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Herby na gotyckiej chrzcielnicy z katedry w Poznaniu

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Stróżyk P.

Roczniki Historyczne

2016

vol. 82

Die Wappen auf dem Taufbecken der Domkirche zu PosenZusammenfassungIn der Posener Domkirche St. Peter und Paul hat sich ein gotisches Taufbecken aus Metall erhalten, auf dem im Frühjahr 2016 Polychromiereste mit fragmentarisch erhaltenen vier Wappen entdeckt wurden. Die auf uns gekommenen archivalischen Erwähnungen lassen die Entstehung des Objekts auf die Zeit vor dem 30. April 1447 datieren. Auf dem Deckel des Taufbeckens sind höchstwahrscheinlich die Wappen folgender Geschlechter zu sehen: Łodzia – Nałęcz – Awdaniec – Leliwa (das erste und das letzte Wappen sind sehr schlecht erhalten, weshalb ihre Identiﬁzierung nur hypothetisch ist). Die Wappen stellen die Ahnenprobe des Posener Bischofs Andreas von Bnin (um 1396/1397–1479) dar, die bereits von seiner Bronzegrabplatte aus dem Posener Dom bekannt ist. Das Posener Taufbecken ist älter als das Gnesener, das 1448 gestiftet wurde. Es entstand zwischen 1435 (als Andreas Posener Domherr wurde) und 1447 (als das Taufbecken zuerst erwähnt wird). Seine Entstehung kann vorsichtig auf die Jahre 1439-1447 eingegrenzt werden, da es wohl wahrscheinlicher ist, das Andreas von Bnin das Objekt erst nach der Übernahme des Bistums Posen gestiftet hat. Coats-of-arms on the gothic baptismal font in the Poznań CathedralAbstractIn the Poznań Cathdral of St. Apostles Peter and Paul there is a gothic metal baptismal font, on which remains of colour polychromy with fragments of four coats-of-arms were found in the spring of 2016. Some written sources allow to date the object to before 30 April 1447. On its cover there are most probably the arms of the knightly clans: Łodzia – Nałęcz – Awdaniec – Leliwa (the ﬁrst and last of these are hardly visible so their identiﬁcation is only hypothetical). The coats-of-arms display the ancestry of Andrzej of Bnin, bishop of Poznań, of the Łodzia clan (b. circa 1396/1397, d. 1479), known also from his bronze tomb slate, preserved in the Poznań Cathedral. The Poznań font is older than that of Gniezno, produced in 1448. It was made between 1435 (when Andrzej became a canon of Poznań) and 1447 (when it was ﬁrst mentioned in sources). The dating may be cautiously narrowed to the years 1439-1447, as the object was most probably ordered by Andrzej of Bnin after he became the bishop of Poznań.

Konserwacja malowideł ściennych w kościele św. Mikołaja w Bejscach

67%

Furdyna J.

Ochrona Zabytków

1965

issue 4

47-57

L’église gothique à Bejsce fu t construite vers la fin du XIV-me siècle en brique avec éléments en pie rre de taille (nervures de voûte, clefs, arcs diu transept, baies d e fenêtres etc.). La polychromie gothique a été découverte en automne 1963 sous deux couches de crépi e t sous environ sept couches de blanc de chaux. Elle s’étend su r une surface de 34 mètres carrés, et, à l’exception de la place occupée par le tombeau de E. Firlej, style ren a issance, la polychromie même est restée en principe intacte. Elle rep résen te l ’lhistoire de la Rédemption dans les scènes suivantes: Annonciation, Adoration des Rois Mages, Flagellation, 2 Crucifixion, Ecce Homo, Ascension (mur cud), puis, Adoration des Rois Mages la Cène, V'ir Dolorum (mur nord). Au mur et dans le fond du m a ître -a u te l se trouve la scène du Jugement dernier. La scène des Péchés Capitaux e t la peinture de St. Cristophe s’apparentent de loin à la base thématique générale. Les tra v a u x de conservation consistaient dans le détachement des couches de crépi e t d u blanc de chaux de la peinture, dans les trav au x d e conservation eux-mêmes et dans la restitution de son ca ractère primordial. Les m an ques du crépi é ta ie n t remplies de mortier calco- -sableux e t les p erte s en polychromie é taien t pointées d’une raie verticale p a r des pigments en poudre à base du lian t du polyacétate de vinyle. On s’est abstenu de po in te r les fragments contestables au point de vue de leur couleur ou dessin. Les crépis se d é ta ch an t du m u r ont été fixés à l’aide d’injections d’une dispersion du polyacétate de vinyle. La polychromie est étendue su r un crépi dur, peu corrosif. Elle est effectuée à base du 'blanc de chaux humide en appliquant probablement la technique calcaire avec addition minime du liant organique. On p eu t discerner dans la couche du crépi des lignes d ’intersection qui perme ttent d’attester que les tr a vaux de pein tu re ont été exécutés à la journée. Au dessus de la polychromie on remarque une tram e en brique avec des joints recouverts de couleur blanche. Au cours de trav au x on a dévoilé des niches maçonnées dans les murs e t les arcs, ainsi q u ’une dizaine de marques su r pierres. On a enlevé le retable du m a ître -au te l e t deux épitaphes du XlX-me siècle. À la voûte, deux voussures ont conservé des fragments de la polychromie du XVII-me siècle et le re s te des surfaces a été recouvert d‘une couleur u n iforme. En ré su lta t de trav a u x de conservation, la documentation suivante fu t établie: relevé des t r a vaux, dessins illu s tran t l ’é ta t de conservation à l ’échelle 1:1, photos e t essais techniques de laboratoire. Les trav au x fu re n t effectués p a r M. Joseph Furdyna et M. Jacques Radołowicz en été 1964. La polychromie découverte à Bejsce présente une oeuvre d ’a rt de plus grande valeur a p p a rten a n t au décor gothique des in té rieu rs religieux en Pologne.

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