificiels” composés de maisons transportées de diverses localités. L’objection ne serait pas de mise en ce qui concerne Garnie By de Aarhus au Danemark dont le musée tout entier constitue une petite ville formée de bâtiments „in situ”. Les musées de la Grande-Bretagne et le très beau musée de Lund en Suède sont conçus selon un principe quelque peu différent: ils se basent principalement sur les monuments historiques conservés „in situ”, auxquels on a odjoint des constructions transportées d’ailleurs. L’auteur envisage la possibilité de l'arrangement d’un parc ethnographique qui serait une combinaison de la disposition régionale qui domine dans les programmes de la maljorité des musées en plein air avec la disposition des bâtiments selon leurs fonctions respectives notamment: habitat, bâtiments sacraux, industriels, etc. Une telle conception serait possible à réaliser dans le cadre d’un système rayonnant qui permettrait de voir une présentation régionale en suivant les rayons de l’aménagement spatial, tandis qu’en suivant les courbes des arcs ainsi formés l’on aurait sous les yeux l’exposition des différents bâtiments selon leurs fonctions dans les différentes régions. Vers la fin de l’article l’auteur examine la possibilité de réaliser en Pologne un programme d’aménagement complexe de musées en plein air, se prononçant plutôt pour la création de plusieurs musées régionaux que pour l’institution d ’un musée central de ce caractère.
FR
Le problème de la protection de l’architecture régionale en voie de destruction, envisagée en tant qu’exposition scientifique et didactique, dans le cadre des activités culturelles, sociales et économiques, s’avère d ’une grande actualité en Pologne, vu les changements rapides qui surviennent dans la vie de nos villages et dont découle la nécessité pressante d’une activité hien raisonnée, reposant sur de solides bases scientifiques et économiques. La création d’un parc ethnographique à base d’une documentation scientifique et selon les principes généralement admis dans la muséologie contemporaine demande la coopération d’un groupe d’experts dont les membres appartiendraient à diverses branches de la science, notamment à: l’ethnographie, la conservation, l’a rchitecture etc. Pour les raisons susdites il semble bon d’envisager la filiation des parcs ethnographiques avec les institutions et postes scientifiques déjà existantes, qui pourraient leur garantir un contrôle méritorique et une aide administrative au moins à l’orée de leur existence. Les fonds investis dont le chiffre est relativement élevé dans les entreprises de ce genre, seraient couverts, dans une certaine mesure, après une période assez courte des débuts, par le prix des billets d ’entrée. Néanmoins, il semble nécessaire de postuler l’avancement des fonds par des organismes centraux et des conseils nationaux du terroir. Surtout on pourrait recommander aux conseils municipaux et aux conseils des voïevodies, dans les centres culturels importants d’investir en commun les fonds nécessaires pour la création des parcs ethnographiques. L’organisation des grands parcs ethnographiques à l’échelle de la voïevodie ou d ’un groupe de voïevodies ne devrait ni exclure ni enrayer la création des parcs ethnographiques plus modestes, portant sur une seule région. Il faut aussi dire que les parcs ethnographiques de moindre importance inspirés par le terroir dépassent par leur valeur didactique, sociale et touristique les grands ensembles, étant donné leur plus grande accessibilité e t leurs liens plus étroits avec le terroir qu’ils représentent. Leur organisation est moins coûteuse, donc leur réalisation plus rapide, ce qui augmente la valeur de ce genre d’entreprises. En parlant des musées régionaux il ne nous est pas permis de négliger le problème des ensembles architecturaux de valeur historique, conservés „in s itu ”. Ce sont de petites bourgades ou des ensembles d’architecture rurale qui constituent des réserves uniques dans leur genre même à l’échelle européenne. Dans leur éta t actuel, ils ne répondent ni aux conditions sanitaires requises par la population ni à celles de la vie culturelle. Ils .ne peuvent plus continuer à servir d’habitation sans être soumis à des remaniements intérieurs substantiels. Par contre, après des travaux de restauration et d’adaptation aux buts muséologiques envisagés, ils peuvent constituer l’un des plus grands attraits touristiques du pays. Une autre forme de la protection de l’architecture e t de la culture populaire se révèle dans la conception des aménagements d’intérieurs, dites „izba”, dans les maisons paysannes les plus pittoresques, gravées de caractères historiques. Cette „izba”, pourvue de tous les objets d’art et vestiges de la culture matérielle issue du terroir, aura une grande importance tant au point de vue didactique que pour l’inspiration qu’elle fera naître chez les habitants de la localité tout en leur apprenant le respêct de leur patrimoine culturel. L’article présent expose le projet du réseau des parcs ethnographiques, des réserves e t des aménagements d’intérieurs folcloriques, à base des considérations susmentionnées, dans la voïevodie de Cracovie. I. Parc ethnographique de la voïevodie, localisé à Cracovie, touchant à tous les problèmes de la région cracovienne et prenant compte en premier lieu des proches alentours de Cracovie. II. Les parcs ethnographiques devraient faire valoir les particularités culturelles de chaque région, la spécifique de son paysage, en eormexité avec les autres postes muséologiques déjà existants. Le projet envisage les parcs ethnographiques dans les régions suivantes: Podhale (région de Zakopane), terroir de Czorsztyn — Spisz, menacé actuellement par la construction du barrage de l’usine hydraulique (Łopuszna, Niedzica), terroir de Orawa où il ne serait question que d’un agrandissement du parc ethnographique de Zubrzyca Górna; Gorce, Nowy Sącz et ses alentours, Żywiec, la Jura Cracovienne (près de Ojców), la région vistulienne de Cracovie (près de Zator e t du château Lipowiec). III. Il y a des régions où la „izba” régionale a été déjà crée, d’autres pourraient l’avoir en profitant dans les villages des maisons paysannes les plus anciennes et les plus intéressantes. Toutefois il faudrait envisager la possibilité de les inclure dans le cadre des institutions culturelles de la commune, telles que bibliothèques, salles communes, etc. IV. Les réserves des sites urbains et ruraux concerneraient plusieurs ensembles pourvus de valeurs architectoniques frappantes dans le cadre attrayant d’un beau paysage. Les petites localités somnolentes à cause du manque d’un facteur qui leur donnerait la possibilité de se développer rapidement, sont menacées de se vider peu à peu de leur population et de tomber en ruine. Leur réanimation est possible si l’on tirait parti de ces réserves pour des buts touristiques ou récréatifs. L’architecture historique en bois, ayant subi les réparations nécessaires et dotée d'un équipement nouveau, constituerait un aimant pour les touristes, amateurs du camping, du pittoresque et de la beauté, du repos dans des lieux spécifiques pour notre pays. Ceci concerne surtout les petites localités qui possèdent une architecture historique des plus frappantes: Lanckorona, Ciężkowice, Lipnica Murowana, le village de Chochołów. Le projet de la protection de l’architecture populaire sur le territoire de la voïevodie de Cracovie ne peut être réalisé qu’à l’issue d’un commun effort des autorités locales et des institutions compétentes. Il a sa raison d’être aussi bien au point de vue scientifique qu’au point de vue social car les causes et les buts poursuivis par la sauvegarde de la culture populaire, ’en tant que patrimoine national, trouvent une compréhension de plus en plus active dans notre société.
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