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Implikacje teologiczno-prawne zobowiązania małżeńskiego "nieodwołalne przymierze" według kan. 1057 § 2 KPK

100%

Krzywda J.

Ius Matrimoniale

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1993

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vol. 4

39-53

EN

A notre époque, le mariage, aussi bien que la Famille a été atteinte par les transformations très larges et profondes de la société humaine et de la culure.L’Eglise sachant que le bien de la société est profondément lié à celui de mariage et de la famille, a contribué au renouveau du mariage durant le Concile Vatican II et ensuite par les normes respectives de nouveau Code.Selon le dessein de Dieu, le mariag est le fondement de la famille, puisque l’institution même du mariage et lamour conjugal sont ordonnés â la procréation et à léducation des enfants.L’amour en tant qu’un don ne s’achève pas dans le couple. L’alliance matrimonial, comme le dit le can. 1095 § 1.: est "...ordonée par son caractère naturel au bien des conjoints ainsi qu’a la génération et a l’éducation des efants.Les époux en devenant parents reçoivent de Dieu un nouveau don, celui de responsabilité par rapport aux enfants. C’est dans le cadre de la famille que se tisse un ensamble de relations interpersonnelles: rapports dâbord entre conjoints et puis ces de paternité, maternité, filiation et fraternité.La société coniugale qui nait de l’alliance est décrit comme une communion totale de vie. Le can. 1055 reprenne bonne partie de la doctrine conciliaire en la matière, contenu dans Gaudium et Spes, n. 48: "Intima communitas vitae et amoris coniugalis, a Creatore condita, foedere coniuglii seu irrevocabili consensu personali instauratur..."Le can. 1057 § 2, CIC comporte un complément par rapport au can. 1055 § 1, en disant: "Le consentement matrimonial est l’acte de la volonté par lequel un homme et une femme se donnent et se reçoivent mutuellement par une alliance irrévocable pour constituer le mariage. Autrement dit, par l’alliance coniugal on entent une telle société, ou un homme et une femme s’acceptent comme tels toujours en vue de leur bien q’â la génération et l’éducation des enfants. En outre, c’est e vertu de la sacramentalitéde en leur mariage que les époux sont liés l’un â l’autre d’une façon si étroite qu’ils répresent et constituent une alliance irrévocable â l’exemple du rapport du Christ a son Eglise.

2

Problem niezdolności relatywnej do podjęcia istotnych obowiązków małżeńskich w świetle wyroku Roty Rzymskiej c. Jarawan z 4 października 1995 r.

84%

Góralski W.

Ius Matrimoniale

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2013

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vol. 24

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issue 18

209-218

EN

In the decision of the Roman Rota c. Jarawan the case of invalidity of the marriage due to inability to take up significant marital obligations by the respondent was examined and decided (a negative decision was issued in the first instance and a positive in the second instance). The Rotal judges subjected the decision of the second instance to decisive criticism by, i.a., a few experts, and decided that it indicates the acceptance of relative inability by the court, which is clearly inconsistent with the canonical norm 1095, n. 3 of the Code of Canon Law.

3

"Defectus discretionis iudicii, incapacitas assumendi i gravis timor reverentialis" w świetle wyroku Roty Rzymskiej c. De Lanversin z 19 stycznia 1994 r.

59%

Góralski W.

Ius Matrimoniale

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2013

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vol. 24

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issue 18

181-208

EN

This decision refers to a marriage contracted between Bernard and Martyna on 11 October 1969 (in Paris), which lasted for about ten years and then, on 21 January 1983 the man applied to the tribunal in Paris for annulment of the marriage due to his defectus discretionis iudicii and wife’s incapacitas assumendi. On 15 January 1987 the tribunal issued the pro nullitate decision only for the latter reason. After the appeal of the defender of the matrimonial tie to the tribunal of the second instance (in Versailles), on 17 May 1989 a negative decision for the appealed reason (Martyna’s incapacitas assumendi) was issued. After that Bernard appealed to the Roman Rota and on 24 April 1991 c. Lanversin bench proceeded to trial for three reasons for annulment of the marriage: 1) the respondent’s incapacitas assumendi (examined in the third instance); 2) the petitioner’s defectus discretionis iudicii (examined in the second instance); 3) the petitioner’s gravis metus reverentialis (added reason and examined in the first instance). On 19 January 1994 the Negative ad omnia decision was issued.

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3 Ius Matrimoniale

2 Góralski W.

1 Krzywda J.

2 2013

1 1993

Implikacje teologiczno-prawne zobowiązania małżeńskiego "nieodwołalne przymierze" według kan. 1057 § 2 KPK

Problem niezdolności relatywnej do podjęcia istotnych obowiązków małżeńskich w świetle wyroku Roty Rzymskiej c. Jarawan z 4 października 1995 r.

"Defectus discretionis iudicii, incapacitas assumendi i gravis timor reverentialis" w świetle wyroku Roty Rzymskiej c. De Lanversin z 19 stycznia 1994 r.