Le besoin de créer une Civilisation Universelle semble se faire au XXe s. de plus en plus impérieux. Il suscite de nos jours des tentatives de constituer des communautés dans différents domaines, depuis la religion et la politique jusqu'à la culture. Cependant deux principes opposés peuvent présider à cette intégration: 1° un monisme destructeur de différences, 2° un pluralisme impliquant la symbiose. La conception moniste amène l'acculturation et l’assimilation. La conception pluraliste, respectueuse de particularités culturelles, crée des liens complémentaires, promeut la coopération et le multiculturalisme. Celui-ci consiste à laisser vivre et se développer harmonieusement diverses cultures au sein d'un groupe ou d'une personnalité. Il peut revêtir diverses formes et avoir une portée différente. On n'en prend pas toujours conscience, parfois - au contraire - on en abuse comme d‘un slogan sans valeur. La réalisation conséquente des principes de multiculturalisme pourrait preévenir nombre de complexes de supériorité et d'infériorité, qui ne cessent pas de compliquer les rapports entre les hommes. Le multiculturalisme sur le plan religieux constitue un problème à part, qui attend d'être discuté, aussi par les théologiens et les sociologues. A la base l'oecuménisme il y a l'opinion que les „Weltanschauungen" et les confessions ne diffèrent, en partie, que par la culture et le ..langage" historiquement conditionné. Pour réaliser l'ocecuménisme, il faut d'abord, évidemment, se débarrasser de nombreux préjugés accumulés des siècles durant, se connaître et se respecter mutuellement. Ceci ne se produit pas automatiquement. Ce qui peut cependant servir la cause du rapprochement, c'est la participation aux cérémonies concernant des amis, par exemple lors de l'enterrement de morts ayant appartenu à une autre confession: les représentants de religions différentes et de „Weltanschauungen" distincts vivent la liturgie de celui d'entre eux qui vient d'être rappelé à Dieu.
The earliest polish settlers living around Wilno and Barry’s Bay are called Kaszuby, as the majority of them came from Kaszuby a region in northern Poland. Although they are living in Canada already for some generations they conserved a conscience of where they come from and, to some extent, also the language of their ancestors. Old customs and folkloric ceremonies nearly disappeared during the hard beginnings, although now they seem to be reviving. The few customs retained fulfill nevertheless many important social functions, such as gathering the members of family and neighbor communes as well as strengthening and manifesting community bonds. Yearly holidays with some special customs preserved by the Ontario Kaszubs are: Christmas, New Year, Epiphanie, Purfication of the Virgin Mary (the 2 February), Palm Sunday, Good Friday, Easter, Corpus Christy-day, Assumption-day, All Saints’day and All Souls’day. Kaszubs belong at present to different cultural circles. They also contribute, more and more often quite consciously, to the multiculture of present Canada.
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